Témoignage

Première rédaction pour la police début 2005
Deuxième rédaction pour le public en 2014
Dernière mise à jour fin 2022

Temps de lecture : 30 minutes

Synthèse

Je suis invalide physique suite à des traumatismes corporels, neuroatypique à cause d'une audition défectueuse, et immunodéprimé.

Je suis victime d'un crime en cours contre mon humanité avec empoisonnements, tortures, tentative d'homicide, faux et usage de faux, kidnapping, séquestration, abus de pouvoir, déni, calomnie, discrimination, abandon collectif, refus de soins et psychiatrisation sous contrainte.

Pour résumer, je souffre d'un déficit immunitaire depuis ma naissance récemment diagnostiqué, ainsi que d'une pathologie vertébrale d'origine polytraumatique causée par des tiers humains de 1984 à aujourd'hui, car telles sont les preuves, mais de nombreux membres du corps médical qui refusent de me soigner correctement depuis des décennies affirment sans preuves que je délire à ce sujet tandis que les autorités qui nient l'existence des preuves des faits juridiques valident cette allégation mensongère dont l'origine se trouve chez les assurances privées et publique responsables du dossier, dans le but de me stigmatiser et de m'administrer contre ma volonté des substances dangereuses.

Contrairement à ce qu'affirment arbitrairement les fichiers de l'administration, je ne suis pas coupable et c'est ce que montrent les preuves ; je suis victime et le préjudice est corporel, social, éducatif, professionnel et financier : l'hôpital, des docteurs libéraux, la Compagnie Mutuelle d'Assurance, l'Assurance Maladie, la Préfecture, la Région, le Tribunal, la Police, la Gendarmerie et l'État, ainsi que les Ordres des Médecins, des Dentistes, des Kinésithérapeutes et des Avocats, ont géré et gèrent mal mon cas en me retirant illégalement mes droits et en m'opprimant. Au-delà de la faute médicale, il y a par définition crime en cours contre mon humanité depuis le printemps 2004 que j'appelle à l'aide suite à un acte chiropratique qui m'a estropié tandis que les symptômes du déficit immunitaire se sont aggravés d'années en années pendant qu'on me maltraite en m'accusant de troubles mentaux pour justifier le refus de soins, la torture physique et la coercition chimique.

Dans une chute douloureuse, inexorable, incontrôlable et hors de ma volonté, j'ai été spolié de presque tout : santé et force physique, quelques dents, diplôme d'études supérieures, relations sociales, travail, revenu, loisirs, voiture, logement, liberté…

Je souffre beaucoup depuis des décennies et il y a des séquelles.

Synopsis

Depuis 35 ans on ne fait que me prescrire des antibiotiques, des antihistaminiques, des antalgiques, des anti-inflammatoires, des corticoïdes et des myorelaxants, et puis des substances psychiatriques dangereuses.

Les psychiatres et l'assurance maladie affirment depuis plus d'une décennie que mes douleurs vertébrales et mes infections à répétitions, ainsi que le dossier médical à ce sujet, n'existent pas, et que c'est un délire hypocondriaque paranoïaque de ma part, et ce, malgré les preuves médicales et les expertises de la compagnie mutuelle d'assurance partenaire qui refuse d'assumer sa responsabilité médico-sociale et juridique envers moi, comme l'État donc, et ce, malgré avoir été diagnostiqué en état de déficit immunitaire au printemps 2019 et malgré les examens radiologiques qui attestent de mon état de polytraumatisé depuis l'enfance.

Les services sociaux veulent me placer sous tutelle et le procureur affirme que je suis un déficient mental et un harceleur afin de me retirer mes droits et d'accorder impunité et crédit à mes agresseurs.

J'ai ainsi été fiché par deux fois dangereux malade mental dans les archives nationales et on refuse de réparer cela.

L'assurance maladie et les généralistes refusent de me placer en Affection de Longue Durée pour pathologie vertébrale afin que je puisse bénéficier de bons de transport pour les déplacements qui sont un calvaire et un gouffre financier.

Les kinésithérapeutes refusent de me faire de la mobilisation passive qui me fait du bien et dont j'ai découvert l'existence il y a quelques années en zappant à la télévision. Les ostéopathes refusent de me soigner même après que les docteurs en médecine mécanique découverts en 2005 m'aient montré ce dont ils sont capables.

Enfin adressé au service de rééducation fonctionnelle, l'hôpital, qui pourtant maintenant me soigne bien le déficit immunitaire dans le service de médecine interne et donc les infections à répétition que je n'ai plus, refuse de soigner mon dos en disant d'aller voir un kinésithérapeute...

Le docteur en médecine mécanique le plus proche pour recevoir des dégrippages qui me font du bien est malheureusement à quatre heures de route aller-retour.

En 1984 j'ai reçu un coup de poing violent dans l'oreille droite qui a saignée, ce qui m'a rendu sourd partiel et malentendant à l'âge de 10 ans et on a rien fait ; abcès en 1987 à staphylocoque doré et pyocyanique.

En 1993 une opération de l'oreille droite ; puis subit plus de six accidents de voiture de 1994 à 1998.

En 2004 un chiropracteur m'a tordu les lombaires et déchiré les cervicales ; puis en 2005 une infection dentaire non prise en charge durant un an et finalement extraction de deux dents plus deux dévitalisations ; puis j'ai été hospitalisé d'office par la police qui m'a tabassé pour justifier le refus d'enregistrer une plainte pour mauvais traitement médical et non-assistance à personne en danger.

Reportage "Se soigner autrement (France 5)"
La chiropratique-chiropractie-chiropraxie, bienfaits et dangers

En 2016-2017 une infection dentaire non prise en charge durant un an puis extraction autre dent pourrie.

Au printemps 2018 j'ai été hospitalisé sous contrainte par les urgences de l'hôpital afin de justifier le refus de soins locomoteurs et anti-infectieux, et la literie était de très mauvaise qualité. Le juge du tribunal m'a immédiatement libéré après avoir finalement été diagnostiqué en état de déficit immunitaire.

Début octobre 2019 un kiné m'a flingué les lombaires avec un pistolet à ondes de choc radiales, que j'ai appris par la suite être interdit d'usage sur les vertèbres ; les lombaires puis les cervicales ont lâchées ; je me suis retrouvé presque dans le même état qu'après l'acte chiropratique. Je lui avait pourtant demandé de la mobilisation passive tel que mentionné sur l'ordonnance.

Résumé

Je suis régulièrement malade depuis ma naissance, surtout infections ORL et un peu digestives.

