Première rédaction fin 2011
Dernière mise à jour début 2021
Temps de lecture : 6 minutes
Considérations sur l'autorité
Le seul et unique but fondamental de la loi humaine est de protéger la vie et les biens de toutes les personnes, indigènes comme étrangères, sans discrimination puisque toutes et tous sont égaux en droits, et sans détruire même les criminels puisque tant l'erreur que la collusion sont humaines.
Cette loi humaine est en effet faite pour que les forts prennent soins des faibles, et non pour leur nuire, sinon la loi de la vie fait que les forts ne survivent pas plus que les faibles, car ce sont les faibles qui font survivre les forts en devenant forts : la preuve fondamentale en est que tous les nouveau-nés sont faibles et ce principe est très connu des docteurs, des herboristes, des jardiniers et de la plupart des adultes.
Ainsi les bonnes lois et les actes convenables aident, soignent, protègent, et résolvent les problèmes, pour faire vivre les gens et pour faire mourir les actes mauvais : tel est le travail des vivants, dans la mesure du possible ; et c'est difficile d'agir correctement, car ça demande de la bonne volonté et des efforts. Mais les lois inadaptées et les actes malintentionnés abandonnent, rendent malade, font souffrir, et fabriquent les problèmes, pour le profit et pour détruire les êtres : tel est le travail de la mort, dans la mesure du possible ; et c'est très facile de mal agir et de nuire, car il suffit d'en avoir rien à faire.
Ce qu'on raconte au sujet des bonnes et des mauvaises lois, la fameuse philosophie, n'a aucune importante : bien ou mal utilisées, les lois humaines comme divines marchent ou ne marchent pas, indépendamment de la volonté humaine et de ses plans, en fonction des vecteurs de forces qui engendrent les fonctions qui font que les phénomènes abstraits sans localisation ni temps deviennent des évènements concrets dans l'espace et le rythme ; car ce qu'on nomme généralement à tort le divin de manière diverse et variée n'a en fait ni plus ni moins d'existence, de volonté, de plan et de but que la force de gravitation ou de la mitose.
Concernant l'éthique, cette chose est le choix du bien, lorsqu'on sait comment fonctionnent certaines choses, afin d'agir sans porter de préjudice à qui que ce soit pour créer, pour réparer, pour faire évoluer et pour faire survivre les choses souhaitables et pour faire disparaître celles qui ne le sont pas, c'est-à-dire les systèmes, les comportements et les objets dangereux, mais en aucun cas les humains eux-mêmes et ses aptitudes qu'il faut sans cesse améliorer.
Tout le sujet des législations adaptées d'un peuple évolué et prospère est d'assurer les meilleures conditions de vie et la sécurité des possessions légitimes de chaque individu et non pas seulement d'un groupe ou d'un sous-groupe particulier au détriment ou au préjudice d'un autre.
Alors la civilisation se développe grâce à l'application systématique et bienveillante des lois et donc des programmes et des données, tandis que la barbarie se développe grâce à la manipulation malveillante des règles et donc des procédures et des informations : parce que le pouvoir est ce qui renforce le cœur des justes et qui corrompt celui des méchants.
C'est pourquoi la plus grande faiblesse d'un esprit humain est de croire que la cruauté est une force de la nature supérieure à la force de la compassion qui génère les actions d'assistance envers autrui et qui est issue du véritable savoir et pas seulement de quelque connaissance.
Constat législatif mondial
Le Préambule de la Constitution Française du 27 octobre 1946 stipulent notamment que l'éducation, la santé, l'aide et la justice, ainsi que subséquemment la recherche médicale et l'assurance contre le chômage, les maladies, les accidents et les nuisances, sont des services-publics nationaux qui sont financés par l'impôt et qui sont gérés pas des fonctionnaires dégagés de toute prise d'intérêts commerciaux.
