Épitaphe

Étude de la fractale alchimique Rosa Cosmica 1595
Ou synthèse de la cellule humaine en mouvement dans l'univers

Première rédaction l'été 2022
Dernière mise à jour en mai 2023

Temps de lecture : 43 minutes

Avertissement

Les choses exposées ci-après sont condensées et peuvent paraître incomplètes voire incompréhensibles ou même non-orthodoxes jusqu'à l'impensable, pour le profane comme pour l'érudit, car abordant certains grands thèmes de la vie humaine et du sacré parmi d'autres de manière sporadique selon un point de vue original tout en suivant le fil conducteur de l'iconographie en question à la lumière de l'enseignement de rabbins réputés au sujet de la Torah écrite ainsi que de dictionnaires officiels toutes confessions confondues.

Des explications plus détaillées se trouvent dans le livre et les livrets de l'auteur ainsi que dans les exposés audios qui sont une version réagencé afin d'offrir une perception alternative des écrits même lorsqu'ils n'ont pas encore été publiés.

On gardera à l'esprit le postulat fondamental utilisé par l'auteur qui est le physicalisme soumis à une confrontation constante avec ce qu'on lui a enseigné à l'école publique et avec les connaissances scientifiques présentées en librairies et dans les documentaires ainsi qu'avec la grande législation humaine en vigueur sur notre planète.

En plus du Miroir de l'alchimie de Roger Bacon compilé vers 1540 qui est plus austère et plus direct même en français, la lecture de l'Amphithéâtre de la sagesse éternelle contenant cette Rose Cosmique publié à la fin du 16ème siècle est évidemment recommandée, quoi que la mauvaise traduction en français vieux ou moderne soit à éviter même avec toutes les précautions du monde, aussi les courageux qui en auraient la compétence préféreront l'original, et dans tous les cas ce sera avec toute la prudence et le recul qui s'impose, beaucoup de choses étant occultées, même dans cette étude, et le mot amphithéâtre étant éloquent à dessin...

La Rose Cosmique

L'étude suivante du contenu de ces deux images, issues de l'Amphitheatrum Sapientae Aeternae de Heinrich Khunrath et dessinée par Paullus van der Doort, utilise comme pour les shenous la méthode d'analyse lettrique hébraïque mise au point par l'auteur, également applicable à toutes les langues dites sacrées y compris par exemple les hiéroglyphes et les runes ainsi que la majorité des iconographies dites religieuses.

Les autres images ne seront pas étudiées car réservées à la transmission de l'instructeur à l'étudiant dans le cadre privé et confidentiel selon les questions et la progression, mais quelques liens vers des cours de rabbins plus compétents que l'auteur pour évoquer ces choses permettront probablement avec l'aide de la Torah, et donc de HaShem, ainsi que de l'étude, de percevoir tant l'étendue et la simplicité que la majesté et la splendeur du noble mystère.

L'espace intérieur

Le fils Adam

Nous avons au centre un être humain : ce sont les chromosomes eux-mêmes issus de YHVH grâce aux quatre bases azotées qui contiennent à la fois les plans de la structure de la terre du corps et des organes via l'ADN dit codant (les données), et à la fois les fonctions du programme des états de conscience du mental ou cieux via l'ADN dit non-codant et épigénétique (le logiciel).

Les Cieux sont le fonctionnel : ce sont les états de conscience du mental, de l'âme et de l'esprit, c'est-à-dire les algorithmiques de l'ADN. C'est le coeur de l'être par-delà les organes et les perceptions, tant l'inconscient que le conscient et donc ce qui dirige le végétatif et le volontaire y compris la réaction réflexe.

La Terre est la structure : c'est le corps, le support cellulaire structurel du fonctionnel, c'est-à-dire les atomes, les moléculaires, les cellules, les tissus, les organes, etc. C'est la somme symbiotique de ces choses, générée par l'ADN fonctionnel grâce à l'ADN structurel, tant du noyau que des mitochondries qui sont des symbiotes très particuliers comparé aux autres symbiotes nommés de nos jours microbiote et même virobiote.

Ces deux choses, le plan et le programme, généralement nommées par exemple le matériel et l'immatériel ou le visible et l'invisible voire le corporel et le spirituel, étant trivialement, et de fait, inséparables, tout comme il est impossible de séparer les données du logiciel sinon en cassant la barrette de mémoire de l'ordinateur, c'est-à-dire tuer l'être humain, pour que tout disparaisse au rebus avant le terme échu définit lors de la fusion des gamètes par Dieu ça-même, ce qu'on appelle être plus fort que la mort en l'absence de maladie véritablement incurable et de catastrophe d'origine naturelle ou d'accident fatal non intentionnel.

Il est ainsi impossible de séparer le corps de l'âme ou de l'esprit et du mental, peu importe les nomenclatures et les dichotomies, et tout celui ou celle disant qu'il existe autre chose au-delà de l'ADN hormis les lois elles-mêmes est une ou un menteur qu'il ne faut ni écouter ni suivre, et le temps fera son oeuvre pour dissiper le grand mensonge récurrent cataclysme après cataclysme, éon après éon, car on ne peut rien y faire de plus de manière légale sinon étudier et témoigner de la vérité ainsi que se détourner des balivernes et des sornettes.

Affirmer que les fantômes et les lutins ou ce genre de choses grandes comme petites telles que les panthéons divers et variés existent dans le monde réel en dehors des oeuvres de fictions pour éduquer et divertir est pure trahison - peu importe qu'on estime que ce genre de production est permise ou pas.

Cet Adam est en posture de croix, tel qu'indiqué dans le livre Le problème religieux au chapitre La religion en section Ouvrage :

La verticale est le flux nerveux de la moelle épinière.
L'horizontale est le flux sanguin de l'artère pulmonaire.

C'est le blanc et le rouge de l'alchimie.
C'est le pain et le vin de l'eucharistie.
C'est le corps et le sang du Christ.

Le croisé, c'est le cœur.
L'épée, c'est l'arme de la parole et la plume du verbe.

Le sacrifice, c'est respirer et vivre.

La crèche, c'est les entrailles.
L'âne et taureau, c'est secondairement le foie et la rate.

La coupe du graal, c'est le bassin du diaphragme.

Le livre écrit en dedans et en dehors est la molécule d'ADN.

La naissance de Jésus est celle de la nouvelle conscience.

Le souffle de Elohim allume la lumière dans l'âme.

L'expression "Saint Graal" proviendrait de Sangréal en médiéval, soit Sang Réal. Réal étant une forme du mot Régale, on obtient : "Sang Royal". Ce "sang" considéré comme "spécial" révèle une "disposition à la science royale" innée ou acquise.

Par exemple le terme sanskrit "Arya", d'où provient le mot Aryen, signifie "Noble, maître, dévoué, fidèle, attentionné, qui sert avec loyauté" au sens de d'élu et de dirigeant, c'est‑à‑dire de clergé en termes de sélection, d'instruction et de fonction. Cela n'a rien à voir avec la race ou la nationalité, mais avec la faculté, avec l'éducation, avec une formation et avec un emploi dédié à servir le bien-être et l'évolution du groupe, du peuple et de l'espèce, et donc la survie. C'est comme avec l'expression "djihadiste" qui en arabe ne veut pas du tout dire terroriste mais "celui qui fait un effort avec abnégation" pour s'améliorer et pour combattre le mal en étudiant les lois en vigueur de la bienveillance, de la compassion, de la justice et de la réparation afin d'agir de manière correcte et efficace.

L'eugénisme et le nationalisme relèvent d'autres choses qui sont soit politiques lorsque bénéfiques soit criminelles lorsque maléfiques. Aucun être humain n'a le même sang que quelqu'un d'autre, chacun est unique malgré le même groupe sanguin : c'est l'opinion ou le savoir et les buts ainsi que les préférences qui peuvent être partagés.

Quant à la haine, ça ne relève que de l'ignorance et de la méchanceté car cela provient d'une volonté de rupture de communication totale au niveau universel vis-à-vis d'autrui : c'est le refus d'accorder le droit de vivre, d'être aidé et d'être soigné des blessures qui tuent avec le temps qui passe. Détester quelque chose n'est pas la même chose que haïr la personne qui fait cette chose, car le mot détester inclue le maintien de la communication et la notion de volonté de réparation de ce qui est mal.

Le mot Noël, qui provient du grec "néos hélios" désignant le nouveau soleil, peut être rapproché du terme nordique "Jol ou Jul ou Yule" provenant du proto-germanique "jehwla ou yeka" ayant un sens de joie et d'allégresse.

Le personnage imaginaire et idolâtre du Père Noël serait une évolution de Santa Claus et du lutin Nisse, ainsi que d'Odin* qui est un mot scandinave signifiant non pas un dieu par altération du sens mais "poète, chanteur, parolier, écrivain, scribe, causer l'effervescence" - ce sont les mauvais scribes qui fabriquent les idoles et qui les entretiennent...

Le mythe du Père Noël ne sert qu'à apprendre aux parents à mentir à leurs enfants afin de créer leur première perte par trahison, ce qui est une grande source d'aberration pour la société et le peuple, non parce que c'est une fête d'espoir, de rêve, de bonté et d'offrande, mais parce que c'est une farce relevant de la duperie et du mépris.

* Du sanskrit Uda "eau" et Und "arroser, jaillir, onde". Asgard qui signifie en nordique "domaine de la parole qui engendre" provient du sanskrit Asu "force de vie, souffle de vie, esprit".

