Conclusion

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Qu'est Dieu ?

Les choses présentées dans cet ouvrage peuvent être en réalité vraies ou fausses, tout comme être vraies ou fausses pour le lecteur.

Plus exactement et malgré les incertitudes et les erreurs probables, l'auteur a proposé quelques réflexions sur l'univers et sur la vie, ainsi qu'une méthode permettant de poser un point de vue original sur l'Écriture hébraïque qui est la source des diverses et nombreuses religions et sectes abrahamiques, et donc de notre civilisation mondiale, puisque par exemple, en France soixante pourcent des gens sont chrétiens et aux États-Unis tout témoignage en justice requiert de jurer sur la Bible de dire la vérité.

La plupart des thèmes majeurs de la religion ont été abordés à l'exception des rêves et de leurs significations, car bien que l'on ne puisse pas survivre sans dormir, ce sujet est aussi vaste que complexe et douteux. Toutes les formes de rêves, inconscients au cours du sommeil ou conscients au cours de l'imagination, sont des moyens de manipuler les émotions afin de modifier l'action du mental et donc la destinée : ce sont des moyens de contrôle et de planification de la joie et de la mélancolie, et toutes les formes d'art reposent sur cela.

L'exposé sur les lettres hébraïques des chromosomes vivants a mis en évidence le problème linguistique sur lequel sont construites les organisations humaines en fonction des traductions, des interprétations, des altérations, des falsifications, des opinions, des pouvoirs et des luttes rationnelles comme irrationnelles.

Discerner le vrai du faux et le bien du mal n'est pas facile. Tout le monde mérite de connaitre la vérité sur la vie et personne ne mérite de subir de la souffrance.

La seule récompense de l'étude est soi-même :

Béréshit 12.1 "Vas pour toi {et non pour un maître ou une idole}".

Connaitre la nature du corps humain et les bases de la médecine est primordial ; car en simplifié, le corps, c'est l'âme, puisque "l'âme de la chair est dans le sang".

Le corps, l'âme et l'esprit, ou toute autre dichotomie de ces choses que sont le système locomoteur et organique, les fluides et le système nerveux, sont comme une seule et même chose : l'individu, l'entité vivante. Cette chose est la personne, c'est-à-dire l'être humain lui-même en tant qu'unité consciente de son existence évoluant et agissant à travers l'espace de la matière-énergie qui se déplace grâce à E = mc².

La source de cette chose nommé homo sapiens en ce qui nous concerne est l'ADN directeur que sont les 22 paires de chromosomes associés à une paire mâle ou femelle, plus l'ADN des mitochondries et des symbiote, composés de gènes servant à fabriquer les ARN qui assemblent des acides aminés en protéines qui composent et animent les cellules et donc les tissus et les organes, y compris les émotions et les pensées à l'image d'un ordinateur qui est constitué d'une carcasse ou système locomoteur, d'un microprocesseur et d'une mémoire ou système nerveux, et de périphériques ou organes. Plus précisément, la science a établi que la mémoire mettait en jeu des mécanismes tant chromosomiques que cytoplasmiques au sein de chaque cellule et de chaque organe, en particulier nerveux.

Dieu est ni "un", ni "plusieurs", ni "aucun".

HaShem, les lois du vivant, de Elohim, les lois de l'univers, est indivisible, singulier, unique, omniscient, souverain, intransigeant, impitoyable, vrai et généreux : c'est la source de toutes les choses inertes et vivantes qui forment la création.

Dévarim 6.4 "Comprend Israël, HaShem est notre Elohim, HaShem est unique".

Béréshit 2.7 "HaShem Elohim forma l'homme, poussière de la terre, il insuffla dans ses narines un souffle de vie, et l'homme fut âme vivante."

Béréshit 3.19 "À la sueur de ton front tu mangeras du pain jusqu'à ce que tu retournes à la terre car d'elle tu as été pris. Car tu es poussière et à la poussière tu retourneras."

Béréshit 13.16 "Je ferai ta descendance comme la poussière de la terre. Que si un homme peut compter la poussière de la terre, ta descendance aussi sera comptée."

Qu'est la Torah

La Torah enseigne les choses suivantes :

  • Tout système religieux repose sur la même science dite spirituelle qui est en réalité la science médicale.
  • Le corps et la pensée sont une seule et même chose : ainsi l'âme et l'esprit sont l'expression de logiciels génétiques fonctionnant de manière symbiotique afin d'animer les données héréditaires.
  • La réincarnation et la résurrection sont des phénomènes liés à la persistance et à la réactivation d'unités génétiques structurelles et fonctionnelles.
  • Le bien et le mal sont les intentions et les actes de bonté et de nuisance.
  • L'amour est le fait d'accorder à autrui le droit d'exister et c'est faire le contraire de ceux qui travaillent pour la mort.
  • La compassion est l'action d'aider autrui à survivre et c'est le travail des vivants.
  • La lumière est le support des mouvements de la communication.
  • L'obscurité est l'absence de communication.

Les grands méchants ne connaissent pas l'essentiel. Ils ne connaissent pas HaShem Elohim le Créateur de l'Univers, quoi qu'ils disent à Son sujet et quoi qu'ils fassent en Son Nom, car du moment qu'ils portent volontairement atteinte à la vie en convoitant, en mentant, en volant et en tuant, ils prouvent qu'ils ne savent pas ce qu'est Dieu.

La philosophie des grands méchants est "soyons assez nombreux à mentir et à répandre une fausse idée et tout le monde aura des doutes à ce sujet, certains y croiront et certains n'y croiront pas, et peu importe ceux qui sauront que c'est une arnaque".

Qui sont les ennemis que l'on rencontre depuis le début de la sortie de Mitsraïm jusqu'en Israël ? Ce sont ceux qui sont sorti et qui à divers stades de la libération décident de ne plus suivre la Torah et qui renoncent ou qui sont aveuglés par les pouvoirs qu'elle procure. Ils ne sont pas autre chose que des égarés qui oublient générations après générations, malgré les pouvoirs acquis qu'ils perdent avec le temps. Certains qui deviennent des sorciers se disent "puisque nous avons des pouvoirs, pourquoi ne pas les utiliser pour maintenir le monde sous notre charme, contrôlons les illusions du mental ignorant". D'autre qui deviennent des Amalékites se disent "puisque nous avons des pouvoirs, utilisons les pour nous moquer des ignorants et les faire tourner en bourriques". D'autres qui de viennent des Midianites se disent "la paix ne nous intéresse pas, utilisons nos pouvoir pour semer la discorde et amusons nous". D'autres se prenant pour Qora'h se disent "les pouvoirs c'est bien, béni doit Dieu de nous les avoir donné, mais les lois de Moïse sont trop contraignantes, nous voulons décider quelles sont nos lois".

Qu'est-ce qui forme un peuple ? Son esprit. Peu importe que les gens aient tel ou tel pouvoir, telle ou telle capacité, tel ou tel gène : le groupe est ce qui instaure la cohésion.
Joshua 1.8 "Ne pas il sera enlevée Livre de la Torah. Il 1le Livre] a prophétisé parole à Moi [HaShem] [pour devenir force] à toi. Tu auras étudié pour Lui [le Livre] jour et nuit. À cause de l'amour [du Livre]. Tu observeras [les lois du Livre], travaillant selon tout ce qui a été écrit pour Lui, parce que dans ce cas tu réussiras dans la voie [du Livre] et alors tu comprendras [les perles de sagesse]."

Matthieu 10.34 "Ne croyez pas que je sois venu apporter la paix sur la terre ; je ne suis pas venu apporter la paix, mais l'épée."

