Épitaphe

Versets pour une tournée du sacrement
Sivan 2024

Temps de lecture : 55 minutes

Liminaire

Tout comme le Tanak, les Sutras et le Quran, le Euaggelion est un conte spirituel de qabalah visant à expliquer les versets de la Torah depuis le premier mot jusqu'au dernier. Ce n'est pas un récit temporel même si son exposé parabolique est calqué sur des évènements et des personnes pour établir un livre à un instant donné de l'ère humaine. Aucun des textes sacrés valides ne concerne des faits historiques ou mythologiques : ce sont des manuels de science mis en fiction où les noms propres d'entités et de lieux sont des nomenclatures de phénomènes relatifs à des structures et des fonctions, ainsi qu'à des systèmes de pensée et à des archétypes de la conscience.

Il est important de transmettre sans l'altérer la version écrite de la Torah, en hébreu et accompagnée de dictionnaires, en même temps que la version orale des générations dans les langues des pays en n'oubliant jamais que ce sont des visions humaines sur les versets, qui sont parfois justes et parfois erronées, ou encore altérées, mais qu'elles sont toujours imparfaites à quelque degré de perfection ou de dénaturation que ce soit.

Il est grave, et c'est une trahison, d'affirmer qu'une traduction est la parole de Dieu alors que c'est celle des traducteurs et des exégètes, voire des dirigeants lorsqu'ils décident d'un changement de sens à imposer. Le pire est de volontairement changer des temps et des sujet, ainsi que des lettres, ou d'en enlever et d'en ajouter, jusqu'à des mots ainsi ignorés ou même ajoutés, disant que ça ne compte pas et que ça ne se traduit pas, ou que c'est manquant et que ce n'est pas un supposé sous-entendu interprété, et ce, dans le but d'inventer une religion qui n'a rien à voir avec l'esprit de la doctrine hébraïque mais avec une secte qui ment, qui est nuisible, qui est dangereuse, et qui n'est pas légitime même invoquant la loi de la jungle.

Sinon sélectionner le sens des mots selon les définitions du dictionnaire pour obtenir une traduction logique, compréhensible, bienveillante, bénéfique, utilisable et efficace, mais qui diffère de la version officielle commune tout en correspondant à l'enseignement de la majorité des rabbins et à la science connue, on appelle ça une traduction non-conventionnelle. Et ça fonctionne autant avec la Torah qu'avec les Sutras, le Euaggelion et le Quran car c'est la même trame spirituelle, la même science sacrée, les même lois de compassion et de justice qui n'ont que pour but la protection de la vie et des biens légitimes sans nuire même aux méchants, sans fadaises ni sornettes, science qui envoie toutes ces mauvaises choses de méchants et d'ignorants aux oubliettes en peu de temps, au moins pour soi, même si des criminels tiennent le monde dans l'ignorance pour justifier leurs crimes de profit avec leurs magouilles, leurs calomnies, leurs collusions et leurs méfaits en tous genres qui ne sont rien d'autre que l'idolâtrie du veau d'or et de Qora'h, sans parler des moqueurs invétérés d'Amalek ainsi que des querelleurs de Midian et des sanguinaires de Qaïn, etc.

L'auteur rappelle que les décodages suivants sont un tentative maladroite d'obtenir une traduction littérale mot-à-mot afin de respecter au plus proche l'esprit de son contenu au regard de la Torah et de l'enseignement de rabbins réputés. Au-delà du choix des mots discutables, et au-delà des erreurs de grammaire et de temps des verbes malgré l'usage de Wiktionary, de Kata Biblon et de ChatGPT, le lecteur est prié de faire preuve de discernement afin de déterminer sa validité.

09.05 : Loukan 22.50

10.05@04:50|+(-06:00)

22.50 Alors il (Ioúdās) a frappé1 l'un d'elles2, pour la cause de eux3 (les chefs des gardes), celui qui est serviteur du chef des prêtres4, et il a enlevé pour eux (ceux qui περι "entourer" la victime) la faculté de perception5 (l'écoute), [il a fait cela pour] l'autorité dirigeante6.