Le père Moshéh

Nous avons une inscription sur un fond nuageux sombre que sont les pensées en gestation du tohu-bohu de l'ignorant qui commence l'étude des sciences et de la Torah :

DEI ERAT IPSE
vere filius

Qui peut se lire :

DIEU A CONSENTI LUI-MÊME
conformément [il a été produit un] fils [de la Torah]

Dieu (la Torah et donc Israël via Moshéh) a été le Père (Moshéh lui-même par la Torah) du [nouveau] fils (prêtre) {nouvel hébreu sortit de Mitsraïm pour être libéré de l'ignorance et des méchants}

Tel qu'exposé dans le livre Le problème religieux au chapitre La religion en section Ouvrage :

Le livre de Josué (Yehoshouh'a fils de Noun) qui fait suite à la Torah n'est autre que celui de Moshéh ayant accompli la Kabalah de Pessa'h et qui est devenu le plus grand des prophètes, le premier Iesous (Dévarim 34.10).

Moshéh lui-même ne pouvait pas entrer en Israël car il devait radicalement changer d'état de conscience grâce à la Torah, encore plus que lors de la sortie de Mitsraïm et de la traversée du désert. Comme la place de Moshéh est dans le désert où se révèle la Doctrine, alors il doit transmuer pour entrer en Israël, sa destination.

Tel qu'écrit en Matthieu 1 et 2, le "Iesous" est un héritier de David héritier d'Abraham. Ce mot grec signifie comme en hébreu : "sauvé par le Yah de YHVH". Ce nom désigne la destinée de celui qui est oint au cours de cette seconde naissance qui est dite avoir lieu à "Bethléem en Judée". L'article grec employé devant cette expression pouvant signifier "par, grâce à", on peut lire :

Matthieu 2.1 Il est désormais né Yehoshouh'a (celui qui est sauvé par Yah) grâce à la maison rédemptrice de Yehoudah (qui applique les commandements de YHVH). Grâce au jour mémorable (l'onction i.e. le baptême) [il est] le [nouveau] prêtre. Voilà ! Des mages du levant (qui allument la lumière) sont arrivés à Jérusalem (ils ont aidé à apporter la lumière de la Torah à l'esprit humain, à son cerveau).

Matthieu 2.2 Ils constatèrent [arrivés] là : il est [né] le nouveau prêtre produit [par] les juifs. Nous avons observé [la Loi] pour [que] lui-même [la] diffuse (éclairer, dupliquer) grâce à la clarification et nous sommes venus pour cela.

Le mot "Bethléem" signifie littéralement "maison du pain [azyme]", faisant ainsi référence à Pessa'h et à la sortie de Mitsraïm.

Le mot "Hérode" veut dire "héroïque" ou "mémorable", indiquant que le jour de l'onction qui est celui d'une naissance spirituelle est un grand jour puisqu'il est le deuxième plus grand jour après la naissance physique et qu'il n'y en aura pas d'autre d'aussi important dans la vie de l'homme ainsi devenu "roi", mot grec qui veut en réalité dire "chef" au sens de "guide, maître" qui selon le contexte de la narration est soumis à la Doctrine, c'est-à-dire un prêtre i.e. un lévite.

Le mot grec "Mage" veut dire "scientifique, sage, juge". Il ne s'agit pas d'astrologues ou de magiciens d'un territoire géographique donné, au contraire, puisqu'il est précisé dans le texte que ces juges s'occupent d'encadrer le procédé et le résultat "allumage de la lumière spirituelle" i.e. le don de la Torah. Ce sont des juifs et on se référera à la révélation de Jean pour les détails techniques du travail accomplit. Plus précisément, ce sont des prêtres chargés de vérifier la validité et le résultat du travail accompli par les juifs afin de produire des clercs à l'esprit clair.

Il est mentionné dans le texte en 1.23 Emmanuel qui est le nom civique administratif du scribe qui a écrit les Évangiles à un instant donné afin de témoigner de ces choses. Ce n'est pas le fruit de la farfelue immaculée conception créant le fils unique de Dieu incarné qui a conditionné tant de générations. Le mot grec traduit par "vierge" en 1.23 veut dire "jeune fille célibataire qui n'a pas encore eu de rapports sexuels avec un homme". Il s'agit d'une conception et d'une naissance mentale au sein des cieux causant un changement de niveau de conscience et de perception de l'univers et de la vie, en l'occurrence réalisé en l'absence de contact charnel. Le secret de l'évangile est que Jésus n'est autre que Yossef (mot signifiant "YHVH a ajouté [des jours de vie]") qui fut troublé par l'onction au sujet de laquelle il ne pouvait rien savoir et dont les effets il allait constater. La polémique au sujet d'une Marie mère biologique de Jésus n'est que bêtise, puisque selon le texte grec, elle est sa femme spirituelle.

Jésus est le fils "unique" non au sens du seul fils de Dieu mais dans le fait qu'il est un fils de l'Esprit en tant qu'entité unique et qu'il a conscience que chaque être vivant est distinct : tous les fils et toutes les filles de Elohim sont uniques. Tous les humains sont uniques en vertu de la combinatoire aléatoire de la méiose et de la fusion des gamètes. Il est rare et exceptionnel qu'une fusion puisse réactiver une entité intégrale ayant déjà vécu, mais cela peut arriver et on nomme résurrection ce phénomène, et sinon réincarnation sa partialité ou sa provocation par modelage.

Messie ou Christ est le phénomène de l'onction, c'est-à-dire la réception du Saint Esprit, le Roua'h HaKodesh, le Souffle de Elohim. "Jésus-Christ" doit se lire "celui qui est sauvé par la main puissante de YHVH en recevant la lumière de la Torah" ou "YHVH a sauvé grâce au don de la Torah".

Barrabas est celui qui choisit le mal et agit contre la société.

Jésus est celui qui choisit le bien et œuvre pour la civilisation.

En Matthieu 27, le peuple juif veut libérer Barabbas qui a été mis en prison pour en faire un Jésus en le crucifiant (Matthieu 27.22) : ce mot grec veut dire "enlever l'égoïsme convoitise" qui est la source du mal, et ce, grâce à la lapidation réprimande de la parole et des écrits.

Luc 23.33-34 Lorsqu'ils furent arrivés au lieu appelé Crâne, ils le crucifièrent là, ainsi que les deux malfaiteurs, l'un à droite, l'autre à gauche. Jésus dit : Père, pardonne-leur, car ils ne savent ce qu'ils font. Ils se partagèrent ses vêtements, en tirant au sort.

Luc 23.34 Littéral Ceci également Yehoshouh'a dit : Père (Moshéh), pardonne-les [grâce à tes lois] (les actes mauvais commis dans l'ignorance par mon crâne gauche et droite qui agissent comme "deux malfaiteurs" contre moi et contre autrui à cause des méchants qui m'ont mal conditionné et mal instruit, et qui m'ont fait du mal en me brisant physiquement et mentalement) ; ne pas en vérité ils savent ce que ils (les méchants qui me possèdent) font ; ils sont en désaccord [avec la Loi] et le vêtement lui-même est dispersé [car] brisé.

Cela veut dire que Jésus fait référence à ceux qui ont obligé les juifs à le libérer du mal qu'ils ont commis en se prenant pour Dieu au-dessus des Lois Humaines et Divines en vigueur.

Le mot grec Pneuma "souffle de vie, air vital, sensation de vie, désir", également appelé Prana ou Qi, est construit par association des termes Pnéo "souffler, respirer" et Ma servant à transformer un verbe en nom neutre - neutre et non pas masculin ou féminin, indiquant par là qu'il n'a pas de polarité, qu'il n'est pour ainsi dire ni positif ni négatif, ni bon ni mauvais, ou en termes de dynamique et de statique, que par ça-même, il n'est ni donneur ni récepteur. Pour Aristote, c'est le principe responsable de l'unité [cohésive] de l'univers.

En hébreu il se nomme Roua'h comme dans Roua'h HaKodèch "Esprit Saint" :

  • Mot désignant "souffle, air, humeur, odeur" sans volonté ;
  • Verbe signifiant "souffler, percevoir" ;
  • Lettrique : "Mental de la Lumière de la Créature".

Il correspond en latin au mot masculin Spiritus, de Spiro "souffler, respirer", qui a donné "Spiritualité" - on peut constater que l'expression Spiritus Sanctum est déjà une altération de la nature du Pneuma en tant que cause s'opposant à un effet.

Traduire ce mot par "esprit divin ou suprahumain" n'est en soit ni correct ni incorrect ; mais dire que c'est Le Seigneur et Maître Dieu Lui-même, est un mensonge, car la lumière matricielle composée de grains de photons est un effet causatif issue de La Cause.

Le mot Hagios "saint, pur, vierge" est un adjectif nominal désignant ainsi quelque chose de neutre, ni bon ni mauvais, ni propre ni sale, comme la toile vide d'un peintre qui est pour ainsi dire vierge, pure, neutre, sans intention, sans direction.

C'est pourquoi l'iconographie religieuse le représente par des enfants angéliques et innocents qui inspirent les humains, et évoque la "conception immaculée" - mais ces œuvres relèvent de l'invention imaginaire idolâtre.

Son véritable sens est même au-delà de ce qui désigne la justice : impartial et objectif.

Pneuma, Prana ou Qi est de l'énergie photonique subatomique caractéristique de la dynamique cohésive, désagrégeante, transformatrice et interactive des particules de l'air et des choses. Esprit Saint est Pneuma Hagios ou souffle de vie neutre sans volonté orientée. Celui qui respire oriente ce Pneuma vers le bien ou vers le mal selon ses choix. La Torah est donnée parce que Pneuma nécessite une législation spirituelle. Parce que la civilisation requiert une prévalence de la Loi sur la décision et l'action. Bien et mal veut dire donner et recevoir du bon et du mauvais. Pneuma agit selon le choix de travailler pour faire vivre ou pour faire mourir.