En 1984 à l'âge dix ans, j'ai reçu un violent coup de poing dans la tempe droite qui m'a fait tomber par terre et l'oreille a saigné. Depuis cette époque, je n'entends plus correctement et il m'est difficile de comprendre le monde verbal. La stabilité à la marche et mon sens de l'équilibre ont immédiatement été détériorés. Cette oreille et le nez me déménagent sans cesse et je suis souvent malade : antibiotiques, corticoïdes, antalgiques et anti-inflammatoires me sont prescrit chaque année pour des otites, des sinusites, des angines, des bronchites, des furoncles et des torticolis. Des analyses en 1987 et une expertise médicale en 1994 ont montré que l'oreille a été contaminée par des germes résistants contre lesquels on m'a donné des perfusions d'un antibiotique "intermédiaire" et une poudre locale dans le conduit auditif : j'ai survécu.

Puis une opération de l'oreille en 1993 pour laquelle on a prélevé : un bout de peau pour remplacer le tympan qui depuis n'est plus du tout fonctionnel quoique "fermé", et un bout de cartilage au lobe pour refaire un osselet. Suite à cela les infections ORL ont changé et décuplées : terminées les otites mais les symptômes se sont aggravés au niveau de toute la sphère ORL et on m'a prescrit plein de corticoïdes oraux et des antibiotiques durant un an pour ne garder qu'un corticoïde nasal après avoir conclu à une "forte allergie". Beaucoup de boutons permanents et résistants à tout traitement sont apparus au cuir chevelu, autour de l'oreille droite, en particulier au niveau du lobe, et en haut du dos. Également un mauvais goût dans la bouche depuis 1994, devenu de pourri en 2005 et même d'excrément en 2016 : on m'a finalement arraché trois dents et dévitalisé deux autres de 2007 à 2017 avant qu'il disparaisse totalement pour revenir en 2018.

Outre ce choc violent dans l'oreille droite, il y a eu deux traumatismes en cours de gymnastique au collège à cause de pertes d'équilibre et de contrôle du corps. Également de 1994 à 1998 plus de six voitures ont percuté mon véhicule lorsque je conduisais. Toutes ces choses ont ainsi créé de nombreuses entorses vertébrales et des déchirures qui n'ont pas été convenablement soignées, qui ne se sont jamais réparées et qui sont devenues une "maladie rhumatismale".

Puis on m'a recommandé un chiropracteur qui début 2004 m'a tordu les lombaires et déchiré les cervicales, ce qui m'a rendu invalide et incapable de travailler et d'avoir un revenu ainsi que de vivre ma vie. Ensuite la police pour me faire renoncer à une plainte pour mauvais traitement m'a torturé et empoisonné fin 2006, et les autorités territoriales et l'Assurance Maladie ainsi que la Compagnie Mutuelle d'Assurance m'ont retiré mes droits médico-sociaux et juridiques-judiciaires en rejetant toutes mes demandes de recours et d'avocat et en disant que j'étais un malade mental qui invente être traumatisé corporel et qui doit être traité en psychiatrie avec des substances dangereuses.

C'est paralysant que j'ai consulté un docteur en médecine mécanique qui m'a partiellement soigné de 2005 à 2007, réduisant ainsi notablement les douleurs dorsales et le handicap.

À partir de 2008, je me retrouve sans logement et sans accès aux soins médicaux.

À partir de 2016, mon état de santé se dégrade : augmentation du nombre de boutons au crâne, furoncles plus fréquents, rhinite chronique de plus en plus importante, mal de gorge, voix enrouée, toux, mal à une dent, douleurs de la mâchoire et de la joue droite, fièvre à 38°, nausées, insomnie, grande fatigue, démangeaisons et douleurs de l'oreille droite et augmentation du mal au dos.

Médecins, dentistes et kinés refusent de me soigner durant des années, arguant une psychose.

En mai 2018, les urgences de l'hôpital m'hospitalisent sous contrainte en psychiatrie dans le but de me faire oublier mes doléances corporelles pour "délire hypocondriaque paranoïaque". Sans doute à cause de la literie, mon état vertébral se dégrade durablement.

En avril 2019, je suis diagnostiqué en état de déficit immunitaire et le traitement par perfusions mensuelles d'immunoglobulines commence : tous les symptômes disparaissent, sauf le mal au dos.

En mai 2019, le Juge des Libertés et de la Détention me libère de l'hospitalisation sous contrainte.

Ainsi en réalité ce sont les docteurs de l'Assurance Maladie et les psychiatres de l'hôpital qui délirent et qui sont méchants lorsqu'ils affirment que mes douleurs corporelles et mes furoncles à répétition sont un délire de ma part qui nécessite l'administration de substances très dangereuse qui font beaucoup souffrir, qui causent des séquelles et qui réduisent l'espérance de vie.

Les kinés continuent de refuser de me soigner avec de la mobilisation passive qui me fait du bien veulent employer des techniques qui me font du mal telles que le massage, l'électrothérapie ou les ondes de choc sonores : l'ordre m'a répondu qu'ils étaient "souverains de la méthode". En effet, si mon état vertébral s'est empiré depuis mai 2018 probablement à cause de la mauvaise literie du service psychiatrique de l'hôpital, il s'est aggravé en septembre 2019 et je me suis mis à ne dormir que 2 à 3h par jour, alors je suis finalement allé voir un nouveau kiné le 2 octobre : celui-ci m'a "flingué"  le dos en 2 minutes avec son pistolet en disant que c'était "nécessaire". Je lui ai téléphoné pour lui dire tout le mal qu'il m'avait fait, que j'avais aussi mal comme en 2004,  et comme tous les méchants qui me nuisent, il a déposé plainte à la gendarmerie pour harcèlement. Je n'ai pas déposé plainte contre lui sachant qu'il serait protégé et que je ne voulais pas avoir d'ennuis supplémentaires avec les autorités.

Récapitulatif

  • Nombreux coups et blessures : entorses, luxations et déchirures du rachis et des mâchoires attestées par les clichés et les radiologues. Notamment pour les plus graves : début 1984 (coup, saignement oreille, surdité partielle), 1994 et 1995 et 1996 et 1996 et 1997 et 1998 (voitures), 2001 (en tournant la tête), 2004 (chiropracteur, de boiteux depuis 1984 et plus depuis 1994 et 1998, je deviens estropié et invalide à 80%), 2006 (police), 2018 (literie hôpital), 2020 (kiné).
  • Déficit immunitaire inné selon l'acte unique inscrit au carnet santé en 1974 (2 injections gammaglobulines) et selon les infections chroniques depuis la naissance aggravées en 1984 et dès 1987 ainsi qu'après 1994 et 2004 et 2016 : diagnostiqué et pris en charge tardivement mais avec professionnalisme en 2019 à 47 ans.
  • Ablation des amygdales et végétations vers 4 ou 5 ans car tout le temps malade.
  • Appendicite vers 6 ans puis aucun souvenir d'avoir été malade au cours du primaire, sinon une ou deux otites et deux ou trois vomissements, pas de documents.
  • Chaque année depuis 1984 en plus d'une légère difficulté à marcher, courir et à garder l'équilibre :

- Torticolis plusieurs fois par mois.