En effet, pour apporter la paix, il faut faire la guerre au mal, et le seul moyen de vaincre le mal est la connaissance, et pour transmettre le savoir il faut parler ou écrire, avec la langue ou la plume, et c'est cela l'épée spirituelle, car c'est elle seule qui apporte la véritable paix de la Loi, pas l'instructeur lui-même.

L'intelligence n'a pas d'importance.

L'important c'est de faire ce qui est juste et bon.

Le véritable pouvoir n'est pas de détenir des armes de destruction et de manier des gens, mais d'enseigner les lois et de respecter vie : cela n'a rien à voir avec la force physique ou mentale mais avec la bonté et avec l'honnêteté. Le véritable pouvoir n'est pas de mentir et de faire croire des choses fausses, c'est de réparer et de demander de l'aide pour réparer les problèmes.

Afin de justifier des actes ou des non actes, y compris conduisant à la mort ou laissant mourir, beaucoup de gens et de groupes invoquent des intérêts supérieurs qu'ils appellent une bonne cause en réalité frauduleuse car la seule cause supérieure se trouve dans le travail œuvrant à ces choses simples, élémentaires, fondamentales et essentielles que sont la connaissance, la vérité, la bonté, la générosité, la bienveillance, la compassion, l'équité, l'honnêteté, la justice, la santé, le bien-être…

La vie et le vivre

La programmation informatique orientée objet nous enseigne que le cycle de vie d'un objet est :

Créer et démarrer -> utiliser et changer -> arrêter et détruire.

Au-delà des objets et des êtres de l'univers, la vie est constituée de choses nommées :

  • Contrôle des ensembles de la réalité :Ce sont les systèmes ou domaines avec des acteurs et des données ;
  • Connaissance des mouvements affins :Ce sont des activités ou processus avec des programmes et des instructions ;
  • Responsabilité des interactions communicantes :Ce sont des messages ou évènements avec des buts et des paramètres.

La vie elle-même n'est pas ces choses. La vie n'est pas un jeu. Mais vivre consiste à avoir des activités et des jeux qui sont des types particuliers d'activités.

L'important au sein d'un groupe est de ne pas faire de mal, d'apprendre à ne pas faire de mal et d'enseigner à ne pas faire de mal. Car rien ne peut justifier le mal qui est la mort du bien et de la vie. Ceux qui choisissent de travailler pour le bien et pour soutenir la vie sont des gens honnêtes et des justes ou tsadikim qu'on appelle les vivants. Ceux qui choisissent de travailler pour le mal et pour causer la mort sont des gens méchants et des criminels ou réchaïm qu'on appelle la mort. Ceux qui font n'importe quoi, qui ne savent pas comment agir et qui ne maîtrisent pas leurs bon et mauvais penchants, faisant à la fois des choses bonnes et des choses mauvaises, sans véritable force d'intention soutenue, sont appelés des gens moyens ou bénonim qu'on appelle les idiots.

Vivre, c'est comme au poker. La première règle est de ne pas avoir peur de perdre. La deuxième règle est de ne pas regretter d'avoir jeté des cartes. La règle numéro zéro est de ne frapper personne et d'aider les blessé(e)s, qu'elles ou ils soient mis à tapis ou que ce soit eux ou elles qui nous y mette.

Vivre et travailler est parfois considéré comme un jeu, tout dépend de la définition du mot jeu. Mais la santé, l'aide et la justice ne sont ni un jeu ni une industrie commerciale, car ce sont les fondements tant des jeux de la société et que de la civilisation. Considérer la vie humaine, la santé, l'aide et la justice, et donc le travail d'un docteur et d'un thérapeute, d'un aidant et d'un bénévole, ainsi que d'un avocat et d'un juge, comme un jeu et donc comme quelque chose où il y a quelque chose à gagner telle qu'une source de profit personnel autre que la satisfaction d'assister et sauver la vie, n'est pas éthique, et c'est une erreur fatale qui est la plus grande des sources des aberrations des groupes humains et des individus qui mènent aux crimes et à la chute des civilisations avant même leurs commencements.

Que le lecteur soit d'accord ou pas avec cette affirmation ne change pas cette réalité qu'il peut constater à travers les histoires humaines depuis l'aube des temps. La vie elle-même et le vivre accomplit par cette vie sont deux choses différentes, aussi différentes que la lumière des photons et les atomes du soleil. Il y a souvent confusion. Le vivre, c'est le jeu. La vie, c'est ce qui joue. Faire de la vie un jeu, c'est faire du joueur un jeu, et c'est là qu'est la source de l'aberration humaine et des crimes.

Alors si la vie n'est pas un jeu, un grand problème est que des êtres humains aberrés, parfois puissants, en font un jeu, leur jeu, où seul eux gagnent, tandis que ceux qu'ils télécommandent directement comme indirectement perdent.

L'être humain est génétiquement programmé pour vivre une certaine durée optimale qui est actuellement de cent vingt ans. Il est possible de vivre une bonne partie de cette durée en relative bonne santé et en ressentant un relatif bonheur. Mais lorsque l'espérance de vie est réduite, lorsque la vie n'est que malheur, c'est toujours à la suite d'un accident ou d'une maladie, et cela peut souvent être à cause des méchants. Lorsque la nature détruit ce que les humains construisent, ils appellent ça une catastrophe naturelle. Mais lorsque des humains détruisent la vie de l'un d'entre eux, cela s'appelle un crime majeur et rien d'autre, jamais de la justice, puisqu'injustice.

Que la musique soit bonne ou mauvaise, ou de tel ou tel genre, n'est pas le plus important, car ce sont les paroles et les actes, justes et faux, qui façonnent les humains, les individus, les groupes et l'espèce.

Le mythe de la crucifixion institutionnalisé suite à une falsification du texte original n'est pas quelque chose à vénérer et à souhaiter car il est le procédé physique et mental mauvais, inefficace et inutile d'une lapidation perverse, d'une flagellation sournoise et d'un mépris meurtrier, sous fond de manigance. En effet, crucifier signifie mettre en croix tel qu'il a été exposé au sujet de l'effet de la respiration Shaa qui active la moelle épinière et l'artère pulmonaire qui se joignent au thymus et qui génèrent grâce aux chakras la pluie des grains de lumière du champ électromagnétique qui contient la manne qui soigne l'esprit et le corps en soi et autour de soi.

Voici trois manières d'évaluer l'évolution et la survie d'un individu, d'un couple, d'un groupe, d'un peuple, d'une civilisation et de l'espèce :

  • Lorsque la technologie détruit, il y a ruine de l'esprit ;
  • Lorsque la culture dupe, il y a dévastation de l'âme ;
  • Lorsque la médecine rend malade, il y a mort du corps.

Téhilim 22.17 "Car des chiens tournent autour de moi, une bande de scélérats me frappe, ils ont creusé/percé mes mains et mes pieds {variante : ils ont tendu un piège à mes actes et à mon évolution (à ma destinée, à mon futur) ; c'est-à-dire qu'ils ont volontairement saboté ma vie}."

Habaquq 2 à 4 "Jusqu'à quand Éternel ? J'ai crié et tu n'écoutes pas ! J'ai crié vers toi à la violence et tu ne secours pas ! Pourquoi me fais-tu voir l'iniquité ? Contemples-tu l'injustice ? Pourquoi l'oppression et la violence sont-elles devant moi ? Il y a des querelles et la discorde s'élève. Aussi la loi n'a pas de vie, la justice n'a pas de force, car le méchant triomphe du juste et l'on rend des jugements iniques."