Le témoignage en affliction

Ensuite par-dessus le coeur du feu :

IN HOC SIGNO VINCES

Classiquement traduit par :

PAR CE SIGNE TU VAINCRAS

Que l'on peut comprendre de cette manière :

  • Signo en tant que signe n'a aucun sens : quel signe et de quoi ? En effet, tout signe est humain et voir des "signes" de Dieu dans nature n'est qu'une vue d'esprit imaginaire ou planificatrice car le créateur des atomes et des gènes n'est rien d'autre que des lois mécaniques. En fait ce mot veut ici dire "témoignage" et cela rend claire et cohérente la fresque.
  • Vinco en latin et proto-indo-european signifie "gagner, triompher, réussir, maîtriser, surpasser, surmonter, renverser, dompter, dominer, discriminer, examiner, choisir, contenir, envelopper" et en sanskrit nous avons Vivikta विविक्त "séparé, isolé, solitaire, libre, net, pur, évacuation".

Afin de le lire ainsi :

Par ce témoignage [de l'affliction] tu surmonteras [les méchants et le mal]

Shémot 21.6
Refuge
Mélakim I 18.28
Résistance

L'esprit de la loi en vigueur

Puis au sein même du feu de l'esprit du souffle de Elohim nous pouvons lire un texte en douze sections, qui sont notamment les tribus, ponctuées par les lettres :

ש-היהו

Pouvant être compris par :

Fils de Jacob, il fut

Béréshit 2.18
Aide
Dévarim 8.10
Torah

L'action de l'initiation et du don de la Torah est ainsi :

  • אהיה : Je serais
  • יה : bon
  • יהוה : [pour] HaShem [les lois du vivant donc envers les humains comme animaux],
  • אל : [et] par
  • אלהים : Elohim (les lois de l'univers et la connaissance issue de l'étude)
  • גבור : brave (honnête, serviable),
  • אלוה : [pour] Eloha (l'action kasher) {pour faire le bien et pas le mal}.
  • צבאות : Troupes (serviteurs) de HaShem.
  • צבאית : Soldats (ouvriers) de Elohim.
  • שדי : Shadaï (ce qui est fort et détruit le mal*),
  • מלך : il a gouverné (dirigé, conduit),
  • אדבי : il a aimé moi.

* Le coeur Tsiyon du cerveau Yeroushalaïm qui vibre pour la compassion et la bienveillance honnête, sincère, loyale, etc. (cf. Téhilim 3)

Cet Adam repose sur un phénix qui n'est autre que le pélican tel que décrit dans le livre Le problème religieux au chapitre La religion en section Sacrements, comme les deux faces d'une pièce qu'on peut probablement assimiler ici à l'ARN polymérase qui fabrique depuis l'ADN les ARN ensuite transformés dans le cytoplasme en protéines diverses et variées par les ribosomes ou béhémot, protéines qui forment toutes les choses, y compris les tubules, et qui composent, font vivre, font interagir et font mourir les cellules jusque dans la mitose et la méiose, la mort de l'individu étant l'arrêt symbiotique de l'ensemble des cellules et des organes majeurs du corps, et puis plus rien sinon ce qu'on a laissé comme actions et oeuvres de notre vivant, en bien comme en mal, volontairement ou involontairement, en fonction d'un méli-mélo de soi et des autres qui nous influencent et qu'on influence :

Consommer du pain azyme sans levain ou hostie est associé à l'effet du chevalier rose-croix issu du 18ème grade franc-maçon du rite écossais ancien et accepté : c'est le symbolisme du pélican qui nourrit ses petits avec le sang de ses souffrances placées sous la couronne spirituelle de la royauté du cœur. La couronne symbolise la force de volonté qui est la faculté d'exercer un libre choix grâce à la logique. Le compas symbolise la maîtrise des désirs ou pulsions matérielles et spirituelles des plus basses aux plus élevées grâce à la volonté. La rose symbolise l'amour soumis à la volonté. La croix symbolise le pain de l'esprit ou ce qui nourrit la pensée, et le vin de l'âme ou ce qui étanche l'émotion, qui sont harmonisés dans l'effort. Les petits sont alors les élèves, les disciples, les serviteurs et les ennemis. La vibration azurée de la respiration christique fait sortir de l'esclavage grâce à l'activation de la force nerveuse via la moelle épinière, et grâce à la circulation de la puissance sanguine via l'artère pulmonaire, ce qui aligne le champ vital humain de haut en bas pour revenir au sommet du crâne, formant un œuf aurique dont le centre est un vortex électromagnétique au point de croisement thymique qui approvisionne les organes. Le mot grec "Thymos" signifie âme. L'organisation médicale moderne affirme que cet organe est mystérieux, que son rôle est inconnu, à l'exception de la maturation de cellules immunitaires, et qu'il dégénère après la puberté.

Le cercle primaire

Le crime des méchants

Le premier mot central en haut qui est le point de départ de la lecture dans les aiguilles d'une montre est dans un cercle lumineux dont l'intérieur est le fond noir de l'ignorance, et en bas nous avons le Émet :

  • איזסוף : ordures [qui tuent] le fils [de l'étude suite au don] {par haine gratuite résultant de la méchanceté issue de la perversité}.
  • אמת : la vérité transmise par la Torah de HaShem de Elohim au sujet des crimes et de la vrai justice qui est pure bienveillance intransigeante, la compassion des justes étant supérieure à la pitié des méchants.

La vérité est que la pensée, la parole et les actes des méchants sont aussi noires que l'obscurité de la nuit la plus totale : pas de compassion, pure psycho-socio-pathie sur une échelle graduée du peu à beaucoup selon les personnes.

Ignorance des méchants qui tuent et ignorance des victimes tuées.

Métoupash
Méfait
Dévarim 21.10
Défense
Bamidbar 14.18
Justice
Shémot 15.2
Réparation

La bienveillance de la compassion

Ainsi nous pouvons lire les dix mots correspondants aux dix séfirot relatifs à la membrane nucléaire de la cellule humaine optimale :

  • כתו : Son clan [est Israël],
  • חכמה : [grace à qui] il est devenu sage.
  • ביכה : Il s'est lamenté [via témoignage affliction résultant du crime des méchants].
  • חסד : Bienveillance [du peuple].
  • גבווה : Grandit [par la communication] {lui, le peuple, les nations et l'espèce}.
  • תפאות : Miracles [du verbe].
  • בצה : Il a inondé [les méchants] {avec le témoignage et les preuves}.
  • הוד : Gloire [de HaShem].
  • סוד : Secret [de Elohim].
  • מלכות : Rois [de la Torah sont les fils unis par la compassion].
Vayiqra 26.3
Mission Hébreux
Bamidbar 23.23
Témoignage
Dévarim 31.12
Don
Goy
Évolution

On constatera que ces dix termes sont associés à dix des lettres de l'espace intermédiaire décrit à la section suivante :

  • Bet : Israël est la maison du fils.
  • Dalet : L'étude transforme le mental de l'étudiant et ensuite ses actes.
  • Vav : La communication dévoile le bien comme le mal pour le souhaitable.
  • 'Het : Le but de la créature humaine est la bonté par-dessus la nature des animaux et de l'univers qui est autant la beauté et la mocheté que l'implacable cruauté.
  • Youd : La ferveur est l'énergie du moteur qui amène l'humain à se dépasser, à s'améliorer, à avancer et à aider autrui.
  • Mem : Le travail adapté et le service équilibré, sans intérêt personnel autre que le bien-être et le moins de souffrances pour tout le monde, y compris soi, dans le respect des bonnes lois, est ce qui engendre le souhaitable et la prospérité.
  • Samek : La nourriture de l'enseignement est ce qui amène à aimer la vie et les lois et donc la création et Son Créateur afin de nuire à personne y compris les méchants.
  • : Le verbe de la parole est le plus haut potentiel de l'espèce humaine.
  • Qouf : La vérité et le mensonge sont la nature fondamentale même des lois humaines bonnes et mauvaises, les lois de l'univers et de la vie étant par définition neutres et mécaniques.
  • Shin : La cohésion et l'affection ou la peur est la force qui dirige les groupes.

On retrouve la notion du Béréshit Israël, premier et dernier mots de la Torah, au verset 17 du Psaume 71 :

Téhilim 71.17 Standard Commun

Mon Dieu, tu m'as instruit dès ma jeunesse, et jusqu'à présent j'annonce tes merveilles.

Téhilim 71.17 Littéral

Elohim, Tu as formé pour moi depuis jeunesse à moi et [j'ai été] témoin. Maintenant je parlerais [de Torah] (publier). J'ai accompli des prodiges grâce à Toi et à eux (le peuple).

• Former : tout ce qu'on voit et fait nous forme tout au long de la vie, cette formation est mécanique, inéluctable, car nous devenons de que nous faisons de nous et ce que les autres font de nous, en bien comme en mal, et inversement.

• Témoin de la bénédiction d'Israël et de la malédiction des méchants à la suite du don de la Torah et de son étude.

Téhilim 71.17
Modelage

Ainsi que dans le mot runique GORT ᚷᛟᚱᛏ dont une lettrique serait :

Don du Peuple qui Vie pour la Bienveillance

Soit Israël qui donne la Torah aux victimes et à tout celui et celle qui la désire pour HaShem et pour Israël et donc pour l'espèce entière.