- Grippe vers le milieu-fin de l'hiver après une ou deux angines et bronchites au début.

- Nombreuses otites, au moins une à deux fois par semestre ; puis seulement une ou deux en tout depuis 1993.

  • Infection intestinale aux staphylocoques dorés en 1985.
  • Infection urinaire en 1986.
  • Abcès de l'oreille à staphylocoques dorés et pyocyaniques en 1987, attribué en 1994 à 1984 par les experts des assurances, qui aujourd'hui avec les psychiatres et les tribunaux, nient tout. Ce dernier germe étant résistant ou intermédiaire aux antibiotiques testés, perfusion 1 mois, survécu, santé devenue pire que depuis 1984, ou que depuis ma naissance, et torticolis plus fréquents. Le tout étant progressivement qualifié par les docteurs, avec les douleurs dorsales, de psychosomatique et anxiété à partir de 1994, de pathologie dégénérative non traumatique par l'assurance en 2001, et puis décrété sans preuve ni recours possible de maladie mentale dès 2004 par la quasi-majorité des praticiens et par toutes les autorités médico-sociales et juridiques-judiciaires lorsque je me suis retrouvé cloué au lit, et par le procureur en 2007 qui en 2020 m'a dit que si j'appelais à nouveau le 15 je serais mis en prison, et par la CPAM en 2008, procédant à deux HO : 45 jours en 2006 (libéré pour éviter l'expertise du tribunal) puis en 2018 pour être placé sous neuroleptiques en milieu hospitalier à vie ; la survenue des faits et l'existence du dossier (infections, traumatismes, examens, certificats), étant désormais ouvertement niée et désignée de "imaginaire" pour conclure à un "délire hypocondriaque paranoïaque" par près de 20 psychiatres, 10 juges, et un expert qui a qualifié ma vie sous "antibiotiques et antalgiques" de "errance et nomadisme médical" et qui a utilisé les HO illégales et arbitraires visant à justifier les refus de soins anti-infectieux et locomoteurs, et du droit recours en justice, pour conclure à une "preuve de maladie mentale évoluant depuis de nombreuses années" afin de stipuler "en application de la science médicale actuelle" que j'étais "dangereux" et que je "banalise" des choses, que moi je n'ai jamais fait puisque je suis de faits juridiques que la loi interdit d'ignorer triplement victime, et qu'il faut me "retirer mes droits et m'empoisonner" avec des substances visant de faits scientifiques et de notoriété publique à détruire le cerveau et le corps. Allégations qui persistent à ce jour malgré qu'un juge m'ait immédiatement et contre avis libéré au lendemain du diagnostic de "déficit immunitaire expliquant les infections chroniques depuis de nombreuses années", sans aucune autre formalité ni réparation ni réhabilitation ni poursuite des responsables, le procureur m'ayant écrit que ce qu'on me faisait subir n'était pas punissable par la loi.
  • Tympanoplastie en 1993 avec ablation d'un osselet de l'oreille lésée en 1984.
  • Trois dents arrachées (2006, 2007, 2016) et deux dévitalisées (2007, 2012) : en 2005 et 2006 ainsi que 2016 et 2017 près de 20 dentistes et généralistes au total disaient que ma fièvre et mes douleurs des mandibules et de la face était une psychose comme le dos, évoluant à chaque fois vers près de 41°C et une proposition de "extraction pour pas mourir d'une septicémie".
  • Infection urinaire en 2021 soignée avec un antibiotique prescrit, ce qui me fait découvrir la bruyère via la pharmacie : j'arrête rapidement l'antalgique quotidien, je dors de plus en plus, et je recouvre progressivement l'usage de mon dos et de mes membres au fil des mois malgré les séquelles. En toute logique et en vertu des affirmations scientifiques trouvées à ce sujet, cela soigne, je ne sais pas dans quelle mesure, l'ostéomyélite à pyocyanique acquise en 1984 qui aurait du me tuer en 1987 et dont je n'ai en vérité jamais été soigné tel que le démontre les faits et le dossier médical, quels que soient les mensonges et les crimes des docteurs, des assureurs et des tribunaux ou autres à ce sujet.
  • Remarque : les président des ordres médicaux m'ont dit que "les infections ne mettent pas la vie en danger (téléphone)", qu'on "ne pouvait pas aller à l'encontre de la décision d'une compagnie mutuelle d'assurance (signé)", que "les praticiens sont libres de la méthode (téléphone)" et que ce que je subissais "relève de la compétence du procureur (signé)". La CNAM m'a dit que "on peut à la fois inventer être malade et avoir cette maladie, l'un n'empêche pas l'autre, il n'y aucune voie de recours légal contre la psychiatrie (téléphone)". Le TASS seul compétent selon le Conseil d'État s'est jugé "incompétent" au "profit exclusif de la CNAM". Tous les recours et demande d'aide publics et privés sont par centaines systématiquement rejetés depuis 2004 et même 1997 puisque j'ai écrit moi-même pour la première fois à la Compagnie Mutuelle d'Assurance en 1997 et à la Compagnie d'Assurance Partenaire dite Adverse en 2005, au motif finalement énoncé dès 2015 par les présidents des ordres et le bâtonnier que "il n'y a aucune obligation de soigner, aider et défendre puisque le service-public est délégué à des organisations privatisées donc libres (téléphone)". Aux urgences en 2018 j'ai demandé pourquoi on me traitait ainsi au péril de ma vie et on a pointé du doigt mon nom sur le bracelet avant de m'envoyer en psychiatrie, avec l'aide des gendarmes et des juges du tribunal, de la cour d'appel et de la cour de cassation, où on m'a dit "vous êtes un criminel, vous ne sortirez pas, neuroleptiques et benzodiazépines à vie". Pourtant je suis de faits juridiques innocent et victime.
  • Triplement victime ? Sans oublier la calomnie sous-jacente, le vol du salaire d'une vie, et la torture inhumaine, stipulés comme étant un "bon-droit bien-fondé légal non susceptible de recours et non punissable" par l'organisation dirigeante :

- Agressions ⇒ estropié inutilement.

- Mauvais soins ⇒ séquelles évitables.

- Retrait des droits ⇒ tentative homicide.