Dévarim 19.20 "Et ceux qui restent entendront et craindront et ne referont plus un acte aussi criminel au milieu de toi."

Littéralement "Et ceux [qui] restent (épargnés) ils entendront (comprendre) et ils auront peur. Et ne pas ils continueront [de] faire encore une fois (à d'autres) comme [cette] chose le mal (le crime). Le voilà au milieu de toi (le mal) {il faut l'enlever}"

Des langages et des jeux

Les lois du langage étudiées par le judaïsme générations après générations sont des lois très difficiles, mais essentielles afin de museler le mal.

Un problème survient lorsque les autorités en place, au lieu de se placer au service des lois, donc en dessous, estiment qu'elles sont faites pour être soumises. Ainsi le problème n'est ni la politique, ni la télévision, ni la technologie, ni la chimie, ni la médecine, ni toutes les choses que tout un chacun a parfois l'opinion d'être bonnes ou mauvaises, mais les criminels qui détruisent autrui pour du gain personnel.

Alan Schoonmaker a écrit : "Les gagnants ont la discipline de faire les choses désagréables que les perdants ne feront pas ; l'une des questions les plus fréquentes concernant le poker est : pourquoi y a-t-il autant de gens qui jouent si mal ? La réponse est étonnamment simple : il est plus amusant de mal jouer que de bien jouer".

La diverses facette des activités de vivant peuvent être considérées comme des jeux. On peut jouer à réussir sa carrière professionnelle ou familiale ou sociale ou personnelle ou n'importe quoi d'autre. On peut jouer avec plein de choses, avec des outils, avec des loisirs, avec des relations, quand le but est bon ; mais jouer avec la vie des gens elle-même est toujours mauvais et c'est le plus haut crime et c'est interdit.

La force des mensonges et des illusions est proportionnelle à la durée de leurs existences et au nombre d'accords à ce sujet : plus une fausse croyance dure et plus il y a de gens qui y croient, plus il est difficile de l'annuler et de dévoiler la vérité au sujet de la chose qui est altérée et falsifiée.

Alors se pose la question : le pouvoir est-il bon ou mauvais ? Qu'y a-t-il de plus répugnant sinon des criminels enterrés avec tous les honneurs du monde, ayant fait croire à la justesse et à la bonté de leurs œuvres et de leur vie, tandis qu'ils volent l'âme des enfants et des adultes. Les criminels, ceux qui attentent volontairement et constamment à la vie des gens et à leurs possessions, si aucune autorité ne les arrête, n'ont aucune raison de ne pas continuer et de se sentir coupables : ils ont la conscience tranquille, ils aiment ce qu'ils font et ils en tirent un bénéfice.

Le lecteur, qui qu'il soit, doit comprendre une chose : le mal en lui, ses défauts, ses croyances et ses opinions proviennent des autres grâce aux mécanismes de la propagation volontaire et involontaire des mauvaises habitudes et des conditionnements malsains associés aux tromperies. Il est nécessaire de comprendre que beaucoup de gens font de mauvaises choses et s'associent à de mauvaises choses, croyant faire des choses justes et bonnes : c'est un mensonge auquel ils croient tout en méprisant et détruisant la vie ; alors en réalité, ils sont la source du mal qu'ils pensent éradiquer en agissant comme ils le font envers leurs victimes qu'ils désignent comme coupables à l'aide d'une justice démocratique sans procès public.

Des humains et des problèmes

La volonté de Dieu n'est pas la volonté des humains qui parfois font croire que leur volonté est celle de Dieu tout en enfreignant les lois divines comme humaines.

La Torah est le livre des humains, du premier au dernier.

Il n'y a pas plus grand mérite pour le peuple d'Israël que de transmettre le texte hébreu, à la lettre près, sans l'altérer, générations après générations.

Le bien est le fruit de la lumière de la vérité car elle est considérée comme bonne par Elohim qui estime que les mauvaises choses doivent être enlevées afin de révéler la bonté en l'être humain.
Un monde véritablement civilisé tend vers une absence de sélection naturelle : la justice règne sur les intérêts et sur le crime afin de les réduire, et la médecine règne sur les maladies et sur les traumatismes afin de les soulager.

Un des problèmes d'un monde technologique est le contrôle des naissances et des ressources. Une des plus mauvaises solutions est l'idéologie criminelle de la sélection humaine : la justice et la médecine sont alors au service de la mort et de la spoliation, au lieu d'être au service de la vie et de la propriété. Alors le pire des mensonges est celui qui est médical car il est un mensonge à la fois religieux, militaire, politique, administratif, social et professionnel.

Les criminels jouent avec la vie, avec la santé, avec l'aide et avec la justice. Derrière un semblant de libéralisme se cache la plus abominable des dictatures qui se passe de preuves afin de les nier. Lorsque des personnes se voient refuser l'accès à la justice, c'est qu'il n'y a aucune liberté, même d'expression, et seule l'administration a des droits.

Les législations humaines font parfois la distinction entre différents niveaux de méfaits, du moins grave au plus grave, et c'est logique, mais il ne faut pas oublier que souvent les infractions répétées dans le temps servent à commettre des délits ponctuels dont la finalité est d'accomplir des crimes.

Jean 8.3 à 11 "Les scribes et les pharisiens amenèrent une femme surprise en adultère ; et la plaçant au milieu du peuple, ils dirent à Jésus : Maître, cette femme a été surprise en flagrant délit d'adultère. Moïse, dans la loi, nous a ordonné de lapider de telles femmes : toi donc, que dis-tu ? Ils disaient cela pour l'éprouver, afin de pouvoir l'accuser. Mais Jésus s'étant baissé, écrivait avec le doigt sur la terre. Comme ils continuaient à l'interroger, il se releva et leur dit : Que celui de vous qui est sans péché jette le premier la pierre contre elle. Et s'étant de nouveau baissé, il écrivait sur la terre. Quand ils entendirent cela, accusés par leur conscience, ils se retirèrent un à un, depuis les plus âgés jusqu'aux derniers ; et Jésus resta seul avec la femme qui était là au milieu. Alors s'étant relevé et ne voyant plus que la femme, Jésus lui dit : Femme, où sont ceux qui t'accusaient ? Personne ne t'a-t-il condamnée ? Elle répondit : Non Seigneur. Et Jésus lui dit : Je ne te condamne pas non plus : va et ne pèche plus".

Les pharisiens sont certains historiens et enseignants qui s'occupent de la fonction du corps-temple de la pensée-esprit.

Les sadducéens sont certains politiciens et administrateurs qui s'occupent de la structure du corps-temple des murs-mobiliers.

Le temple du corps

Jean 2.13 à 16 "La Pâque des Juifs était proche et Jésus monta à Jérusalem. Il trouva dans le temple les vendeurs de bœufs, de brebis et de pigeons, et les changeurs assis. Ayant fait un fouet avec des cordes, il les chassa tous du temple, ainsi que les brebis et les bœufs ; il dispersa la monnaie des changeurs et renversa les tables ; et il dit aux vendeurs de pigeons : Ôtez cela d'ici, ne faites pas de la maison de mon Père une maison de trafic."

Qu'est-ce que la maison du Père ? C'est traditionnellement l'église et la synagogue ou tout autre lieu de culte abrahamique. Tous ces lieux représentent le corps humain.

Qu'est-ce que faire du business à l'intérieur ? Au-delà du commerce à l'intérieur d'un lieu de culte, c'est faire commerce de la vente d'organes et de cellules, que ce soit à des fins pharmacologiques, médicales ou autres. Faire un don, c'est une chose, mais en faire commerce, c'est mal. Faire de l'être humain un produit, de quelque nature que ce soit, est une erreur fatale qui ne rapporte, en apparence, qu'à court terme. La séquestration hospitalière en soins palliatifs et en psychiatrie peuvent parfois relever d'un commerce criminel abominablement douloureux.