L'espace intermédiaire

Le domaine de la lumière

L'inscription latine :

DILIGES DOMINUM DEUM TUUM
EX TOTO CORDE TUO
ET EX TOTA ANIMA TUA
ET EX OMNIBUS VIRIBUS TUIS
ET EX OMNI MENTE TUA
ET PROXIMUM TUUM
SICUT TEIPSUM

Peut se lire ainsi :

TU AIMERAS TA MAISON QUI T'AS ÉCLAIRÉ
DE TOUT TON COEUR
ET DE TOUTE TON ÂME
ET DE TOUTES TES APTITUDES
ET DE TOUTE TA PENSÉE
ET TON CONGÉNÈRE
COMME TOI-MÊME [BIEN ET PAS MAL]

Le bien-être de la cellule est en effet dans l'harmonie du cytoplasme qui engendre l'entente avec les autres cellules du corps avec celles symbiotiques ainsi qu'avec les autres corps des diverses espèces comme des objets inertes de l'environnement et pas seulement des autres humains.

Jean 1.1 à 4

Au commencement était le Logos
Et le Logos était avec le Théos
Et Théos était le Logos.
Il était au commencement avec le Théos
Toutes choses ont été faites par lui
Et rien de ce qui a été fait n'a été fait sans lui.
En lui était Zoê
Et la Zoê était cela, Phôs des humains.
Logos = mot, parole, ce qui exprime = Gènes
Théos = dieu, divin, ce qui dirige = ADN
Car ADN <=> Gènes
Car ADN => ADN
Car Gènes => ARN => Protéines
Car Protéines => Cellules
Zoê = vie, âme animé, ce qui bouge
Phôs = lumière, conscience, esprit,
ce qui regarde-contemple = Pensée

Béréshit 1.3

Il aura dit Elohim : il apparaîtra une lumière ;
[par conséquent] il aura apparu une lumière.

Note : un verbe futur (Youd) mis au passé (Vav) est futur … antérieur ; le mot lumière peut se lire feu, éclat ou pluie, puisque la lumière est composée de grains de photons. Lettrique de lumière ou illumination : "Espace de la Communication du Mental".

Le mouvement des chromosomes

La roue des lettres hébraïques représente les mouvements de la vie au sein du cytoplasme.

Les 22 lettres chromosomiques, plus la paire mâle ou femelle que l'on considérera en sous-entendu du Tétraktys qui dirige par-dessus le Alef-Tav, fabriquent en effet tout, et fait penser tout, grâce aux 22 acides aminés fondamentaux dits protéinogènes, via les ARN tant de structure que de direction, de décision, de contrôle et de régulation.

Ces lettres sont listées dans l'ordre pour le non-détournement des destins en vertu du deuxième grand commandement.

Shémot 20.4
Destins
Vayiqra 19.28
Tatouages

Alors si subséquemment le Tarot dans ses arcanes majeurs représente le chemin de l'initiation toutes coutumes confondues, il ne faut jamais en mélanger les cartes ni modifier le sort des gens en les dupant tel que mentionné en Sourate n°2 du Quran.

Le cercle extérieur

L'individu au sein du monde

Le triangle pythagoricien Tétraktys des illuminés ou triangle magique des kabalistes alchimistes qui condense les séfirot émanés du tétragramme à travers les quatre mondes décrit dans le livret Les séfitot et qui d'un certain point de vue correspondent aux dix commandements ou étapes de la sortie de Mitsraïm ou dynamiques de la libération ou règles de la survie ou tikounim de la téshouvah (réparations obtenues grâce à l'intention de réparation) que les méchants considèrent comme des plaies et des calamités alors que c'est la bénédiction des justes pour certaines et de la vie elle-même pour d'autres :

Atsilout ou émanation : Youd
L'esprit ou 'Haya : la chose qui est vivante - la volonté cause

  • Kéter ou aura : la circoncision de la chair et du cœur qui amène à aimer la vérité
  • 'Hokmah ou sagesse : la matsah qui amène à rejeter les sornettes
  • Binah ou intelligence : la puissance de la Torah qui engendre la responsabilité

Bériah ou création : Hé
La pensée ou Néshamah : la chose qui raisonne - l'énergie de l'effet

  • 'Hesed ou compassion : le libre arbitre qui engendre le discernement
  • Gebourah ou justice : le groupement éthique qui engendre la bonté
  • Tiféret ou beauté : la lumière qui engendre l'existence

Yétsirah ou formation : Vav
Les émotions ou Roua'h : la chose qui interagit - le potentiel de l'effet

  • Netsa'h ou éternité : la vérité qui élimine les mensonges
  • Hod ou gloire : l'onction qui engendre une nouvelle conscience
  • Yesod ou fondement : la connaissance qui engendre la sincérité

H'assiyah ou action : Hé
La réalité ou Néfèsh : la chose qui est matière - l'intention de la cause

  • Malkout ou autorité : l'évolution qui engendre une nouvelle existence

Ce triangle quaternaire de l'unité binaire qui contient par ses combinaisons possibles les dix séfirot correspond d'une certaine manière aux centrioles paternels ou en quelque sorte aux Kérubim, qui avec l'essence globale de la mitochondrie maternelle ou en quelque sorte Mishkan, et le noyau issu de la fusion des gamètes ou individualité ou unité de conscience, sont les moteurs du mouvement de la vie humaine ou âme ou mental ou esprit, via les nerfs, les tuyaux, les organes, le système locomoteur, les os et la peau.

Le משכן ou tabernacle ou tente d'assignation est la maison ou demeure de la présence dite divine : ce terme qui désigne le lieu de résidence du souffle de Elohim et l'énergie vitale qui en résulte. Au niveau organique c'est l'utérus qui nourrit et façonne l'embryon. Au niveau humain c'est le foyer du couple.

Tout ce qui relève de la construction de ce lieu dit d'habitation et des choses comme les ustensiles, au delà des divers organites impliqués symbiotiquement parlant, est pour faire sortir le temple corporel de l'infâme et abjecte Mitsraïm afin de préparer l'entrée en Israël. Grâce à la séparation des eaux de l'élixir qui est la maîtrise des pulsions au lieu de s'y soumettre. Via la traversée du désert qui est la préparation et la formation de la nouvelle et juste conscience. Protégé par les nuées acceptées qui procurent la manne. Dans le but de former et de répandre de plus en plus la paix, la bienveillance, la connaissance et la vérité. Au cours de la génération actuelle. Pour les générations futures.

On trouve cette notion dans le mot gothique Skum 𐍃𐌺𐌿𐌼 ou écume, issue du futhark Srum ᛊᚱᚢᛖ dont une lettrique serait "Photons qui Voyagent dans la Pluie Rugissante". Le mot sanskrit est फेन soit "ce qui compose l'air" soit la lumière. Le mot hébreu est קצף soit "il a écumé, il a été en colère, éclair" et une lettrique serait "Début de l'Extériorisation de la Parole". C'est-à-dire que Hashem a été mis en colère par les Méchants, et quoi que lent à la Justice pour résoudre le problème au mieux possible pour tout le monde avec le moins de nuisances, l'application est rapide même si la préparation est lente afin de réduire les risques au minimum et de dévoiler le plus de crimes.

Vayiqra 10.6
Cultiver
Shemot 19.6
Volonté
Bamidbar 10.35
Formation
Devarim 10.15
Pirkei Avot

L'interaction avec l'environnement

Dix expressions en hébreu sous-tendent les séfirot dans leurs aspects membranaires.

Des mots actuellement difficilement lisibles pour l'auteur avec l'image disponible se trouvent dans des sphères orageuses pour la colère de HaShem et donc d'Israël envers les mécréants.

Ces émanations extériorisées et agissantes de la source intérieure des dix nombres mentionnées dans le Séfer Yetsirah sont en relation avec les mécanismes permettant à l'unité de conscience cellulaire plurielle et symbiotique de communiquer et d'interagir avec l'environnement en tant que personne au sein du monde, en formant des agrégats, des tissus, des organes, des tuyaux, des fluides, des flux, des champs, des corps, des familles et des communautés jusqu'aux ethnies humaines et l'espèce toute entière :

  • תרשישים - יות הקדוש : Poussières d'or - Formation de celui [qui est] dédié [à la Torah].
  • אזפ בים : Je (HaShem) blâmerais [les méchants] avec de l'eau (flot de paroles).
  • אואלים : J'ai été agressé [à travers les crimes des méchants contre les victimes].
  • חשמ לים : Ils (les fils d'Israël) hâteront [la libération] selon de l'eau.
  • שופים : Écrasement (débâcle, ruine) [des méchants].
  • מלאכים : [Bénédiction des] messagers [dévoilant la vérité sur le bien et le mal].
  • אלהים : [Bénédiction de] Elohim.
  • בבי אלהים : Parce que en Moi (HaShem, la vie ADN) [est] Elohim (les lois-vecteurs des forces de l'univers qui créent, font exister, font interagir, et détruisent toute chose du monde visible et invisible).
  • כובים : [Cela] selon ce qu'il (le fils) dirigera [ses publications].
  • אישים : Amis [sont les fils d'Israël et les rois de la Torah].