Crime en cours

Au cours des années 2010 j'ai découvert des dizaines et des dizaines d'articles du Code Pénal et de lois internationales qui interdisent de faire subir toutes ces choses néfastes à qui que ce soit :

  • Empoisonnements : on m'a prescrit des médicaments inefficaces durant des décennies et on m'a administré contre ma volonté et sans raison médicale justifiable, finalement prouvée pour justifier le refus de soins anti-infectieux et locomoteurs et donc pour me faire taire et "oublier", des substances psychiatriques dangereuses telles que des neuroleptiques et des benzodiazépines.
  • Tortures : je souffre d'entorses vertébrales qu'on refuse de soigner ou pour lesquelles je n'ai pas accès aux soins ; il y a également les effets indésirables des substances psychiatriques.
  • Tentative d'homicide : l'acte chiropratique et l'action illégale par la police relèvent de l'attentat à ma vie ; de même pour l'administration sous contrainte de substances psychiatriques.
  • Faux et usage de faux avec calomnie : les certificats des psychiatres de l'hôpital et le diagnostic de l'Assurance Maladie pour l'invalidité qui m'accusent arbitrairement de maladie mentale sont mensongers et sans fondements scientifique et factuel ; de même pour les rapports de police en 2006 et le classement sans suite en 2007 de la plainte pour mauvais traitement.
  • Kidnapping et séquestration : c'est ce que sont les deux hospitalisations d'office et sous contrainte.
  • Abus de pouvoir : c'est ce que sont les deux hospitalisations d'office et sous contrainte ; tous mes recours sont iniquement rejetés et on établit des actes nuisibles contre moi ; l'accès à un avocat m'est constamment opposé au motif qu'il n'y aurait aucune obligation de justice.
  • Déni : l'existence des preuves des faits juridiques est systématiquement niée par les autorités.
  • Discrimination : je ne suis pas traité comme les autres en vertu de la loi en vigueur.
  • Refus de soins et abandon collectif : tous les généralistes et tous les dentistes du village où je loge me refusent comme patient et c'est à peine mieux ailleurs ; les services médico-sociaux et juridiques-judiciaires publics et privés refusent de me porter assistance durant des années, et depuis mai 2004 les services sociaux me demandent à être placé sous tutelle ; l'hôpital a durant de nombreux mois refusé de diagnostiquer et de prendre en charge le déficit immunitaire établit par analyse de sang au profit de la psychiatrisation sous contrainte.
  • Crime contre mon humanité : violation délibérée et ignominieuse de mes droits fondamentaux avec psychiatrisation sous contrainte ; tant le droit d'être soigné des entorses et de ne pas être empoisonné et torturé que le droit d'être aidé pour compenser le préjudice physique et financier ainsi que le droit d'accéder à une cour de justice compétente assisté d'un avocat pour témoigner du préjudice subit et faire valoir le dossier des preuves des faits juridiques que j'ai constitué par moi-même à mes risques et périls malgré le mauvais traitement inhumain.

Faits juridiques

Destinée

J'ai eu l'opportunité de pouvoir décider de ma destinée en choisissant un métier passionnant.

En 1983, à l'âge de dix ans, j'ai découvert l'informatique lors d'un séjour de vacance d'hiver organisé par l'école primaire. Ma grand-mère m'a offert un ordinateur et je suis devenu programmeur de logiciels. C'est dès l'âge de quatorze ans que j'avais déterminé mon avenir et ma formation. Grâce à mes parents, c'est devenu ma profession.

En 1984, j'ai été rendu sourd partiel et malentendant. Ce handicap n'a été ni énoncé comme tel ni pris en charge par les docteurs et par la Mutuelle d'Assurance qui n'ont rien fait sinon utiliser l'expression abstraite "baisse d'audition". Je me suis retrouvé progressivement et insidieusement en échec scolaire. J'ai vite appris à ne pas faire répéter les gens que je ne comprenais pas et à ne pas leur parler car ils se moquaient de moi. Je ne comprenais que les livres de programmation et les ordinateurs avec lesquels j'excellais, ainsi que la musique que je ne pouvais plus jouer et le tennis où ma progression était bloquée.

L'année d'après, au collège, j'ai été placé dans une classe spéciale, dite "expérimentale", avec les mêmes élèves et les mêmes enseignants durant quatre ans, et avec la même fille sourde et muette qu'on avait placé à côté de moi en CM2. En échec scolaire grandissant, j'ai acheté deux logiciels de mathématiques sur les factorisations et la géométrie. Afin de pouvoir les utiliser, c'est en avance sur l'école que j'ai lu le livre de cours. J'ai alors commencé à comprendre ce que disait le professeur de math et je me suis mis à réussir les exercices puis les contrôles. Ma moyenne est passée miraculeusement de moins de dix à plus de quinze. Il en a été de même avec la physique et la biologie : j'étudiais sur les livres, je soulignais des phrases dont j'écrivais le résumé que je recopiais plusieurs fois sur des fiches. Je sais aujourd'hui que cela me permettait de connaître le vocabulaire employé par les enseignants et de mémoriser les concepts : mon cerveau compensait ainsi la surdité.

J'ai ainsi eu la possibilité d'obtenir le diplôme du baccalauréat grâce aux matières scientifiques et à l'option informatique libre. Mais des problèmes de santé m'empêchèrent de suivre le cursus de mathématiques supérieures que j'ai dû interrompre. La faculté de médecine ayant des locaux près de chez moi, je m'y suis inscrit, mais les cours en amphithéâtre étaient trop cacophoniques et incompréhensibles, alors j'ai travaillé sur les livres jours et nuits.

Malgré une volonté de m'orienter vers l'informatique médicale, ma santé et ma passion m'ont amené à représenter une candidature auprès de l'IUT (celle-ci avait été acceptée par trois universités lors de ma première année de terminale mise en échec par une note de un sur vingt en philosophie aux épreuves du bac, mais elle avait été incompréhensiblement rejetée lors de la deuxième et je n'avais postulé qu'à une seule pour des raisons financières).

J'ai finalement obtenu une bourse d'étude et j'ai pu m'inscrire à l'IUT : je reprenais le contrôle de ma destinée.

Mais j'ai été victime de plusieurs accidents de la circulation dont je ne suis pas responsable puisque des gens percutaient ma voiture. J'avais de plus en plus mal au dos, les médecins me prescrivaient des médicaments qui m'ensuquaient, je dormais très mal et j'étais très fatigué.

Je ne comprenais rien à ce qui m'arrivait et je n'étais pas aidé.

Suivre les cours était difficile et j'étais souvent absent. Je n'ai pas obtenu le diplôme et je n'ai pas pu poursuivre vers une école d'ingénieur. Ma destinée était à nouveau détournée. Certains enseignements m'ont cependant donné les connaissances nécessaires à la pratique de mon métier, telles que l'analyse et conception des systèmes d'information et le contrôle des processus applicatifs.

Les assureurs et les docteurs responsables m'ont escroqué en abusant de mon ignorance, de ma confiance et de ma faiblesse, mettant ainsi ma vie en danger.

J'estime avoir été mal soigné durant des décennies même encore à ce jour et j'ai subi deux opérations sous anesthésie générale qui auraient pu être évitées et qui m'ont laissé des cicatrices et des problèmes.