Toute expérimentation animale, comme humaine, qui fait souffrir, volontairement, même en cas de doute, est interdite par la Torah.

Rendre les gens souffrants et malades puis mal les soigner est le moyen du mobile.

Qu'est-ce qui caractérise l'être humain ? C'est l'aide, la médecine et la justice qui proviennent de la parole humaine et non de la parole animale et végétale. Les humains ont-ils changés au cours des millénaires ? Non : leurs esprits, leurs cœurs et leurs corps sont les mêmes depuis l'aube des temps quels que soient l'environnement, le langage, le savoir, la culture et la technologie.
La santé, l'aide et la justice, au sein d'une société civilisée et évoluée, ne sont pas des choses qui se méritent selon des critères plus ou moins subjectifs et arbitraires, ni des choses auxquelles on a droit ou pas droit selon des règles d'usage : ces choses sont la vie elle-même car elles font survivre.

Abaisser la santé, l'aide et la justice au rang de jeux est absolument et à sang pour sang criminel : telle est la réalité d'un système aussi fier et impitoyable que dément.

Des médicaments ne soigneront jamais des traumatismes corporels ou mentaux, quoi qu'ils puissent réduire momentanément la souffrance. Baser un système de santé sur la seule prescription de substances parfois bonnes et nécessaires mais souvent néfastes et inutiles, ainsi que sur la chirurgie, parce que les techniques de réparation mécaniques locomotrices et mentales ne sont pas employées, que ce soit en entretien ou en urgence, est un crime organisé par les autorités contre la société elle-même avec son concours.

Voici ce qu'il se passe de nos jours lorsqu'un individu est souffrant et malade et qu'il ne peut pas fonctionner correctement : si c'est à cause d'un germe on lui prescrit des médicaments, si c'est à cause d'un poison on lui prescrit des médicaments, si c'est à cause d'un traumatisme corporel on lui prescrit des médicaments ou une amputation, si c'est à cause d'un cancer on lui prescrit des médicaments ou une ablation, et si c'est à cause d'un trouble du comportement on lui prescrit des médicaments. Pour peu qu'il puisse payer les frais même si le pays dispose d'une assurance maladie de base.

Pourtant tout le monde sait que c'est faire fausse route. Lorsque des germes, des poisons ou un cancer attaquent, il faut évidemment des substances pour les combattre si le corps n'y arrive pas de lui-même. Mais en cas de blessure du système locomoteur et que vous téléphonez à un docteur ou aux urgences pour un soin mécanique ils répondent qu'ils ne savent pas de quoi vous parlez ou ils disent qu'ils ne pratiquent pas ce genre de chose et qu'il y a les kinésithérapeutes et les ostéopathes pour ça, mais ces derniers ne feront généralement rien de bien. Et lorsque vos émotions vous submergent ou que votre mental est opprimé, c'est pire, vraiment pire, parce qu'il existe une fabrique à "malades mentaux" étiquetés comme tels par des gens qui sont vraiment fous mais qui ont le pouvoir de faire passer des victimes des catastrophes naturelles, des maladies et des méchants pour ce qu'ils ne sont pas.

Une certaine quantité de religions se proposent d'éradiquer le désir. Il n'y a pas plus grande erreur. Car tuer le désir, c'est tuer la vie. C'est annihiler l'impulsion de vivre. C'est la convoitise qu'il faut extraire de soi. En effet, c'est le désir qui fait vivre tandis que la convoitise ronge. Certaines philosophies voient dans le désir les racines du mal, tandis que d'autres prônent l'expression sans bornes de ce désir. Ils confondent la passion d'avec la convoitise. Le grand ennemi de la volonté n'est pas le désir, mais la convoitise. Le désir contrôlé est ce qui construit alors que la convoitise amène irrémédiablement à la dévastation. Ce n'est pas le désir qui est la source du mal et du crime, c'est la convoitise. La convoitise est une forme pervertit et avide du désir. L'ambition est une forme bienfaisante et satisfaisante du désir sauf lorsqu'elle provient de la convoitise. L'important, c'est la direction et la force du désir. Dans la convoitise, il y a ruse et mensonge afin de voler et tuer, tandis que dans le désir il y a lumière et vérité afin de donner et vivre. Le désir et la convoitise sont deux aspects de la communication que sont le bien qui donne et le mal qui prend.

Toute philosophie qui prône la distinction entre corps et esprit est mauvaise car il est impossible de séparer le corps de l'ADN des ARN cellulaires de l'esprit des instances du programme génétique.
Le soin de médecine, l'assistance sociale et la défense devant le tribunal n'ont pas à être des produits de consommation : ce ne sont pas des choses avec lesquelles on fait du bénéfice et telle est la loi en vigueur en France et sur le territoire conquis par la Déclaration Universelle des Droits des Humains des Nations Unies. Mais cette loi n'est pas respectée et l'argent du Trésor Public est détourné.

La haine sert à rien et c'est la pire des drogues car immatérielle, et une fois qu'on y a gouté, c'est fichu, ça fait faire des choses très méchantes et très stupides.

Après les germes et les catastrophes naturelles, la haine et la convoitise sont les deux plus grands fléaux du monde humain. Ces deux choses proviennent de l'ignorance qui engendre la peur, et de la jalousie qui engendre le vol.

La santé physique et mentale

Le vivant est une chose à la fois fragile et robuste.

Les gens sont conditionnés à une multitude de choses plus ou moins vraies et fausses concernant le corps et la conscience. Concernant l'adage qui dit que ce qui ne tue pas rend plus fort, en vérité, les traumatismes et les maladies qui ne tuent pas rendent plus faible ; c'est l'étude et la réussite méritée qui rendent fort.

Soigner, comme se soigner, efficacement, ne devrait pas être, parfois, interdit. Ainsi lorsque des praticiens refusent de soigner, cela devrait être considéré et jugé comme un homicide passif collectivement organisé tel que le définit la jurisprudence de la Cour de Cassation française.

La Torah indique que la personnalité fondamentale bonne ou mauvaise d'un être humain se manifeste dès la puberté.

Choisir le bien est le plus haut degré de connaissance, de science et de philosophie.

Choisir le mal est le plus bas degré de barbarie et cela fait chuter pour faire chuter.

La survie de tout système dépend de sa capacité non seulement à adapter son environnement, mais surtout et en premier lieu, à s'améliorer lui-même en postulant le changement bénéfique et adapté.

Lorsque la santé, l'aide et la justice sont un gagne-pain, il y a crime organisé.
Pour les criminels, se plaindre d'être victime d'un crime, est un crime qui doit être puni.
Les mensonges lorsqu'ils sont découverts, comme les faits, sont toujours une preuve irréfutable.
Pourquoi mettre l'intelligence et les ressources au service du crime alors qu'il est plus rentable de mettre ces choses au service de la santé, du travail et de la justice ?

Il est regrettable que la quasi-majorité des films qui abordent le sujet du crime considèrent généralement les crimes d'une seule personne voire d'un tout petit groupe, sinon ils parlent de sectes et souvent s'éloignent de la réalité, ou alors ils évoquent les génocides. Le sujet des groupes composés de centaines, de milliers ou de millions de membres antisociaux est éludé car c'est un sujet tabou : on parle des psychopathes solitaires qui tuent au sein d'une ville ou d'un pays, mais on ne parle jamais des villes ou des pays qui se liguent tous contre sa propre loi au nom de la démocratie, au nom de la justice, au nom de la stabilité, au nom de la sécurité ; en vérité c'est au nom du plaisir et de l'argent.