Les dix grands commandements

Ces dix sphères correspondent au principales lois :

  • La loi n°1 est de connaître HaShem qui libère du mal grâce au don de la Torah.
  • La loi n°2 est de ne pas vénérer des symboles et ne pas détourner les destins.
  • La loi n°3 est de ne pas utiliser Dieu et la Doctrine pour duper afin de contrôler dans le but de nuire et de détruire des vies.
  • La loi n°4 est de se reposer régulièrement pour ne pas s'épuiser.
  • La loi n°5 est la conséquence bénéfique du don de la Torah qui est l'estime résultant du respect de la Doctrine
  • La loi n°6 est de ne pas détruire un être humain depuis la blessure jusqu'à la mort.
  • La loi n°7 est de ne pas trahir autrui.
  • La loi n°8 est de ne pas voler autrui.
  • La loi n°9 est de ne pas être d'accord avec les menteurs.
  • La loi n°10 est de ne pas désirer être à la place d'autrui.

Les dix séfirot du bien et les dix qélipot du mal sont les sphères bénéfiques ou nuisibles du domaine de l'action humaine donc découlent les principaux comportements :

LOI QUALITÉ DÉFAUT
1. Ne pas tenir en esclavage et dans l'ignorance Volonté Lâcheté
2. Ne pas corrompre et altérer la vérité et la réalité Discernement Stupidité
3. Ne pas servir des buts néfastes et qui servent à rien Logique Aberration
4. Ne pas surmener le corps Abnégation Vanité
5. Ne pas déshonorer et ignorer la détresse Estime Mépris
6. Ne pas tuer et blesser Formation Destruction
7. Ne pas tromper et duper Fidélité Trahison
8. Ne pas séquestrer autrui et ses biens Autorité Terrorisme
9. Ne pas faire de faux témoignage Sincérité Tromperie
10. Ne pas convoiter ce qui n'est pas à soi mais à autrui Générosité Convoitise

Vayiqra 19.17
Réprimande vs Haine

L'importance de l'éducation acquise sur l'inné aléatoire

Le livre Le problème religieux indique au chapitre L'univers et la vie en section Morale et éthique :

Ces 10 commandements sont les "paroles" ou "instructions" majeures qui correspondent aux cinq doigts de la créature. Ces dix doigts des mains de l'action et des pieds de la marche sont comme le bien et le mal selon qu'on suit ou pas les lois :

  • Cinq pour le pouvoir divin (ancien mot pour désigner les lois de l'univers et de la vie) car très importantes pour l'espèce.
  • Cinq pour le pouvoir humain (volontés, intentions, projets, plans, décisions, actions... des humains) car très importantes pour la société.

Les commandements sont donnés dans l'ordre de un à dix pour montrer que la racine imbriquée et rétroactive du mal et de tous les crimes, c'est autant l'ignorance que la convoitise, et que pour y échapper, il est nécessaire que l'être soit instruit et décide d'être soumis à des lois et non à son désir animal, pour le bien de tous.

Soumis est un mot souvent mal compris : il s'agit d'aimer et d'avoir de la gratitude envers la Loi en vigueur, tant des Cieux, que du Pays lorsque les législations sont en elle-mêmes bonnes et souhaitables, car à moins que la notion de nécessité d'existence et d'affection pour les lois soit innée comme chez un petit nombre des graines semées par les créatures et qui germent pour se développer avec peu ou beaucoup d'oppression et de formation, il est faut l'acquérir par l'étude et l'entraînement, ce qui est le rôle principal de toute école de toute nation*.

Les dix "plaies" de la sortie de Mitsraïm sont les dix libérations individuelles et collectives effectuées grâce aux dix lois de la Doctrine, vécues soit comme des bénédictions soit comme des malédictions selon la nature de notre comportement et de nos aspirations, le penchant bon ou mauvais, ou plus simplement parfois comme de simples épreuves que certains nomment parfois école de la vie ou initiation.

* Le nombre de bonnes graines est estimé en moyenne à 33% par les expériences de type Milgram avec une variabilité de 10 à 90% en fonction des conditions environnementales et de hiérarchie, et ont peut d'une manière générale affirmer approximativement avec certitude qu'une graine sur deux tourne mal surtout si on s'en occupe mal.

L'espace interstitiel

Friction interne-externe

La roue des symboles avec une sorte d'oméga aplatit par-dessus des barres ou piliers qui s'ajoutent dans le sens inverse des aiguilles d'une montre indiquent le sens de lecture.

Ainsi nous avons ce qu'on peut nommer l'engrenage central de la cellule type qui tourne dans un sens et l'engrenage périphérique de l’environnement proche qui tourne dans l'autre. De ce mouvement de friction, ici schématiquement simplifié de manière réductive car même les organites et les atomes ont leur propre "aura photonique", émanent les flux qui forment les champs électro-magnétiques de l'activité des cellules, des tissus, des organes et des câbles sanguins et nerveux pour former le champ invisible qui imprègne et entoure le corps humain comme tout object inerte ou vivant, roches, astres, germes et végétaux inclus (cf. le livre Le problème religieux au chapitre L'arbre de vie et notamment les sections Les chakras et Les nadis).

Nous avons au total quatre symboles correspondant aux quatre lettres de YHVH : on peut supposer qu'il y a dans la forme de ces symboles une allusion à l'architecture administrative et aux palais de justice... soit à ce qui a le dernier mot i.e. ce qui tranche et qui décide de manière souveraine au nom du peuple et de la nation, et en l’occurrence, au nom de l'espèce qui est d'une certaine manière YVHV ça-même relativement à l'ADN humains, Sa seule volonté mécanique étant Sa survie avec le moins de souffrance et d'abominations possibles.

YHVH est en effet, en tant qu'ensemble de lois-vecteurs de forces* animant l'ADN, les organites fabriqués, les cellules construites et assemblées, etc. la source et la cause de la vie, de sa création, de son mouvement, de ses interactions et de son terme échu fixé lors de la conception soit la fusion des gamètes humaine en ce qui nous concerne, la Torah étant relative au YHVH de genre Homo.

* Ensemble lui-même sous-ensemble du Elohim universel et global.

Le mystère de Salomon

La trinité

Le triangle Tétrakys pointe vers HallelouYah.

הללויה

Qui est habituellement traduit par :

Rendez louange à Yah
Célébrez Yah
Glorifiez Yah
Grâce à Yah

Hé-Lamed-Lamed signifie également "briller" ou "luire".

הלל ו יה

Signifie ainsi :

Briller lorsque Yah
Éclairer grâce à Yah

Ce terme est mentionné une première fois, puis on le retrouve doublé par-dessus pour insister sur son aspect binaire qu'est le couple mâle-femelle qui est ainsi un dans le Shalom Bayit.

Par-dessus nous lisons en latin qui de part sa position et son orientation désigne le double Yah unit :

QUI ERAT. QUI EST. QUI ERIT.
PLENI SUNT CELI. PLENA EST OMNIS TERRA.
MAIESTATE GLORIAE EIUS.

Le mot latin plenus a le sens de remplir, rassasier, compléter, accomplir, parfaire, fournir.

Il nous est ainsi indiqué que YHVH, qui est Éternel relativement à l'existence de l'espèce humaine depuis le premier jusqu'au dernier des êtres, depuis l'apparition de la vie humaine jusqu'à la disparition de la dernière cellule, nous demande indirectement de se taire à partir de la complétude ainsi qu'à son sujet-même, et de garder le reste dans le secret car il n'y a rien à dévoiler :

CE QUI ÉTAIT. CE QUI EST. CE QUI SERA.
PLEINS SONT LES CIEUX. PLEINE EST CHAQUE TERRE.
MAJESTÉ DE SA GLOIRE.

Le mot maiestatea le sens de grandeur, et gloriae d'estime [pour la vie] ainsi que d'appel [au service de la Torah] (cf Mishlei 31).

Près de la limite du dessin que l'on peut considérer comme le bord de l'influence magnétique du champ généré tant par une cellule que l'ensemble du corps humain en passant par les divers agrégats tel que mentionné dans le livre Le problème religieux au chapitre L'arbre de vie notamment en section Les nadis :

קדוש קדוש קדוש יהוה צבאות

Soit classiquement :

Saint Saint Saint est YHVH Tsebaot

Kadosh signifiant neutre, sacré, consacré, dévoué, dédié... et partant du principe que la finalité du dernier mot de la Torah est la création du peuple d'Israël via le Béréshit des Adams et des Eves afin qu'ils peuplent la Terre pour propager la Torah pour le bien de l'espèce toute entière et sa survie dans les meilleures conditions telles que définies par le préambule de la Constitution française et la Déclaration des Droits des Humains, on peut lire :

Dévoué Dévoué Dévoué [à] YHVH [formant la] multitude [du peuple]

C'est-à-dire :

Père et Mère et Enfant de YHVH [participent à] l'armée [de Dieu]

La racine צבא ayant le sens de rassembler, commander, servir... nous pouvons ainsi comprendre le sens de tout cela :

Père (celui qui donne la Torah) et Mère (Eve) et Fils (Adam) de YHVH [sont] serviteurs [de la Torah et donc de l'humanité]

Les noms de Dieu

Extrait du livre Le problème religieux chapitre La religion en section Ouvrage :

El (Puissant)

Alef-Lamed est un masculin singulier qui signifie vecteur de force, loi, puissance ou pouvoir qui s'élève. C'est la force motrice du potentiel non existant matérialisé. Le Alef indique la source comme originelle et sans existence, que le Lamed amène à l'existence par le créer. Le Lamed est un Alef où le Youd droit s'élève pour faire face au passé grâce à la force du Youd gauche qui ne doit alors pas craindre le futur à construire. Ce mot est également utilisé pour indiquer la négation d'un verbe généralement au futur "ne pas" : c'est une marque de contrôle et de régulation.