Collisions

Le 4 mars 1994, je me rendais à la faculté de médecine par mon trajet habituel. Un véhicule m'a percuté en démarrant brutalement d'un stop et a envoyé ma voiture contre le mur. La conductrice m'a dit ne pas m'avoir vu passer devant elle et elle m'a demandé de ne pas m'inquiéter car elle était assureur. Des douleurs intercostales chroniques sont apparues dans les mois qui suivirent et le médecin généraliste m'a dit que c'était de l'anxiété. Des années plus tard, j'ai appris grâce à la télévision, puis grâce aux livres et à internet, que les assureurs et les docteurs savent que même un choc à faible vitesse abîme la colonne vertébrale et qu'il peut se passer des années avant d'en ressentir les graves effets dus aux subluxations et aux entorses, rendant impossible tout allégation d'un lien de cause à effet.

Le 11 décembre 1995, je me rendais au premier partiel du trimestre en empruntant le trajet habituel d'étudiant vers l'IUT Informatique. J'étais sur une double voie et une voiture a démarré d'un stop et s'est arrêtée juste face à moi. Malgré le freinage j'ai percuté cet obstacle inévitable car des voitures bloquaient perpendiculairement tout l'axe routier, l'autre file n'était pas disponible et de l'autre côté il y avait un mur. J'ai obtenu la note de dix-neuf sur vingt en programmation en une heure trente alors qu'il me restait deux heures sur les quatre disponibles. Le dossier aurait également été supprimé par la Mutuelle d'Assurance malgré mes nombreux courriers et demandes d'expertise à partir de janvier 1997, date à laquelle je me suis rappelé cet accident vite oublié, comme le premier. J'ai commencé à souffrir d'une sciatique rebelle et chronique dès la fin décembre. Je ne savais pas d'où cela provenait, ni les médecins ni l'assureur d'après leurs dires.

Le 23 mai 1996, j'étais à l'arrêt à un feu rouge. Deux voitures devant moi ont démarré lors du passage au vert puis se sont aussitôt arrêtées et j'ai fait de même. Le véhicule derrière moi a percuté ma voiture et s'est engouffré dessous, son capot qui fut écrasé étant plus bas. Ensuite il a reculé et mon automobile est retombée, ce qui m'a doublement secoué. Ce n'est qu'à partir de ce moment que j'ai constaté un lien direct entre accident et sciatique, ce qu'a réfuté la compagnie d'assurance qui a également abusé des conséquences socio-éducatives de ma surdité en toute connaissance de causes d'après leurs rapports médicaux.

Le 6 décembre 1996, je rentrais chez moi le soir après les cours. Il pleuvait, il faisait nuit. Passant au niveau d'un camion arrêté en sens inverse, alors que personne n'était visible, une porte arrière s'est brusquement ouverte et a percuté et cassé mon pare-brise. Il y avait un témoin juste en face qui s'est approché et qui a proposé de témoigner car il a fallu que j'appelle la police depuis un restaurant pour que le livreur énervé accepte de faire le constat. Comme j'avais freiné brutalement et fortement, la sciatique a repris après un été où j'avais retrouvé une relative forme appréciable. C'est à partir de ce moment que j'ai commencé à me plaindre auprès de la compagnie d'assurance sans savoir quoi faire de plus.

Le 30 mai 1997, je me rendais par mon trajet habituel à un stage informatique au sein du service de médecine nucléaire d'un hôpital. Je venais de m'arrêter à un feu rouge sur une voie en pente vers le bas. Une voiture conduite à très vive allure m'a percuté violemment par derrière tandis que je cherchais d'où provenaient les crissements de pneus qui ont duré quelques secondes. Mon véhicule, qui n'a subi aucun dommage en raison du transfert de choc sur mon corps, a été projeté vers l'avant sur plusieurs mètres et une voiture a failli me percuter de peu sur le côté, l'autre automobile prenant ma place. L'ostéopathe que je consulte conclut pour l'assurance à "un coup du lapin", expression qui ne veut rien dire, au lieu d'indiquer une grave entorse et de me soigner. Ce n'est pas mieux avec les généralistes et les spécialistes. À partir de cette période je commence à avoir beaucoup de problèmes de santé, sans rapport avec cet accident selon l'assureur et les docteurs. Ne connaissant rien aux accidents, aux affaires humaines, à l'administration, aux avocats et à la justice, sans argent, je ne savais pas quoi faire. À ce jour, les assurances et les docteurs maintiennent leur ligne de conduite malgré les certificats et les examens dont ils m'ont caché le sens.

Le 6 mai 1998, je me rendais à un rendez-vous médical au sujet de douleurs dorsales. J'étais immobilisé dans une inhabituelle et très longue file de voitures qui bloquait tout le parking de l'hôpital. Une voiture est sortie de sa place en marche arrière et a percuté mon véhicule malgré l'usage du klaxon. Les douleurs ont repris et se sont étendues.

Une psychothérapeute, se disant plus tard magnétiseuse, venue d'une très grande ville en 1992 pour s'associer avec mon père travaillant pour aider les élèves en difficultés scolaires, a cherché à me faire croire sans y réussir que j'étais envoûté et que tout était de ma faute. Elle et son amie m'ont finalement demandé de l'argent pour des désenvoûtements et j'ai rompu les liens. Elle m'a cependant orienté dans ma vie jusqu'en 2004 à l'aide de ses conseils anodins et elle a provoqué des rencontres avec des gens qui ont cherché à me faire croire en des choses paranormales.

J'abandonne les études qui sont un échec malgré ma réussite.

Durant plus de vingt ans, on m'a affirmé ne pas savoir pourquoi je souffrais jusqu'à ne pas pouvoir dormir et marcher correctement. On m'a prescrit des antalgiques, des anti-inflammatoires, des myorelaxants et diverses substances dangereuses en affirmant que ça aiderait à moins souffrir mais rien n'a fonctionné pas même l'ostéopathie classique jusqu'au soin de médecine mécanique.

Ayant par la suite un travail et un salaire, j'ai consulté deux avocats et un expert médical qui m'ont dit de "laisser tomber" mes doléances à l'encontre de la Compagnie Mutuelle d'Assurance.

Travail

Malgré la proposition de tripler la deuxième année de l'IUT, las de la situation et en raison de l'absence de financement, j'ai décidé de chercher du travail et de déposer un CV d'autodidacte sur internet. Une semaine plus tard, on me proposa un entretien et je signais un contrat l'été 1998. C'est ainsi que je suis devenu analyste programmeur, puis ingénieur d'étude et développement, puis architecte technique. J'étais employé par une société de prestation de services en informatique. Mon but premier était malgré tout et d'une certaine manière atteint. Beaucoup de choses étaient à réaliser.