Qui de ceux qui demandent soins médicaux et justice, et de ceux qui refusent arbitrairement ces choses, sont les fous ? La réponse se trouve malheureusement dans la question.
Le bon pouvoir est d'identifier les problèmes de comportement, de les gérer et de les changer. Le mauvais pouvoir est d'empoisonner pour faire taire et disparaitre de la circulation tant les victimes que les criminels.

Il y a un problème avec le système médico-social et juridique-judiciaire actuellement en vigueur, car ce système est sous le contrôle de l'argent et sa réforme nécessite la réforme du système de la banque et de l'assurance.

La maladie mentale commune n'existe pas, c'est une invention, une expression imaginée pour désigner les troubles du comportement parfois nommés troubles psychologiques ou psychiques. Il y a certes les maladies génétiques et la dégénérescence cérébrale, mais c'est là autre chose qui entraine un dysfonctionnement au cœur de la cellule, comme le diabète. Ce qu'on nomme à tort maladie mentale désigne des dysfonctionnements de communication cellulaire qui se manifestent au niveau des interactions avec soi et avec les autres. Parler d'entorses cognitives serait plus juste, car c'est très similaire aux entorses articulaires et aux déchirures musculaires : à un moment donné, une personne subit un traumatisme psychologique ou une perte émotionnelle tel que des sévices physiques et mentaux ou un échec scolaire et professionnel ou encore un deuil, et alors les mécanismes qui vont faire que la qualité des interactions au sein de l'individu et entre la personne et son environnement va diminuer plus ou moins rapidement d'une manière similaires aux traumatismes corporels. Le seul moyen de réparer des traumatismes corporels, c'est l'action mécanique physique. On peut donc affirmer que le seul moyen de réparer les traumatismes psychologiques, c'est l'action mécanique psychologique. Certes les médicaments permettent de réduire la douleur physique le temps que l'action mécanique agisse. Mais concernant la souffrance mentale, la majorité des humains et les dirigeants font complètement fausse route, et même s'ils savent ce qu'ils font à court terme en détruisant des cerveaux jusqu'à ce qu'ils ne puissent plus communiquer, ils ne savent pas ce qu'ils font au long terme : il amputent un membre de la Nation et ils dénaturent l'espèce.

Voici la définition pleine et entière de la folie : "Irresponsabilité résultant du mensonge et du refus de communiquer."

Les camps humains

Victor Hugo a dit "Le propre de la solidarité, c'est de ne pas admettre d'exclusion".
Le véritable but des guerres est l'argent du commerce. En effet, même les guerres d'idéologie sont des guerres pour imposer une façon de voir le commerce et le capital, car c'est la monnaie qui organise les sociétés humaines. Il en a toujours été ainsi et il en sera toujours ainsi. Alors le problème n'est pas les marchandises et la concurrence, mais la déloyauté envers les clients et les crimes commis pour les posséder.

On peut voir le monde en trois camps : les bons, les méchants et les ignorants. C'est-à-dire ceux qui ne sont pas piégés et qui ne piègent pas, les piégeurs et les piégés.

Les pauvres vivent dans le monde des riches, dans celui que ces derniers fabriquent. Parfois les pauvres deviennent riches. Parfois les riches deviennent pauvres.

Le pouvoir est ce qu'on a la capacité intellectuelle et physique de faire.

Le droit est ce qui est permis ou pas de faire.

Quel est le but de la religion Abrahamique ? Conquérir la vérité par la vérité, sans blesser ni tuer, pour agir bien et pour développer la bonté.

Quel que soit l'attrait utopique des civilisations perdues ou l'espoir des organisations futures, l'humain reste le même.

L'aide est ce qui caractérise l'espèce humaine et la civilisation, et sa manifestation se trouve dans les systèmes de santé et de justice ainsi que dans l'humanitaire.

Les motivations, les faits et les preuves de la bonté ou de la méchanceté définissent le statut d'allié ou d'ennemi. Ce sont les actions et les aides volontaires bénéfiques ou maléfiques qui caractérisent une position stratégique. L'augmentation ou la réduction de la qualité des communications-interactions et l'accroissement ou la diminution des nuisances-souffrances définissent le statut d'allié ou d'ennemi.

Le mot français ennemi provient du latin "inimicus" construit à partir du préfixe privatif "in-" et de "amicus" (ami) provenant lui-même de la racine "amare" (aimer) : c'est celui qui ne nous aime pas et qui nous veut du mal. L'ami étant celui qui nous aime et nous veut du bien. Alors il y a un problème lorsque quelqu'un est traité en ennemi alors qu'il n'a commis aucun crime : quel autre choix que de considérer les agresseurs comme des ennemis ? L'ennemi est celui qui refuse de discuter, peu importe qu'on soit d'accord ou pas, qu'on ait raison ou tort. Lorsque deux entités sont en interaction et que l'une d'elles refuse de discuter, obligeant l'autre à ne pas discuter, c'est la folie et la guerre. Enclencher une interaction (s'adresser à quelqu'un) ou avoir la responsabilité d'une interaction (être une autorité) et refuser de discuter et d'échanger engrange de l'aberration.

Le problème religieux, c’est-à-dire le problème politique, est de considérer à tort que le mal et que la souffrance, c'est bien, que c'est un bienfait, que c'est utile, que c'est bon et que c'est la volonté de Dieu ou de l'État. Dire que le mal et la souffrance sont un bienfait, c'est être comme Qora'h qui se révolte contre la Loi de la Torah (Bamidbar 16.20 à 22 et suivants) : il rejette l'autorité divine et il refuse de placer Moshéh et la Loi au-dessus de lui afin d'y être soumis, car lui et l'élite dirigeante veut décider par-dessus la Loi. Pour cela il affirme que tout le peuple est saint et bon, et donc que quels que soient leurs choix et leurs jugements, ils sont justes. C'est pourquoi la tribu de Qora'h sombre engloutie par la main puissante de HaShem comme du 'Hamets qui est brûlé pour ne plus l'avoir sous les yeux, pour ne plus le propager, pour ne plus le laisser exister en nous et dans notre environnement, pour que les mauvais enseignements et que le mal qui en résulte soient chassés de devant nous, sans se retourner de peur d'être médusé de stupeur et changé en statue inerte et immobile.

Lorsque la mondialisation fabrique un monde d'esclavage médical, c'est que l'espèce marche vers son extinction. Mais la nature et l'univers n'a que faire des êtres vivants : les nuages passent et les continents valsent tandis qu'ils naissent et trépassent, les planètes tournent et les astres rayonnent tandis qu'ils apparaissent et disparaissent.

La race humaine n'a pas encore été civilisée. Nous n'en sommes qu'au début du commencement. Dans un monde civilisé, il peut y avoir des crimes, même en bandes organisés, mais il n'y a pas de guerres et les délinquants sont pour ainsi dire peu nombreux car l'intérêt dans le mal a été éradiqué au sein de la hiérarchie dirigeante qui sélectionne des fonctionnaires intègres, contrairement à une direction maléfique qui sélectionne des membres corruptibles.

"Lapider" ne veut absolument pas dire rouer de coups jusqu'à la mort physique, mais éduquer et transmuter les comportements à l'aide de livres, de films et de musiques.

"Dent pour dent" ne veut absolument pas dire qu'il faut arracher les dents de quelqu'un qui a fait une erreur involontaire ou volontaire, mais former des couples homme-femme afin de les élever vers le bonheur en enlevant les mauvais comportements.