Eloha (Force)

Alef-Lamed-Vav-Hé est un féminin singulier qui signifie vecteur de force dirigée. C'est El qui communique (Vav) par le mouvement (Hé) : le vecteur agissant. Le principe masculin émetteur créateur est devenu féminin agissant comme force naturelle dans le réceptacle de la matière de l'univers. Alef-Lamed-Hé-Youd (Elohé) est formé depuis Eloha plus un Youd indiquant la première personne singulière des pronoms possessifs soit : "Eloha à-de-en moi" soit en français "ma Eloha i.e. ma force". Le El mis en mouvement par le souffle (Hé) engendre une nouvelle existence (Youd).

Elohim (Dieu ou Démiurge ou Créateur)

Alef-Lamed-Hé-Youd-Mem est un féminin pluriel qui signifie ensemble des forces vectorielles, organisatrices de l'univers, et de la vie incluses. Mais en tant qu'ensemble créateur, organisationnel et destructeur, non agissant directement par lui-même en particulier, ce mot est considéré comme un singulier masculin pour la conjugaison des verbes en tant que "Il". Ce sont les lois des interactions i.e. l'ensemble des forces et des pouvoirs du monde, HaShem inclus. Selon Moshéh Nahmanide, on peut lire "El-hem", le puissant [sur] eux : les lois de l'univers sont "sur" les entités vivantes qui peuvent alors exister et qui sont ainsi dirigés. Lettrique : [Le] potentiel d'un couple [de Youd] (Alef) ; [unis grâce à une semblable, compatissante et sans pitié] vision de la vie (Lamed) ; [mis en] mouvement (Hé) ; [engendre une] nouvelle existence (Youd) ; [le Lamed a choisi sa] voie (Mem).

HaShem (Éternel ou Théos ou Allah)

Youd-Hé-Vav-Hé est le Elohim de chaque humain. Malgré la présence du Hé final, ce mot est considéré à l'instar de Elohim comme étant un singulier masculin pour la conjugaison des verbes en tant que "Il". C'est le vivant, les lois du vivant, ce qui cause le mouvement du gouverneur ADN. C'est "l'esprit" des quatre bases azotées des molécules génétiques qui sont dans l'ordre des lettres Thymine, Adénine, Cytosine et Guanine. Le Shin de Youd-Hé-Shin-Vav-Hé (Yehshouah ou Yehoshuah) correspond aux phénomènes moteurs du vivant, à la mise en mouvement de l'inerte, c'est-à-dire à l'uracile des ARN, aux microtubules, aux centrioles, et à l'actine de la myosine.

  • Youd-Vav est une racine hébraïque signifiant compréhension, intelligence et clarté au sens de sortir de l'obscurité, de l'ombre, de l'ignorance et de l'esclavage : le Youd flamme de vie de l'ADN animée grâce à l'incarnation de la fusion des gamètes qui créent une nouvelle unité de conscience devient le Vav de la communication dans l'espace, grâce à la respiration inspir-expir Hé-Hé qui est la distance du mouvement périodique de l'existence.
  • Youd-Hé (paire Feu-Air T-A) est le monde caché, l'esprit créateur, la flamme du souffle, le feu interne des choses, le temps de l'inspiration-action, la cause de l'âme qui est l'être unique.
  • Vav-Hé (paire Eau-Terre C-G) est le monde dévoilé, la parole créatrice, le verbe du souffle, la lumière des choses, le temps de l'expiration-repos, l'effet de l'âme qui est l'être incarné.

Note : Susan Alexjander a déterminé un centre tonal de fréquence vibratoire pour chaque base soit Thymine 543,4Hz, Adénine 545,6Hz, Cytosine 537,8Hz, Guanine 550Hz - Moyenne 544,2Hz.

Yah (Source)

Youd-Hé* est le Feu par Friction ou la Kundalini**, qui est le potentiel vecteur du champ électromagnétique vertébral qui s'exerce entre le sacrum et la base du crane lorsque de l'influx nerveux circule majoritairement non pas de la tête vers le bas, mais du bassin vers le haut, ce qui a pour effet de décharger le cerveau de son contrôle sur le corps et de connecter les organes au centre de commande, d'où la sensation de plénitude, d'unité, de liberté fusionnelle et de connexion divine. C'est un effet de l'énergie du Youd mis en mouvement par le rythme du souffle, et non une cause, lié au sentiment indéfinissable de joie, de félicité, de béatitude, de quiétude, etc. C'est une des lois agissante de YHVH.

* Le mot Youd-Hé-Bet signifie "fardeau" : Youd-Hé peut donc se comprendre comme le temple (Bet) libéré du fardeau i.e. de l'affliction.

** Beaucoup d'enseignements affirment que la Kundalini dépend de la sexualité, mais en réalité, l'activité sexuelle est un des moyens pour exercer les muscles et les organes du ventre.

Adonaï (Seigneur)

Alef-Dalet-Vav-Noun-Youd est un masculin singulier qui signifie maître, seigneur, gouverneur ou directeur. C'est l'ADN non codant et les choses telles que l'épigénétique qui est comme un logiciel symbolique, compressé, encrypté, polymorphe et métamorphe.

Tsebaot (Armées)

Tsadi-Bet-Alef-Vav-Tav est un masculin pluriel qui signifie troupes ou armées en service. Ce sont les différents types d'ARN qui dirigent l'animation des cieux, l'expression de l'ADN, et la régulation des organites et des protéines cellulaires du vivant.

Shadaï (Tout-Puissant)

Shin-Dalet-Youd est "la force vitale du sanctuaire de la flamme". Ce terme est inscrit sur les mezouzot apposées à l'entrée d'une maison et d'une pièce afin de se rappeler à chaque déplacement la présence du Créateur.

H'elyon (Très-haut)

H'ayin-Lamed-Youd-Vav-Noun est le qualificatif "Suprême" ou "Très-Haut" employé généralement avec El (Béréshit 14.18). C'est la force des forces, la "source de l'existence de l'énergie dirigée de la vie". El étant une force potentielle et Elohim étant les forces manifestées alors 'Elyon désigne la plus importante des forces, celle dont dépendent les autres, celle qui maintient la cohésion et qui est incluse dans le Youd.

Hayah (Accomplissement)

Hé-Youd-Hé est une racine verbale dont le sens est "être, exister, devenir, réaliser, constituer, produire, respirer". C'est la nature de toute chose de la réalité qui est en mouvement. En effet, les lois de l'univers créent, entretiennent et détruisent tout ce qui existe et rien ne peut empêcher les lois elles-mêmes d'agir pour lier causes et effets. Ainsi une planète qui tourne autour d'un astre qui rencontrerait un objet suffisamment puissant pour stopper sa course, cet arrêt lui-même ne résulterait finalement que de l'accomplissement de l'action de règles spécifiques selon certains paramètres.

Le noble but de la vie humaine

L'inscription :

LAVAMINI
MUNDI
ESTOTE

Signifie :

VOUS AVEZ ÉTÉ IMPRÉGNÉ [DE TORAH]
VOUS AVEZ NETTOYÉ [LE MONDE*]
VOUS VIVREZ [POUR AIDER LES VICTIMES]

* En chassant i.e. stoppant et réformant dans la mesure du possible des méchants grâce aux témoignages et l'aide aux victimes ainsi que les soins lorsque nécessaires.

La source de toute vie humaine

L'inscription :

YHVH

UNUM
OMNIUM EFFECTOREM
CETERAS POTESTATES
MINISTRAS HABETOTE

Signifie :

HASHEM = THEOS = ALLAH = ÉTERNEL = ADN

CECI
DE TOUS {LES CORPS} [EST] LE PRODUCTEUR
[ET] DES CHOSES INFLUENTES (CAPACITÉS, APTITUDES)
TU AS EXERCÉ LES FONCTIONS DE KOHEN [ET] TU SERAS INSTRUCTEUR

La noble transmission

L'inscription :

AD
PRIMUM
VOTA PRAECESQ

AD
INFERIORES
HYMNI SUNTO

Signifie :

PARTISANE
DU PREMIER [FILS]
LA PROMISE [EST] PRINCESSE*

PARTISANES
LES MOINS FORTES
[PAR] LES CHANTS ET LES ÉCRITS ONT TRANSMIS [LA TORAH]

* PRAECESQ qui à priori n'existe pas en tout cas sur Internet ni Wiktionary ni Wikipédia et les divers dictionnaires de grec en ligne, sinon mentionné dans quelques textes obscurs, qui fut traduit par prière dans l'édition française, et qui est additionné d'un tout petit ε inversé pour le mystère du grand mystère, est probablement une occultation du mot "Princesse" qui étymologiquement signifie "première fille, celle qui prime, la plus importante, la plus forte". Ce mot peut également être considéré comme étant composé de PRAE (ce qui est devant, dévoilement) avec une contraction de ECCE (voici, voilà, ce qui est montré) suivit de SQUERE qui semble provenir du grec ESKARA (foyer, sanctuaire). Se dit Nessikah נסיכה en hébreu soit "Princesse" ou en tant que verbe "Elle (Torah) a versé l'eau de Moi (HaShem) pour toi [avec force]", la racine נסך signifiant "verser du liquide, déverser, répandre, propager, entremêler, fusionner, assembler, tisser" et une lettrique serait "Pouvoir Créatif de l'Existence de l'Élan intérieur de la Joie [de vivre] {en symbiose avec l'univers}". Le mot pour Prince étant Nessik נסיך "celui qui est oint" ou "Il a versé Moi (HaShem) [sur le monde {via les productions et les oeuvres}]" et une lettrique serait "Nourriture du Perfectionnement de la Paix par la Puissance [de la Torah]".