J'ai eu autant de joie, grâce aux circonstances, que de contraintes, à cause des handicaps, à travailler sur ma première mission. Malgré le "métro, boulot, dodo", malgré la souffrance, malgré la fatigue qui m'imposait de me reposer le week-end, malgré l'impossibilité de profiter des "vacances", et malgré avoir été désigné comme recordman des arrêts maladie que je compensais en travaillant chez moi, j'ai appris mon métier au cours de ce projet aussi attrayant qu'instructif et dont la technicité me correspondait. J'y ai fait la principale erreur de ma carrière en effaçant des données d'une table, à cause d'un algorithme que j'avais écrit. C'était en fait moins grave que je l'imaginais à l'époque. Le projet fut un succès malgré ma santé.

Ma deuxième mission fut tout aussi valorisante, malgré le domaine financier qui ne m'intéresse pas. J'ai proposé une solution pour développer plusieurs applications en un seul programme grâce à des concepts relatifs à la génération dynamique des accès aux données, des interfaces et des impressions. Ce fut également un succès et j'ai appris le métier de chef de projet technique que j'avais précédemment observé ; j'ai cependant entraperçu mes limites sociales que je n'ai pas discernées à l'époque. J'ai tout de même été félicité pour la première fois de ma vie par le chef de projet métier qui a trouvé mon travail remarquable.

Les concepts de généricité furent développés au cours de la troisième mission. C'était un projet Java, mais je me suis rendu compte que je n'aimais pas du tout et je considère que ce n'est ni un bon langage de programmation ni un bonne machine virtuelle, excepté pour les appareils mobiles, car les performances des interfaces graphiques étaient déplorables à l'époque - beaucoup de choses ont été améliorées depuis. Face à l'ampleur du modèle de données et au code redondant à écrire, j'ai proposé de créer un générateur de code afin de gagner plusieurs mois de travail. La partie recherche et développement fut un succès et j'ai beaucoup appris des architectes.

Ma quatrième mission ne fut pas passionnante. Il s'agissait de réécrire des applications de gestion Dos en Windows, en conservant le code métier et en déconnectant l'ancienne librairie d'accès aux données, d'affichage et de saisie, pour la remplacer par une nouvelle. Ce fut tout de même et à nouveau un succès.

Ma cinquième mission fut extraordinaire. Peut-être un peu trop étant donné mon évolution professionnelle et mon ignorance de ma surdité et des conséquences des traumatismes corporels. Il s'agissait d'un travail d'ingénierie d'étude et de développement. C'était un projet purement technique et ce fut un réel succès malgré la tâche ardue et la complexité. L'équipe des utilisateurs était aussi fantastique que patiente avec moi. J'ai été félicité, pour la qualité de mon travail.

L'été 2002, j'ai été agressé par un nouveau voisin de mon domicile venu s'occuper du bar restaurant d'en bas à quelques mètres. La plainte a donné lieu à des dysfonctionnements du système judiciaire qui l'a relaxé sans que je puisse savoir pourquoi.

J'ai alors déménagé et j'ai signé un contrat prometteur avec un éditeur de logiciel. J'ai vite déchanté en raison du manque d'organisation, de méthodologie et de l'absence complète de documentation. Mes remarques n'ayant pas été entendues, j'ai décidé de démissionner. J'ai tout de même été félicité pour le travail que j'ai terminé et qui n'aura jamais été utilisé. Je n'étais pas à ma place et je ne savais pas où aller.

Il m'a alors été proposé un contrat pour réaliser un intranet. J'ai procédé à l'étude de la plateforme construite sur Java. Au bout d'un mois, j'ai annoncé une mauvaise nouvelle aux responsables : l'infrastructure mise en place par le groupe n'était pas au point et n'en était qu'au stade expérimental alors qu'on m'avait chargé d'une mise en production presqu'immédiate, il y avait peu de communication, rien ne fonctionnait et l'ergonomie faisait défaut. Pourtant félicité pour le document d'étude rédigé, il m'a été reproché un "problème de comportement", ce que je n'ai pas compris à l'époque car on ne m'a pas dit que j'étais autiste à cause d'une surdité partielle. Ce fut un échec indépendant de ma volonté et de mes compétences.

Sans emploi en janvier 2004, j'ai vite compris que j'avais été blacklisté auprès de la profession par mon dernier chef de service et j'ai décidé de créer mon activité en indépendant, mais je ne savais pas quoi et comment faire. Je n'avais pas conscience de ma surdité et des conséquences qui forment un handicap social. Ce n'est que trois mois plus tard que j'ai découvert que j'étais sourd lorsque j'ai porté un appareil auditif et que je me suis mis à comprendre correctement les gens et la télévision.

Effondrement

Je consultais depuis un peu plus d'un an et demi un chiropracteur sur les recommandations d'un supérieur hiérarchique d'un client d'un employeur.

Au fil des mois, ce prétendu docteur me faisait croire qu'il me guérissait et j'avais en effet très peu de douleurs, la marche était stable et ferme, je dormais bien et je pouvais refaire du vélo et de la musculation.

En mars 2004, après une séance brutale qui aurait dû me mettre en garde, je me suis blessé en soulevant un objet d'une douzaine de kilos. Puis lors de la séance suivante, ce praticien a décidé de mon avenir à ma place en lésant très gravement ma colonne vertébrale. J'étais allongé à plat ventre sur sa table et il a posé ses mains l'une sur l'autre sur mon cou. J'ai senti qu'il prenait appui avec ses jambes sur le sol. Il a pris son élan d'avant en arrière quelques secondes, puis il a poussé brusquement avec une très grande force et tout a craqué avec un bruit de déchirure. Il a maintenu cette position quelques instants, puis il a exprimé sa satisfaction. C'est étourdi qu'il m'a laissé rentrer chez moi.

Les douleurs se sont considérablement amplifiées au cours des jours qui suivirent. J'avais très mal, je ne pouvais plus marcher, ni manipuler des objets, et j'ai vomis toute une nuit sans pouvoir dormir, avec évanouissements. J'ai à nouveau consulté ce monsieur et je lui ai dit que j'avais de plus en plus mal : il a dit qu'il ne savait pas ce qu'il faisait. Je me suis retrouvé paralysant et agonisant durant un an et demi sans recevoir de soins ni d'aide.

Le médecin généraliste, qui ne m'a pas soigné, a pourtant rédigé et signé un certificat attestant mon impotence. Il m'a prescrit des médicaments inefficaces et il m'a adressé à un kinésithérapeute qui m'a fait des massages que je ne supportais pas car en réalité contre-indiqués.

Les docteurs en cabinets libéraux comme dans les hôpitaux continuaient de me dire qu'ils ne savaient pas pourquoi j'avais mal, pourquoi je ne pouvais quasiment plus marcher ni lever les bras, qu'ils ne savaient pas comment me soigner et que je devais consommer des antidépresseurs et consulter un psychiatre.