Faire des choses qui blessent physiquement et mentalement sur la base de fausses traductions est un crime, et c'est une trahison lorsque c'est organisé par le pouvoir en place.

La direction des peuples

L'être humain passe son temps à imaginer son environnement et les objets inertes et vivants qui le composent. Il imagine dans le sens où il réceptionne, classe et extrapole les informations de ses sens de perception pour en tirer des conclusions et agir. Parfois il est proche de la réalité, parfois il en est éloigné. Cependant, cette imagination, cette analyse, ne change par la réalité, que ce soit au sujet des gens comme des objets. L'être peut au mieux s'efforcer de confronter cette réalité afin de distinguer les faits réels de sa pensée imaginaire dans le but d'agir avec le plus d'honnêteté, avec le plus d'efficacité et avec le plus de bonté et de justesse possible, afin de manier les choses pour le bien, pour la vie, et non pour le mal, pour la mort.

La laïcité est-elle permise selon la Torah ? Tout dépend ce qu'on entend par ce mot et ce qu'on en fait.

La définition de Wiktionary est "1. Principe de séparation entre l'État et les institutions religieuses, l'État n'exerçant aucun pouvoir religieux et les Églises aucun pouvoir politique ; 2. Caractère de neutralité religieuse, d'indépendance à l'égard de toutes Églises et confessions".

En réalité, la Torah prône une doctrine, pas une religion. Ce sont les interprétations erronées et les fausses traductions qui en ont créé des religions qui se battent entre-elles pour des dieux irréels inventés à la ressemblance de l'égo des méchants.

Doctrine : "Idéologie, principes de base sur lesquels s’appuient une stratégie et des plans d’actions".

Religion : "1. Système de représentation du monde et de croyances fondé sur la foi, et consolidé par l'accomplissement de rites dans le cadre d’un culte rendu à une ou plusieurs puissances, souvent célestes ; 2. Culte qu’on rend à la divinité."

Le mot hébreu pour doctrine est Leqa'h et signifie "apprendre, enseigner" ; une lettrique serait "Transmission de la Vérité sur la Créature". Le mot grec correspondant Didáskô signifie "enseignement, instruction, ce qui est recommandé". Il s'agit donc de préceptes, de règles de conduite, afin de produire du bien et de restreindre le mal.

La laïcité dans son sens noble est instaurée par une théocratie anarchiste dans le sens originel du mot Théos qui veut dire "Loi en vigueur". La théocratie, c'est tant être en accord avec les lois de l'univers et de la vie dans leur utilisation non nuisible qu'avec les lois humaines bénéfiques auxquelles on se soumet. La Torah dévoile les grandes lois en vigueurs dans l'univers physique et mental afin de rejeter ce qui est mauvais pour glorifier ce qui est bénéfique à l'être humain en tant qu'espèce.

La véritable laïcité est par définition le mode de fonctionnement d'un État qui n'a pas de religion, c’est-à-dire que sa politique administrative ne prend pas partit pour tel ou tel mode de pensé mais seulement pout la loi en vigueur qui a pour but le développement des individus, la protection de leur santé et de leurs biens, et la protection des faibles. Un État laïque ne va pas dire aux gens comment ils doivent faire telle ou telle chose, mais va seulement leur dire ce qui est autorisé et ce qui n'est pas autorisé afin que les moyens ne soient pas nuisibles.

Comment savons-nous que la Doctrine de la Torah est laïque ? Parce que les prêtres, les lévites, les religieux, ne sont qu'une des douze tribus d'Israël. Ainsi le service spirituel fait partie des services publics de l'État, mais ce n'est qu'un service parmi les autres et il n'est pas l'État lui-même, il n'est qu'une voix parmi les autres.

La psychiatrie est une religion avec tout ce qui fait une religion avec une bible, avec des croyances, avec des dogmes, avec des objets de cultes et avec des messes. C'est même une secte dangereuse. Et c'est la religion actuelle de laïcs qui dirigent la France et le monde. Mais il y a fausse route et c'est une mauvaise voie qui malheureusement conditionne la formation des praticiens médicaux au sein des universités, ainsi que des assistants sociaux et des juges.

Les gens veulent avoir la psychiatrie, ils sont conditionnés par les médias à penser cela, depuis les journaux jusqu'aux films de fiction en passant par les chansons et par les brochures administratives. Les gens veulent pouvoir se débarrasser des gens avec qui ils ne veulent plus communiquer ou qu'ils estiment ne pas correspondre à leurs schémas de pensée, à quelque échelle de la société que ce soit. Les gens se sentent ainsi en sécurité, croient-ils. Mais en réalité ils sont en insécurité permanente car il y a dictature médico-chimique esclavagiste et personne n'est à l'abri, même le psychiatre.

Les criminels et les fous estiment toujours que ceux qui se plaignent d'eux les harcèlent et les agressent. Il est inutile de chercher à comprendre car c'est incompréhensible : ils estiment que les victimes n'ont pas le droit d'entraver leur droits pour lesquels ils luttent. Ils revendiquent en effet le droit et la liberté de commettre des crimes.

Les criminels et les fous sont quasiment impossibles à ramener à la raison parce qu'ils refusent de discuter. Tant qu'on discute, aucun crime n'est directement commis et aucune guerre n'a lieu. C'est pour cela qu'une autorité n'a pas le droit de refuser de communiquer.

Lorsque le seuil statistique et probabiliste du hasard des entraves et des évènements funestes possibles au cours d'une vie est anormalement dépassé, ce qui aboutit à la ruine, on peut constater qu'aucune autorité humaine n'existe pour protéger les civils contre des groupes humains qui sont défectueux, même si on ne les connaît pas et qu'on n'est soi-même pas membre. En de telles circonstances, témoigner, dans l'intérêt de la Nation, expose malheureusement à des représailles.

Même une bonne dictature vaut mieux que la pire des démocraties.

Ainsi pensent les criminels : "Les lois sont faites pour être contournées et transgressées afin d'obtenir du plaisir et du profit."

Ainsi pensent les justes : "Les lois sont faites pour apporter sécurité, santé et liberté du peuple et des dirigeants."

Lorsque des États permettent la pratique du crime, de la manigance, de la voyance, de la divination et ce genre de chose, c'est que ces États gèrent ces choses.

Certes, une société organisée par le crime peut survivre un certain temps, mais sa valeur est nulle.
Là est uniquement la faillite d'un État et d'un gouvernement même mondial : L'incapacité à assurer la santé et la sécurité de ses citoyens indigènes et étrangers.

Pour une administration et pour toute autorité publique comme privée, l'officieuse connivence pour ne pas respecter la loi, voire l'enfreindre, rend toutes la législation en vigueur obsolète et inutile pour les administrés ; et cela annihile instantanément toute civilisation et toute humanité.

Le pouvoir est responsabilité, ce n'est un aphrodisiaque que pour les criminels.

Tricher, c'est mépriser le jeu et les règles.

Tricher, enfreindre les règles, c'est pire que mal jouer enseigne le Poker, car on est certain de perdre.

Les criminels avant de mépriser leurs congénères, méprisent les lois.

La force de la vérité

Le mal ne peut pas lutter contre la vérité. Le mal ne peut rien y faire. Le mal peut seulement maintenir les gens dans l'ignorance et leur faire du mal jusqu'à les tuer.

Le monde des vivants est la cible du mal et son jeu préféré est de manipuler les rêves et les espoirs des gens, disant : "c'est la vie, c'est comme ça que les choses sont, c'est naturel, la soumission à la loi est pour les faibles".