Le noble moyen

L'inscription :

QUOD
SI FORTE
PETITIO

AD INFERIORES
PROCESSERIT
NISI SUB MODO DELEGATAE
À PRIMO
ADMINISTRATIONIS INTENTIO NON ESTO

Signifie :

CE QUI [EST]
SI FORT
[EST] LA DEMANDE*

LES PARTISANES MOINS FORTES
ELLE ONT MONTRÉ [LA VÉRITÉ DU BIEN ET DU MAL]
ELLE ONT TRAVAILLÉ AVEC FORCE JUSQU'AU MOMENT DE CONFIER
AU PREMIER
L'AIDE [DONT] L'INTENTION-ÉLAN [EST DE] NE PAS APPROUVER [LE MÉFAIT]

* PETITIO provient de PETO qui provient du grec PETOMAI signifiant "solliciter, accourir, se dépêcher" et du sanskrit PATATI "se précipiter, allumer, verser, tourner..." ainsi que "chasser, couper [le mal]". Se dit H'ouf עוף en hébreu soit "voler, couvrir, envelopper, éclairer, briller" et une lettrique serait "Interaction qui Communique la Délivrance".

Mishléi 24.16
Juste vs Injuste
Yéshayahou 66.23
Cycles

Le pentagramme

La géométrie quinaire

Cette section sera détaillée dans une version ultérieure.

Le nombre d'or

La somme des valeurs numériques des mots désignant chaque lettre de l'alphabet hébreu est 4239 : c'est presque le nombre d'or* ~1,618 multiplié par les 10 doigts de la main et élevé au cube de l'espace tridimensionnel :
* Nous sommes tous conditionnés dès la naissance à aimer les proportions selon le nombre d'or car telle est le visage humain dont la hauteur est ce nombre fois la largeur. C'est pour cette raison que les artistes, les architectes, les industriels et les publicitaires utilisent cette proportion. Voir par exemple la série de documentaires "The human calculator".

Le secret du sphinx

Ce qui suit est extrait du livre Le problème religieux au chapitre La religion en section Révélations :

En plaçant un calque du corps humain orienté vers la droite, le monde à venir du matin, sur des cartes géographiques du plateau de Gizeh et du nord de l'Inde, on peut effectuer les observations et les mises en correspondances suivantes.

L'héritage des pharaons

La structure interne des pyramides est liée aux dan-tiens des taoïstes (centres énergétiques principaux du corps humains, également nommés centres Haras ou grands plexus fonctionnels, qui correspondent dans leur manifestation aux grands chakras qui en sont les sous-unités mécaniques) :

  • Le cerveau ou Shang est le centre de l'énergie mentale : le Shen.
    La pyramide de Kheops* (Horizon) représente l'esprit du cerveau.
    C'est la conscience et la pensée.
  • Le cœur ou Zhong est le centre de l'énergie vitale : le Qi.
    La pyramide de Khephren (Grand) représente l'âme du cœur.
    C'est le sentiment et l'émotion.
  • L'abdomen ou Xia est le centre de l'énergie organique primordiale : le Jing.
    La pyramide de Mykérinos (Divin) représente le corps de l'abdomen.
    C'est l'effort et la sensation.

* Les chambres de décharge correspondent aux ventricules cérébraux qui gèrent les postulats et les considérations.

Le Sphinx représente la clé du centre de la sagesse christique qui est le gouvernail du cœur de l'intellect corporel. La résolution de son énigme enseigne qu'avant la fusion des gamètes, l'être n'est pas, et qu'après la mort, il n'est plus.

Le mystère au-delà des mystères est l'azur de la vibration des atomes de l'ADN.

Cette vibration qui résulte du Pneuma Hagios provenant du Souffle de Elohim est aussi neutre que l'eau pure puisque ce n'est qu'un champ électro-magnétique qui est généré par l'action mécanique et orientable de forces biochimiques nerveuses et organiques.

Le plus grand secret occulte de ce mystère est que la vibration corporelle n'a rien à voir avec la bonté et avec la méchanceté qui résulte du bon ou du mauvais œil, de la bonne ou de la mauvaise oreille, car le bien et le mal sont le bon et le mauvais esprit de la parole et des actes, de ce qu'en français on nomme métaphoriquement "cœur".

L'héritage du Bouddha

À la mort du Bouddha, ses élèves lui demandèrent :

"Comment nous souviendrons nous de tes enseignements ?"

Il répondit, après avoir enseigné au cours de sa vie qu'il n'y a ni un dieu ni des dieux, et que les statues servent à rien :

"Rendez-vous en quatre lieux."

  • Lumbini est le lieu de la naissance du bouddha :
    Les yeux et les oreilles de la tête, la pensée.
    C'est le Shen ou Mental mécanique ou Âme logique*.
  • Kushinagar est le lieu où meurt le Bouddha :
    La bouche et le nez de la gorge, la parole.
    C'est le sphinx, le fruit des trois joyaux Shen-Qi-Jing.
    C'est la pensée, l'émotion et le corps agissant en symbiose.
    C'est l'entité unitaire de conscience nommée grande âme ou esprit.
    L'union du haut et du bas.
    L'union du principe supérieur et du principe inférieur.
    L'union de la matière divine et de la matière animale formant l'humain.
  • Sarnath est le lieu où le bouddha fait tourner la roue :
    Le cœur et les poumons du thorax, la respiration.
    C'est le Qi ou Mental émotionnel ou Âme sensible**.
  • Bodhgaya est le lieu où le bouddha s'éveille :
    Le ventre et le diaphragme de l'abdomen, l'énergie.
    C'est le Jing ou Mental automatique ou Âme vigilante***.

* Qui établit des conclusions suite à l'analyse de comparaisons et de calculs.

** Qui fournit la force de mettre en œuvre les actes résultant des conclusions.

*** Qui fonctionne réactivèment par appel de fonctions en court-circuitant les actes conscients.

Le révélation de l'azur

Au-delà des ordures et des mensonges

Erev Rav ערב רב : "enseignement, production" qui "interfère" [avec la loi] ou qui "joue" [avec la vie et le destin des gens].

Assafsouf אספסף : "foule, populace, masse" au sens de démocratie ou pouvoir de la majorité du groupe politique et religieux contre le droit qui ne se soumet pas aux lois en vigueur mais aux intérêts personnels divers et variés même d'opinions.

Ces deux choses désignent à la fois les mauvais enseignants et l'effet de leur mensonges qui ne font que détruire et faire souffrir inutilement l'espèce humaine.

Ce sont ceux qui après la sortie de Mitsraïm refusent d'entrer en Israël et rejettent la Torah afin de mettre leurs connaissances et leurs pouvoirs au service du crime, non par manque de Emounah et autre difficulté y compris le désintérêt, mais par méchanceté voire par perversité.

Il s'agit d'un sous-ensemble d'êtres humains constitué de l'esprit et du mental et du coeur et des sentiments de Qaïn, Qora'h, Midian, Baal, Amalek, etc. qui rejettent tant les lois du pays qu'ils dirigent que de la Torah qu'ils moquent et haïssent, formant ainsi un ramassis d'ordures...

Shémot 23.27
Stopper le crime
La Emounah ou la confiance en la Loi

La "foi", ou mieux, la confiance, voire la certitude, ce sentiment de fiabilité, ne s'impose pas, mais s'apprend par l'étude des lois, à commencer par celles de la compassion et de la bienveillance tant innées que acquises : la confiance en la Torah amène à plus de confiance en la Torah grâce à l'étude.

Emounah

La Emounah en la Torah et donc en HaShem de Elohim, et subséquemment dans le vrai Israël des justes compatissants, relève de la même chose que la certitude en, par exemple, les règles fondamentales des mathématiques ou de la logique booléenne et de la programmation informatique qui sont pure mécanique.

Partant du postulat intrinsèque de la raison d'être de la Torah exposée par la majorité des rabbins solvable et pas le texte lui-même, pour ce qu'en perçut l'auteur, la Doctrine du HaShem d'Israël concerne à la fois les règles du langage génétique humain en tant que mécanismes phénoménaux du type spécification du langage tel que l'assembleur ou le C#, et à la fois un exposé dans les grandes lignes, et certains petits détails pertinents, selon mode fractal, de tous les grands phénomènes humains possibles et leur application évènementielle, d'un point de vue de la survie optimale de l'espèce, hébreux comme étrangers, sans nuire à qui que ce soit même aux méchants, malgré la calomnies des fausses traductions ; comme si une caméra était placée au cœur du noyau symbiotique du potentiel humain éternel et scrutait les cellules, les corps et les astres jusqu'au confins de l'univers, dans tous les domaines de la vie physique, sociale, politique, mentale et autres.

La confiance dans les directives de la Torah visant à agir au mieux possible afin que les choses aillent bien et pas mal, à travailler pour les vivants et à rejeter le travail des torture et de la mort prématurée, est ainsi donc la confiance dans le langage lui-même, dans la justesse de sa sonorité elle-même, de sa vibration, et ce, malgré la haine, malgré la moquerie, malgré les mensonges, malgré les duperies, malgré les vols, malgré les crimes et malgré les souffrances.

On peut ainsi considérer que la Doctrine est le manuel de la plus haute science sur la mécanique de l'univers et de la vie possiblement compréhensible par humain en terme évolution et de survie sur la planète végétale et océanique où nous logeons et qui possède un soleil et une lune avec un jour et une nuit alternés avec une moyenne douze heures chacun ; du premier ADN 22+1 jusqu'au dernier et puis plus rien.