Ne comprenant rien et ne sachant rien, je me suis plaint auprès de la compagnie d'assurance qui a refusé de prendre en charge cet état, dont l'origine est, quoi qu'elle affirme, les traumatismes corporels, car sans la souffrance jamais je ne serais allé consulter ce chiropracteur. Cette société a appelé la police qui s'est présenté chez moi en me disant que la compagnie s'inquiétait à mon sujet car je réclamais assistance et soins médicaux et j'affirmais que ses conclusions à mon sujet étaient mensongères.

À l'époque, je n'ai pas pensé que ce chiropracteur en qui j'avais confiance pouvait être à l'origine de cet état aggravé car j'étais ignorant et affaiblit. Il m'a fallu quelques années de recherche et un soin de médecine mécanique à l'automne 2005 pour commencer à comprendre.

Par la faute de ce monsieur et d'autres personnes je suis infirme : j'ai de nombreuses et graves séquelles. La souffrance physique que j'endure est incomparable avec mon état antérieur. Je ne peux plus travailler, je n'ai plus de logement, je suis ruiné et je ne peux plus effectuer correctement la majorité des activités de la vie courante.

Il aurait pu sectionner ma moelle épinière.

Il aurait pu me rendre tétraplégique ou pire.

Il a aggravé d'anciennes entorses vertébrales et causé de nouvelles en lésant les ligaments et les articulations de mon dos. De nombreux tissus locomoteurs ont été déchirés et peut-être que des tendons ont été rompus. C'est ce qu'indiquent les examens radiologiques.

J'ai appris plus tard que j'aurais dû être hospitalisé et plâtré, puis envoyé en rééducation.

Le soin partiel tardif de médecine mécanique m'a fait ressentir la gravité de cet acte en retrouvant le souvenir de cette séance qui avait été occulté de ma mémoire par la douleur, par les médicaments et par le temps.

Pour compliquer les choses, de nombreux dentistes ont refusé de soigner des douleurs dentaires durant plus de huit mois, du printemps 2005 à début 2006, exposant ainsi ma vie à encore plus de danger, et on m'a encore fait plein de rayonnements ionisants. Certains ont même osé certifier par écrit que je n'avais rien. C'est finalement fiévreux que je suis allé à l'hôpital où on m'a dit que si on ne m'enlevait pas une dent couronnée pourrie en dessous, j'allais mourir d'une septicémie.
Deux dents ont finalement été arrachées et j'ai des séquelles.

Au début de l'été 2005, j'ai été agressé par des produits toxiques, à mon insu, à mon domicile, par des ouvriers effectuant des travaux de ravalement de façade dont je n'avais pas été informé par le propriétaire. J'ai été conduit plusieurs fois aux urgences. Les responsables et les autorités n'ont rien fait pour protéger ma vie. J'ai été accusé de mettre la vie des travailleurs en danger. La police m'a menacé d'être hospitalisé d'office mais je ne savais pas de quoi on parlait.

Fin août 2005, j'ai recherché sur Google "grippages ligamentaires" et le premier résultat fut "Société Française de Médecine Mécanique". J'ai pris rendez-vous et j'ai été aussi rapidement que spectaculairement soigné, partiellement, mais suffisamment pour me ramener à un semblant
de vie et me remettre sur pieds. Le diagnostic de traumatisme corporel fut posé et les soins ostéopathiques sont théoriquement toujours en cours mais j'y ai difficilement accès.

J'ai donc voulu déposer plainte pour mauvais traitement en cours et mise en danger de ma vie.

Le Procureur m'avait déjà fait convoquer en avril 2005 dans un commissariat de quartier nommé "de secteur" situé très loin de mon domicile et du commissariat voisin, et que j'ai appris plus tard être situé au sein des locaux de la police des polices ; mais la plainte avait été classée sans suite au motif de prescription.

J'y suis retourné en novembre 2006 et j'ai demandé à faire enregistrer une deuxième déposition et des documents. Il a été affirmé que ma demande "imaginaire" n'était pas acceptable. J'ai été menotté et sauvagement brutalisé par de nombreux agents "hors de la vue du public" à l'aide "d'une force nécessaire et proportionnée" durant plus d'une heure jusqu'à en presque perdre connaissance alors qu'ils connaissaient mon état corporel que leurs psychiatres ont par la suite attribué à une maladie mentale. Le commissaire principal affirme que j'aurai été violent, agressif, incohérent et que j'aurai volontairement cassé des choses dans leurs locaux, ce qui est hors de mes capacités. Il dit en résumé que je suis dément afin de justifier des attaques corporelles sur une personne physiquement diminuée et fragile, hurlante de douleurs tandis qu'on lui tord le cou déjà gravement blessé et qu'on la frappe sans laisser de marque apparentes.

Puis j'ai été illégalement conduit en service psychiatrique pour y être séquestré et empoisonné sans recevoir de soins vertébraux ni l'assistance d'un avocat, durant seulement quarante-cinq jours. J'ai été subrepticement relâché dans un état moribond : on m'a dit que je ne présentais "pas de trouble mental" et qu'on avait "peur que le juge (à qui j'avais écrit) demande une expertise". Le certificat de sortie indique "délire de préjudice et revendication" : cela signifie sans aucun doute la négation de l'existence des preuves vertébrales et l'interdiction d'accès à une cour de justice compétente.

Suite à cela un généraliste m'a placé en Affection de Longue Durée pour "psychose" en me disant qu'il avait indiqué "pathologie vertébrale".

Puis j'ai été placé en invalidité sur la base d'un faux rapport médical affirmant que je délire au sujet d'une pathologie vertébrale qualifiée en sous-entendu d'imaginaire, les certificats et les examens radiologiques fournis ayant été ignorés. Le droit de recours contre ce diagnostic m'est depuis inlassablement opposé et la Caisse Nationale d'Assurance Maladie m'a affirmé par téléphone qu'il n'existerait aucune loi autorisant la contestation d'un diagnostic médical émis par un médecin conseil.

En 2008 le Tribunal m'a ordonné de quitter le logement dont je ne pouvais plus payer le loyer et je suis depuis ni locataire ni propriétaire, étant hébergé dans un village par un parent sans avoir droit aux bons de transport par l'Assurance Maladie tandis que les docteurs refusent de me soigner.

Les nombreuses associations d'aide aux victimes contactées durant plus d'une décennie ont toutes indiqué n'avoir qu'un rôle informatif tandis que tous mes recours administratifs et la plainte pénale sont rejetés et qu'on me refuse l'assistance d'un avocat ; et même ma demande de logement social n'a jamais abouti en presque 15 ans de renouvellements.

Dénouement médical

Premier acte

En plus du diagnostic de déficit immunitaire tardif et des immunoglobulines qui empêchent les infections chroniques, je découvre mi-septembre 2021 les propriétés médicinales des fleurs de bruyère ou calluna vulgaris, la cendrée étant toxique, vendue par la pharmacie avec de la Canneberge à la suite d'une infection opportuniste, qui est également dite "soigner efficacement les ostéomyélites et en particulier celles à pyocyaniques".