Sortir du monde de l'ignorance et de l'esclavage des pulsions et des illusions requiert de prendre conscience que l'on n'est pas coupable du mal subit et causé, à moins d'avoir été méchant et de décider de ne plus l'être et de réparer le mal causé. La libération implique de prendre la responsabilité de gérer les conséquences à la place des ignorants, à la place des criminels et à la place des fous.

La Torah nous demande d'être fort, de ne pas avoir peur et d'avoir foi en quelque chose de transcendant la raison humaine, que l'on peut nommer raison suprahumaine ou divine : cette raison-là est au niveau des lois de la science comme celle de la gravitation.

L'homme n'est pas un loup pour l'homme. Affirmer cela est un mensonge. Les loups sont des animaux. Ils chassent pour manger, comme tous les carnivores, sans avoir conscience de détruire la vie : ils n'ont pas la conscience du bien et du mal. Pour eux, c'est une pulsion instinctive, programmée, incontrôlable et naturelle.

Il est dommage et triste que dans un monde organisé autour de la raison criminelle, les travailleurs, les administrateurs, les artistes et les génies, afin de satisfaire leurs désirs de vivre, de s'exprimer et de réussir, soient obligés de participer à des transgressions dont ils n'ont parfois même pas la véritable connaissance, en accordant leurs pensées, leurs paroles et leurs actes avec des choses non souhaitables qui sont anti-survie pour les autres et pour eux-même.

Certains luttent pour la liberté et notamment pour la liberté d'expression et c'est bien. Mais certains luttent pour une liberté jusqu'à la liberté d'exprimer la haine et le meurtre, non seulement gratuitement pour le plaisir, mais également pour le profit.

Les criminels sont tout simplement de mauvais joueurs, même s'ils mentent à ce sujet ; quant aux bons joueurs, ce sont ceux qui cherchent à faire le moins de mal possible et à faire le plus de bien possible, même s'ils ne réussissent pas et même s'ils n'ont aucune renommée ; et ce, quel que soit l'expression du visage qui n'est que l'apparence d'un instantané, puisque, comme la réussite et la renommée, la prestance et la joie ne permettent pas de déterminer la valeur des gens. On ne gagne jamais rien à commettre des crimes, même si on croit le contraire et que l'on a des gains à court terme.

D'après ce que l'auteur a appris des séries policières, il semble qu'on ne peut rien changer à ce que sont les grands criminels tout comme on ne peut rien changer à la nature d'un animal. On ne peut que les enfermer en cellule d'isolement de sécurité maximum sur décision de justice et tout faire pour libérer et soigner leurs victimes.

La plus grande erreur des méchants, c'est de croire que le mensonge peut discréditer la vérité et gagner sur le long terme alors que c'est tout simplement impossible, même si la vérité perd sur le court terme.

La vérité est ce qui amène à la bonté afin que la bonté amène à la vérité. Ainsi la véritable valeur des gens se mesure à la manière dont ils aident les personnes en difficultés selon leurs moyens, leurs capacités et leurs propres problèmes à résoudre.

Tout est ordonné dans l'univers, des particules atomiques aux galaxies en passant par les êtres vivants. Tout est agencé et géré selon une mécanique de précision encore plus fine et exacte que les rouages de la plus spectaculaire des montres. Le chaos, même ordonné, n'est que dans la rupture du lien et dans les choses comme les accidents, les collisions et l'extinction ou la création de matière. Au niveau humain, le chaos n'est que dans la tête de ceux qui causent et ceux qui reçoivent une rupture de communication ou un doute.

Seules deux choses causent l'aberration et les problèmes : le refus de communiquer et les mensonges.

Le pouvoir de la Torah

Les commandements de la Torah sont les lois et les règles de la plus haute civilisation. Ils sont logiques, scientifiques et bienveillants. Ce sont les lois qui décrivent les modes d'action du bien et du mal, du libre choix et du libre arbitre, ainsi que du pouvoir. Leurs règles sont un code de conduite afin de survivre et de faire survivre. Étudier et suivre la Doctrine de la Torah, c'est vivre et agir tout en apprenant à savoir pourquoi il faut faire ou ne pas faire telle ou telle chose pour que les choses aillent bien et non pas mal.

Le mal, c'est la barbarie, la monstruosité et l'abomination : c'est faire succomber et c'est succomber. À moins de jouer à un jeu déterminé comme étant une activité de loisir sans préjudice possible au regard du gain final, il n'y a jamais de bonne cause dans la tromperie et dans la malice.
L'exposé sur les cycles du temps de l'action chromosomique de la matière énergétique a mis en évidence les versets kabalistiques cachés dans le texte de la Torah. Il existe d'autres codes et des gens travaillent sur ce sujet pour les trouver, pour les interpréter, pour les réfuter ou encore pour les mettre au point. La séquence de Weissmandel a la particularité et l'avantage d'être logique et cohérente tout en produisant un résultat remarquable et merveilleux. Il est possible de reconnaitre dans ces versets l'indéniable main des lois créatrices des choses de l'univers et de la vie qui n'ont rien à voir avec la manipulation et la planification, ni avec des prédictions et des coïncidences fortuites ou fabriquées.

Il est des choses que les chercheurs commencent ou recommencent à peine à prendre en considération et à étudier : ce sont les influences et les interactions de l'invisible que l'œil ne voit pas et qui sont les champs électromagnétiques et les ondes de particules. Cette science est complexe et c'est la science sacrée qui est inscrite dans chaque mot de la Torah et dans chaque lettre du texte. Cette science n'est pas la science de la sexualité, même si elle y est incluse, car contrairement à ce qu'affirment de nombreux gurus, ainsi que d'innombrables sectes et beaucoup de religions, l'énergie sexuelle n'est pas la grande énergie du monde.

D'où savons-nous cela ? Du premier verset qui indique que la création commence non pas avec les organes génitaux, mais avec les cieux et avec la terre. Et du deuxième verset qui définit que la première chose désignée préalablement à l'identification de toute chose est le souffle de Elohim qui détermine l'apparition de la lumière indiquée au troisième verset comme existant préalablement à toute chose, puisque pour apparaitre, il faut exister, ce qui fait de la lumière un principe originel inhérent à la création.

Cette lumière est la clarté qui distingue les choses et qui détermine leurs mouvements.
Lorsqu'on constate le niveau de complexité et l'étendue des domaines de la Torah, au fur et à mesure qu'on l'étudie et qu'on en découvre ses mystères, il est une évidence qui se forge en soi et qui développe la foi intérieure menant au savoir : il est impossible à l'être humain d'avoir conçu ce texte, même avec l'aide d'un puissant ordinateur, quoi qu'il ait été écrit par une main de chair.
Au premier chapitre de Béréshit, Dieu appelle la lumière "jour", les ténèbres "nuit", le firmament "ciel", le sec "terre" et les eaux "mers". Ensuite c'est l'homme qui a le pouvoir de nommer les choses. Ces seuls cinq mots indiqués être nommés par Dieu lui-même désignent les cinq livres de la Torah :

  • Béréshit : la lumière de la créationLa lumière est le feu créateur et destructeur
    🡆 C'est l'embryogénèse physique et spirituelle
  • Shémot : les ténèbres de la libérationLes ténèbres sont l'eau originelle de la vie
    🡆 C'est l'accouchement physique et spirituel
  • Vayiqra : le firmament de la destinéeLe firmament est l'éther qui soutient le champ vital
    🡆 C'est l'éducation physique et spirituelle
  • Bamidbar : le sec de la solitudeLe sec est la terre aride et solide
    🡆 C'est la formation physique et spirituelle
  • Dévarim : les eaux de la paroleLes eaux sont l'air du vent des myriades du flot de paroles
    🡆 C'est le travail de la sagesse

Alors il est autre une évidence : ce qui a créé l'ADN et ce qui a manifesté la Torah sont une seule et même chose. Cette chose singulière est ni un ni plusieurs ni aucun. Cette chose est HaShem Elohim tel qu'inscrit dans la Torah hébraïque, et peu importe que de puissants groupes mentent à ce sujet et que le monde soit inondé de désinformation et d'obscurantisme inquisitionnel.