Comment un programmeur pourrait-il coder un logiciel ou sa propre vie s'il n'a pas confiance dans le manuel de la machine et du langage, sachant qu'il est fiable, surtout si l'auteur est bon ?

La Torah est le manuel de la vie humaine et il n'y en a pas de meilleur : tous les autres manuels dans toutes les langues à ce sujet le disent en tant que validation et légitimité de leur existence dont l'objectif mis en avant est d'expliquer la Torah, que ce soit notamment l'Évangile, le Quran ou les Sutras.

La torah écrite et éternelle est le manuel du couple de l'homme avec sa femme, et la torah orale transmise de génération en génération pour être adaptée au présent est le manuel du couple de la femme avec son homme : ces deux choses sont inséparables. Ainsi un homme qui étudie la Torah écrite de sa femme forge son couple avec la femme qui étudiant la Torah orale de son homme forge son couple pour ne faire qu'un, ensembles.

La récompense de l'étude

Freyja ᚠᚱᛖᛃᚨ (dame) : "Récompense de l'étude [de la Torah] par le Mâle [devenu homme] qui Récolte ce qu'il a Ensemencé [par ses efforts]". La récompense, comme dit le rabbin, est la compréhension résultant de l'étude, en d'autres termes la récompense est le droit au monde futur façonné par l'étude et l'ensemencement des mots. Le témoignage en affliction n'a rien à voir avec cela et qui concerne le fait de "dépouiller" Erev Ravs de leurs crimes minables, méprisables, abjects et abominables, car l'action de la Loi est pure Justice et toute objection est inutile face à la plus haute compassion de la vérité et de la bienveillance.

Eir ᛖᛁᚱ (aidante, soignante, partisane) : Mouvement du Verbe de la Vie (soldate du sacré).

Sif ᛋᛁᚠ (fertilité) : le noble motif (Soleil) du savoir (Verbe) est la compréhension de univers et de vie (Récompense).

Bamidbar 15.38
Projections et Engendrements
L'amour de la vie

Ran ᚱᚨᚾ (sauvegarde) : "Vie, voyage, cheminement, chevauchée, déplacement" du "Souffle, respiration, mouvement, père, verbe" via le "Besoin, désir, nécessité, force". Soit l'existence du souffle de Elohim qui engendre la force-désir [de l'amour].

Idunn ᛁᛞᚢᚾᚾ (renouveau) : "Verbe (savoir) qui Illumine (libère) les Nuées (expansion des eaux-flux i.e. scintillement de la torsade azurée des vêtements de l'amour) qui comble le Désir du Désir". Soit le sentiment affectif-amoureux.

Bragi ᛒᚱᚨᚷᛁ (poésie) : La "Sève miel" de la "Vie lait" du "Souffle mouvement" engendre le "Don bienveillance" du "Verbe source". Soit le parolier poète musicien qui nourrit.

Vayiqra 16.8
Crimes et Châtiments

Conclusion

L'évolution humaine

Le mot hébreu Magdala מגדל provient de la racine גדל : "faire grandir, rendre grand, élever, améliorer, instruire, cultiver, promouvoir".

Ainsi au sens strict מ-גדל veut dire : "il a été élu" [par HaShem] {au sens de "il a reçut le don de la Torah et a été instruit et amélioré" malgré méchants et non grâce à eux [parce que de toute manière c'est ce qui se serait passé même sans l'intervention du peuple qui ne fait que réparer les injustices et les crimes en vertu des lois de la Torah] ; tant qu'on reste en vie évidemment}.

Ceux et celles qui colportent le concept d'une Maria qui serait une prostituée ne sont que des menteurs, et ce sont eux et elles qui le sont.

L'hexagramme

Une manière de résumer la Rosa Cosmica serait de dire que l'être humain est :

י Un hexagramme au coeur d'un pentagrame
ה Dans le carré du cercle binaire
ו De l'unité triangulaire du PI
ה Qui génère la vibration de l'ADN cristallin

Cette expression qui semble en soit ne rien vouloir dire a pour finalité de déclencher des mécanismes neurologiques afin d'amener le cerveau à percevoir conceptuellement en un instant la beauté et l'insondabilité mathématique et géométrique, plane comme spatiale et oscillante comme harmonique, de manière intemporelle absoute de toute volonté temporelle, du sujet de la connaissance humaine du sacré, ou en tout cas ce dont l'auteur en a perçut via l'étude des sciences depuis la fin du lycée et qui est ici exprimée de manière simplifiée.

  • L'héxagramme est Salomon, le complet.
  • Le pentagramme est David, le potentiel.
  • Le binaire est la source de tout mouvement périodique sur un oscilloscope.
  • Le cercle du PI est le mouvement perpétuel et éternel des nombres qui façonnent tout.
  • Le carré est HaShem en mouvement via le souffle de Elohim.
  • Le triangle est l'axe de l'existence de la communication spatiale.
  • L'unité est chaque atome de chaque molécule de chaque cellule de chaque organe de chaque corps.
  • L'ADN est le cristal de la vie évènementielle du phénomène HaShem des vecteurs de forces Elohim.

Perspectives futures

Nous pourrions également mentionner l'heptagramme relatif aux sept grands plexus nerveux ou chakras, ainsi qu'aux sept principales planètes, aux sept notes de musique, aux sept couleurs arc-en-ciel du prisme, et à l'art dit magique ou mentalisme pouvant être utilisé pour faire le bien comme le mal ; sans compter par exemple la dichotomie en sept éléments que sont par exemple l'énergie de la pensée, la lumière de la parole, l'éther des flux, le feu de la volonté, l'air du mouvement, l'eau de l'engendrement et la terre de l'action.

Ainsi que l'octogramme qui est formée de deux carrés et qui est notamment le symbole Ishtar 𒀭𒈹 ou étoile du berger, le berger ou "pays de l'esprit mâle" étant Assur 𒀭𒊹 qui se dit en hébreu אשור soit approximativement "je verrais [la vérité] et approuverais [Israël] et serais heureux [d'être libéré de Mitsraïm] pour guider [les étudiants et les victimes]".

Et plus encore à l'infini du dans le i fractal du e de la congruence en série, mais une telle étude dépasse le cadre de la présente car faisant notamment appel aux notions de dérivés et d'intégrales ainsi que de matrices : ce qui a été dit en vertu de la Torah suffira.

Le verbe "se soumettre" provient du latin "sub-mitto" et même si le concept actuel en français est aussi péjoratif que rejeté par la quasi-majorité des gens y compris l'auteur, cela signifie "se placer sous l'effet du laisser agir [en totale confiance sachant que rien de mal ne peut arriver de cette action]".

Le shalom bayit repose en effet non pas sur la notion de dominant-dominé mais sur le Alef-Tav visible et invisible qui est que l'homme et la femme s'appuient l'un sur l'autre en toute confiance, sachant tout cela, de manière inconsciente comme consciente, la construction du couple étant de passer les étapes relatives à l'évolution de cette conscience de perception du sentiment amoureux partagé.

Ainsi la femme fait confiance à son homme pour ne pas tomber car retenue par l'homme qui fait confiance à sa femme pour pas être emporté dans la chute, tous deux étant en équilibre sur le chemin de la vie quoi qu'il arrive. Résultat de l'union par compassion de deux êtres selon la sincérité des coeurs, le partage de la vision, la force de l'investissement, la tendresse des actes et la liberté de la marche commune (cf. le livret sur l'alliance et Dévarim 19.21).

Iyov 3.8
Dévoilement
Dévarim 32.39
Assistance
Bamidbar 23.23
Travail
Yéhoshouah' 6.1-2
Publication
Plus d'informations

L'expression doctrinae filio fedeli équivaut à enseigner au fils la fidélité à la plus haute loi de la bonté étant la vrai Torah hébraïque qui est expliquée dans les textes originaux du Tanak, du Euaggelion et du Quran ainsi que notamment les Sutras et les hiéroglyphes comme les runes, et qui est en ce moment mise en place sur Terre, quoi que réductivement telle une projection homothétique, grâce au préambule de la Constitution française basée sur la Déclaration Universelle des Droits des Humains conditionnant tous les codes et procédures de lois du monde des Nations-Unies actuellement hors-la-loi primordialement à cause de la cause de la psychiatrie de l'Ordre qui relève de la religion avec sa bible et son culte, autocratiquement proclamée Direction de la République, et à cause de son organisation illogiquement et illégalement privatisée au nom d'un libéralisme usurpant la mission du service-public, qui dirige la marche des États via les comités territoriaux et gouvernementaux, et qui est une dictature barbare et criminelle pratiquant la torture chimique voire physique, amputative et séquellaire voire mortelle digne de l'inquisition, de manière arbitraire et généralement sans recours possible malgré un labyrinthe administratif sans cesse réformé années après années mais qui reste inefficace du point de vue des victimes qui s'accumulent dans les archives au fil du temps, tout cela étant pire que la prison dans le concept et la finalité de ce mot, et tout cela étant fait au nom de la science, de la loi, de la justice et des peuples, principalement pour le profit et pour la censure voire pour le plaisir, mettant subséquemment en danger les populations comme les protagonistes jusqu'à l'espèce toute entière et même la nature, avec des substances aussi dangereuses que fatales qui ne sont que des insecticides pour humains et qui contaminent jusqu'à l'environnement sans parler notamment des pesticides de synthèse et des dérivés du pétrole utilisés à outrance, ce qui est pure stupidité et pure folie.