En quelques jours les douleurs fulgurantes quotidiennes au dos qui s'aggravaient traumatisme après traumatisme depuis quatre décennies disparaissent, et je dors de mieux en mieux. J'arrête l'usage moyen de 4 gélules d'Izalgi par jour pour passer à 4 par semaines. Et en quelques mois j'arrête l'antalgique pour éventuellement consommer deux à quatre gélules par mois, de moins en moins.

Mon sommeil, toujours de mauvaise qualité, passe au fil des mois de 2 à 4 heures par nuit depuis des années, à 8 et même 10 : je ne suis plus réveillé tôt le matin ou en pleine nuit par ces douleurs fulgurantes m'obligeant à me lever pour prendre l'antalgique. Au bout de quatre mois je réalise que suis de moins en moins fatigué et que je retrouve un tout petit peu de force dans les ligaments et tendons de tout le corps, dos et membres : cuisiner, faire le ménage, le linge, me laver, etc. n'est plus une horrible corvée parfois impossible. Même le vélo qui me porte pour aller à la poste et à la pharmacie que je ne pouvais plus utiliser depuis deux à trois ans est à nouveau utilisable.

Relativement à mon état locomoteur catastrophique qui empire dans les grandes lignes depuis 1984 et 1994 et 2004, je ne me suis jamais physiquement senti aussi bien ces cinq dernières années que maintenant, et j'ai pu reprendre des sessions de codage informatique conséquentes sans retentissement sur mon dos : je n'ai pas autant programmé ces derniers mois que depuis 18 ans, soit concrètement en moyenne 20 heures par mois de 2004 à l'été 2021, et désormais 50 heures. Et début janvier 2022 je suis capable de marcher une heure sans douleur de mort et j'ai des courbatures de vie, alors que l'été d'avant j'en étais à ne plus pouvoir faire même 5 minutes. Ce même mois j'apprends que le trèfle rouge serait efficace sur les ostéomyélites à staphylocoques dorés.

Ces deux plantes s'achètent à la pharmacie du coin et dans n'importe quelle bonne herboristerie, ainsi que sur internet de nos jours.

En résumé l'antibiotique Birodogyl prescrit en 2017 lors du troisième arrachage de dent et qui m'a fait découvrir la notion d'ostéomyélite du crâne, des sinus et des mâchoires, ainsi que de la colonne vertébrale, est comme une lance d'incendie sur le feu bactérien déclenché par trop de glucides ou autre sur des braises, en toute logique de pyocyaniques et staphylocoques ou autres germes non identifiés ou opportunistes en 1987, qui ne s'éteignent jamais depuis 1984 en réalité selon le dossier. La bruyère étant comme un aspirateur à braises. Et le trèfle rouge, comme de la javel. Et ces braises étant, dans ma maison ou temple comme on nomme parfois le corps, la source des allergies grandissantes et des infections chroniques et à répétition telles que les rhinites, angines, bronchites, dents qui pourrissent, boutons, furoncles, nausées, diarrhées, rhumatismes et douleurs chroniques des polytraumatismes ainsi rongés, insomnies et fatigue chronique. Et il semblerait que les virus genre grippe et herpès adorent braises et feu.

Médicalement, je reste estropié et fragile, mais c'est comme si un mal sous-jacent était enlevé. Les spécialistes affirment que soigner définitivement les ostéomyélites, quel que soit le degré de gravité, est très difficile, voire impossible. Les docteurs disent que les séquelles radiologiques du système locomoteur et que les éventuelles lésions neurologiques sont irréversibles. Il en est de même pour les sévices psychiatriques innommables et indescriptibles.

Les assurances et les autorités persistent à dire officiellement et encore en 2022, comme depuis 2004, que tout ça depuis 1984 n'a jamais eu lieu, n'a pas lieu, n'existe pas, qu'il n'y a pas de preuves, que je délire, que je suis dangereux, que je n'ai aucun droit, et que je dois être emprisonné et empoisonné en psychiatrie jusqu'à la fin de ma vie torturée depuis la petite enfance pour l'écourter aux frais et au nom du peuple.

Deuxième acte

Alors que je commençais à peine à redormir et remarcher depuis septembre 2021, je suis tombé gravement malade début février 2022, encore plus et plus vite qu'en 2016, et les antibiotiques de la pharmacie n'ont plus fonctionné sinon ponctuellement car dès l'arrêt mon état s'empirait à nouveau. Puis en avril un corticoïde a révélé une moisissure noire de la bouche et du système digestif, mais les antifongiques de la pharmacie n'ont rien fait.

Ce problème évoluant en réalité depuis avant 2008 que je suis revenu au village, car sans logement, provenait en fait des canalisations de la rue. En effet, celles-ci ont été changées en juillet, comme beaucoup dans d'autres rues le sont depuis quelques années dans le village. En moins de deux mois la crasse de moisissure noirâtre récurrente malgré le nettoyage autour des robinets, dans les éviers et dans la douche de la maison a presque totalement disparue, et quatre mois plus tard on ne voit plus rien, y compris sur ma langue grâce à des bains de bouche d'huile essentielle de laurier très efficace mais qui semble ne pas suffire après quelques mois dès l'arrêt. Ainsi ma santé s'améliore enfin petit-à-petit car les antibiotiques de la pharmacie et les plantes médicinales que j'utilise depuis 5 ans refonctionnent à nouveau, mais j'ai failli y rester pire que comme il y a 5 ans donc : j'ai vraiment beaucoup souffert depuis 2016 et en 2022 par-dessus ce qui a précédé depuis 2004, depuis 1994 et depuis 1984.

C'est pour cette moisissure noire, pour les évènements antérieurs, pour les bactéries, pour les traumatismes corporels, ainsi que pour toutes les autres choses y compris les dents arrachées, dont je suis continuellement victime depuis tout petit, et pour justifier le refus d'aide et de soins collectif avec retrait de mes droits fondamentaux, que les urgences m'ont psychiatrisé contre ma volonté sous neuroleptique et benzodiazépine de 2018 à 2019, comme en décembre 2006, en disant que j'étais un criminel déficient mental inventant être malade et j'ai été fiché comme tel par le procureur avec l'aval de la gendarmerie, de la police, des juges et des élus depuis la mairie jusqu'au gouvernement. Les psychiatres impliqués ont en effet l'opinion que leurs mensonges sont vérités absolues pour la vie et que leurs poisons mortels soignent tout : pour ces gens tout problème de santé ou de comportement est une maladie mentale qui se résout avec leurs poisons, y compris les preuves de leurs crimes ; la loi m'interdit de me taire - pour eux avoir été diagnostiqué immunodéprimé et avoir été libéré par un juge fut "une chance" (c'est un ouï-dire), mais les séquelles causées sont irréversibles et le calomnieux double fichage national comme dangereux malade mental à surveiller est toujours en cours.