Le Conseil d'État a jugé le 13 mai 1938 que "des personnes morales de droit privé peuvent gérer des missions de service public, y compris sans qu'un contrat soit passé avec l'administration" sans toutefois stipuler que cela ne dédouane pas l'État d'offrir au moins un bureau national public. On ne saurait par exemple interdire les associations caritatives et les cliniques ou encore les laboratoires de recherche privés, mais au moins une société d'assurance maladie et juridique nationale et un véritable service d'hôpital et de recherche public est non seulement vital mais requis par la loi en vigueur. Parce que si le bureau des avocats est également privé à 100% malgré une aide juridictionnelle aux victimes qui peut être arbitrairement et souverainement rejeté sans recours possible au nom du bon-droit et du bien-fondé pour quelque motif que ce soit, c'est tout le système qui est dysfonctionnel car corrompu, même lorsque les-dites victimes sont arrêtées par la police ou par les urgences pour être envoyées en psychiatrie afin de les isoler et de les faire taire avec des poisons mortels, puisque tant les juges, qui obéissent aux docteurs tout en ignorant les contre-preuves à l'absence de preuves, que les avocats, qui lorsqu'ils ne valident pas cette mascarade ne sont pas écoutés, ne sont qu'une parodie.
Le Code de Santé Publique stipule que "La médecine ne doit pas être pratiquée comme un commerce" et pourtant en vérité dans les faits tout est privé à but lucratif depuis l'assurance maladie et les hôpitaux jusqu'aux docteurs et aux pharmacies ; l'hygiène de convenance telle que les compléments nutritionnels et la gymnastique au-delà de l'aspect vital en cas de maladie et de handicap n'étant pas concerné - et on ne devrait jamais forcer qui que ce soit à participer à une activité sportive ou à consommer quelque substance ayant des effets secondaires notables hormis de l'eau saine et de la nourriture vitale.
En réalité et en pratique, c'est contre les lois en vigueur que des organisations privées, de fait législatif et constitutionnel illégales, dirigent les comités publics des territoires et du pays depuis les mairies jusqu'au gouvernement en passant par les départements et les régions : l'ensemble de ces entités forme ce qui est nommé "organisation médico-sociale et juridique-judiciaire" de la Nation, et ces comités sont composés des représentants de ces entreprises et associations, officiellement dites à but lucratif ou non lucratif, qui siègent ainsi aux côtés des élus eux-mêmes directement ou indirectement impliqués dans leurs activités notamment financières, via des intérêts d'emploi, de subvention, de bourse ou d'idéologie, tandis que ces assemblées sont placées sous la tutelle du gouvernement et notamment des ministères de la santé et de la justice ainsi que du travail ; la présidence nommant les procureurs et les juges.
Ce qui précède concernant la France est quasi-majoritairement valable en Europe et dans le Monde entier, notamment au sein des Nations-Unies, quelles que soient les variations des codes locaux.
Fondation d'une association internationale
Mission d'intérêt général
Toute personne souhaitant fonder ou participer à la fondation et à l'entretien d'une organisation non gouvernementale comme par exemple :
Association Internationale |
International Association |
Est libre de le faire ou de contacter l'auteur qui interviendra en tant que conseiller humanitaire et consultant informatique indépendant.
Deux buts pour réduire la souffrance
- Promouvoir au sein de l'humanité, quelle que soit la politique administrative de l'État, le droit à une laïcité aussi juste et impartiale qu'équitable, et le droit à une liberté d'existence et de culte ou de culture dans le respect de la vie d'autrui et de l'obligation de ne pas atteindre à son intégrité, en informant sur la nature de la vie, des êtres humains, des groupes, des civilisations, des lois et des crimes.
- Promouvoir sans préférence particulière d'idée les principes vitaux de politique fondamentale exposés dans la Théorie de santé-aide-justice et l'Avant-propos du livre Le problème religieux, c'est-à-dire la réforme des systèmes médico-sociaux et juridiques-judiciaires lorsque leurs autorités régissantes n'agissent pas en tant que services publics à but non lucratif, afin que les lois en vigueur et la liberté de vivre soient respectées, que les trafics et le nombre de malades et d'accidentés diminuent, et que chacun puisse prospérer en paix selon ses capacités.
Trois moyens pour informer
- Une adresse postale pour gérer les courriers administratifs.
- Un site internet pour renseigner le public et communiquer avec lui.
- Une équipe de bénévoles chargée de mettre à jour la section des données à promouvoir, de répondre aux messages et de former et entretenir des relations avec les organisations internationales qui œuvrent pour l'évolution et la civilisation des secteurs éducatifs, politiques, financiers, médicaux, sociaux et juridiques.