La volonté humaine, libre de savoir et de s'exprimer, par ses choix causes, oriente ses actions effets, en étant juste ou méchante.

Si nous sélectionnons chaque premier et dernier mot de chaque livre, nous obtenons les versets codés suivants :

Israël est affligé à cause des paroles du mal i.e. des mauvaises paroles ou Lashon HaRa, le langage du mal qui est, au-delà du simple parlé incorrect et ignorant, la parole des méchants et des criminels qui convoitent et nuisent, car cette parole a pour but de transgresser la loi en vigueur humaine comme universelle.Le premier mot et le dernier mot de la Torah forme : "Béréshit Israël" soit "Pour début de Israël", indiquant ainsi qu'Israël provient de la Torah et non l'inverse. Les premières lettres de ces deux mots forment la racine Bet-Youd qui est la demeure de la flamme de vie ou encore la maison de la paix.

Le commandement "ne pas s'écarter du milieu ni à droite ni à gauche" mis en relation avec le mot Torah veut dire ne pas s'écarter de la distance située entre la communication Vav et la logique Resh qui se trouvent entre la loi Tav et le souffle Hé. Car le parler seul sans raison est folie et la raison seule sans le parler est esclavage. Le traité de la logique du Rambam est à ce sujet un ouvrage fondamental et essentiel ne serait-ce que pour distinguer le réel et l'imaginaire.
La Torah contient 187 chapitres, 5853 versets, 74357 mots et 304805 lettres.
Ce nombre de lettres divisé par deux indique le milieu de la Torah :

  • La lettre Vav : la communication.
  • Le mot "lui" (Hé-Vav-Alef) : c'est Moshéh le Père qui a donné la Torah, grâce au souffle de Elohim, pour HaShem, pour la vérité, pour le bien, pour la libération, pour la survie, pour le bonheur, pour soigner le mal, pour enlever le mensonge.
  • Le verset Vayiqra 8.28 : 8 est 'Het, la créature, et 28 est Kaf-'Het, la main de la créature qui accomplit les commandements.


Qu'est-ce que l'Altar ?
Une lettrique serait : "Origine de l'Action du Foyer de la Vitalité", c’est-à-dire la mitochondrie qui principalement transforme des nutriments en énergie tout en régulant le cycle cellulaire.

Il est compréhensible, et on peut supposer au bénéfice du doute, que si les traducteurs ne savent pas de quoi parlent la Torah et ce verset, ils ne peuvent pas le traduire et alors ils inventent des histoires de mains et de sacrifices qui ont encore moins de sens. On trouve pourtant des représentations de la double hélice chromosomique dans presque tous les édifices de toutes les religions. L'ADN est en effet la science éternelle des prêtres.

L'évolution de la conscience

L'auteur remercie HaShem de lui procurer par l'intermédiaire d'êtres humains nourriture, habits, livres, ordinateurs et tous ces objets de consommation.

Il estime que les humains, qu'ils soient gentils ou méchants, sont en général fondamentalement mauvais, peu sont bons, et qu'ils doivent apprendre à être bons ; mais ce n'est là qu'une opinion fondée uniquement sur son expérience. Il se peut que les gens soient fondamentalement bons, puisqu'ils naissent en toute innocence du monde des humains qui les corrompt. Il se peut également que la bonté ou la méchanceté soit inscrite dans les gènes, et alors le travail de modélisation de la bonté et la répression des pulsions prend tout son sens, car la punition barbare des actes au détriment de la réforme des esprits est vaine, et cela n'importe qui peut l'observer autour de lui et dans les histoires des civilisations.

Lorsqu'il contempla le monde, l'auteur fut émerveillé de la nature de l'univers et du potentiel de l'esprit humain. Et lorsqu'il tenta de comprendre la création, il fut touché par l'esthétique musicale de ses couleurs. Mais confronté à la méchanceté humaine, il fut désolé de constater que ceux qui vendent la mort ne font finalement que récolter ce qu'ils sèment.

L'auteur espère que le lecteur arrivé jusqu'ici ne sera pas le même que celui qui avait commencé sa lecture, et qu'il aura évolué pour le plus grand bien de tous : pour lui, pour sa famille, pour son groupe et pour son espèce.

Si le lecteur se sent en danger après avoir lu ce livre parce qu'il n'est plus ignorant du mal qui l'entoure ou parce que le mal qu'il repend a été mis à jour, qu'il ne s'en prenne pas à l'auteur.

Arrivé à ce stade de sa lecture, le lecteur perspicace se demandera sans doute d'où vient ce problème religieux et politique des groupes humains. Alors l'auteur répondra qu'il provient des écoles, des universités et des centres de formation, publics comme privés, civils comme militaires, laïcs comme religieux.

L'auteur ne s'attend pas à ce que le lecteur attaché à ses croyances modernes et à sa culture ancestrales puisse rapidement comprendre ce livre et changer facilement de point de vue.

Au-delà du problème de l'usage de l'impôt, lorsqu'on privatise la religion comme l'éducation, la santé, l'aide et la justice, alors la religion, c’est-à-dire la politique, est hors-la-loi, tout comme lorsqu'on impose la religion elle est dictature. Le plus important étant de ne pas nuire et c'est tout le sujet tant de la loi humaine que de la doctrine abrahamique.

L'État, en se séparant de la religion, en se séparant de la pensée qui façonne sa politique, en se séparant de la santé, de l'aide et de la justice, est devenu schizophrène.

La compassion est l'impulsion à prodiguer de l'aide à ceux qui souffrent.

L'empathie est la faculté d'accorder de l'existence à autrui.

La psycho-sociopathie est l'incapacité à exprimer de la compassion et de l'empathie.

Que les méchants soient maudits à jamais et qu'ils ne reçoivent pas leur part, c'est leurs choix. Que les justes soient bénis à jamais et qu'ils reçoivent leur part, c'est leurs choix. Que les enfants, que les orphelins, que les faibles, que les malades, que les ignorants et que les victimes soient par les justes tirés des griffes des criminels, des menteurs et des comploteurs, telle est la volonté de Dieu. Ainsi soit la Torah du Créateur de l'Univers dont l'étude de la Doctrine hébraïque est la plus grande des raisons de vivre parmi toutes les choses plus ou moins importantes de la vie.

Existera-t-il un jour un monde où l'éducation, la santé, l'aide, la justice, la religion et la politique ne seront pas basées sur le profit et sur la rentabilité ?

Ce livre, hormis la section du témoignage, est le livre que l'auteur aurait aimé lire lorsqu'il était adolescent, au lieu de perdre son temps en se faisant avoir par des méchants qu'il ne connaissait pas et qui retirent du plaisir et du confort grâce du bénéfice qu'ils retirent de leurs crimes commis contre la législation et contre l'humanité.

Solon aurait dit : "Quand on fait de grandes choses, il est difficile de plaire à tout le monde. Il faut apprendre à obéir pour savoir commander. La société est bien gouvernée quand les citoyens obéissent aux magistrats et les magistrats aux lois."

Paix à tous les êtres


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