  1. Un des protégés des partisanes de la Torah.
  2. Le mot grec a le sens d'affliger par une blessure physique dans le but de tuer.
  3. Cette cause n'est pas d'aimer et respecter la loi en vigueur mais pour servir un but criminel.
  4. Si dans l'absolu HaShem est le plus grand chef tel que l'enseignent les rabbins, sur terre le kohen gadol Le représente, pour ainsi dire, car il est choisi par les prêtres pour assumer le gouvernail et trancher sur les décisions et les questions majeures de génération en génération. Il faut comprendre ici que Judas est à la solde du chef des chefs du conte qabalistique. Ainsi de manière générale, Judas est comme un faux-ami, tel un fourbe membre d'une secte qui a mal tourné, dont le but est de nuire contre la vie de jésus qui dérange.
  5. Cette faculté d'entendre est la capacité à étudier les choses et les évènements pour travailler dans une bonne direction sans confusion.
  6. Autorité affirmant officiellement par écrits signés publics que c'est de la justice que de torturer à mort des victimes calomniées, que c'est un bon-droit bien-fondé sans recours pour le profit.

10.05 : Loukan 10.1

11.05@16:01|+(-06:00)

10.1 Ensuite, malgré ce qui a eu lieu {le crime}, il (l'étudiant) a montré le maître [instructeur] et les autres soixante-dix {70+2=72}, et il (le maître) a envoyé pour eux chaque couple par prévoyance au-devant de lui (l'étudiant) {pour préparer le futur enseignement}, vers chaque communauté [de la Torah] et région qui a l'intention de elle-même venir [en Israël].

11.05 : Markon 10.49

12.05@16:49|+(-06:00)

10.49 Alors il (l'étudiant) vérifia1 le Iēsoûs (celui qui est sauvé par HaShem i.e. par la Torah), il parla lui-même pour crier2, et ils (les dix i.e. le minian) crièrent : lui il est dans la confusion3 (aveugle), en disant à lui : ose (avoir le courage) produire (construire, écrire, publier) {cf Quran 2.23}, elle4 a appelé5 toi [pour ça].

  1. Vérifier c'est étudier les textes sacrés dans toutes les langues en plus de l'hébreu, pour apprendre la science sacrée et comprendre l'onction et l'association ainsi que la nature du peuple hébreu.
  2. Crier son affliction avec le témoignage du crime contre lui et d'autres commis par les méchants.
  3. La confusion résultant des mensonges, les calomnies, les malversations et les blessures causés des méchants.
  4. Une des partisane de la Torah non mariée i.e. une 'havah.
  5. Appelé à la suite du shidouk pour construire le shalom bayit du couple grâce à l'étude du Talmud Torah en école et en ligne (cf cours des rabbins).

12.05 : Matthaios 22.29

13.05@04:29|+(-06:00)

22.29 Il (l'enseignant questionné) répondit : en ce qui concerne le Iēsoûs (de ישוע Yeshouah') de même1, vous vous trompez2, ne pas vous comprenez les écritures ni le pouvoir de Théos.

Version commune adaptée mais non décodée des versets suivants :

22.30 Car à la résurrection les hommes ne prendront pas de femmes ni les femmes de maris3, mais ils seront comme les messagers de Dieu dans le ciel4.

22.31 Pour ce qui est de la résurrection des morts, n'avez-vous pas lu ce que Dieu vous a dit : "Je suis le Dieu d'Abraham, le Dieu d'Isaac, et le Dieu de Jacob" ?

22.32 Dieu n'est pas Dieu des morts, mais des vivants5.

  1. Il fit pareil avec les sadducéens qui rejettent la tradition orale de la génération ajoutée aux générations passées, qu'avec les pharisiens qui enseignent des choses telles que la résurrection et des anges au sujet de la vie avant la fusion des gamètes et après l'arrêt des fonctions vitales, ce en quoi les sadducéens ne croient pas plus que dans le messie universel et temporel des pharisiens car il considèrent le christ i.e. onction comme faisant partie du don de la Torah et de son étude visant à la croissance personnelle jusqu'à changer de niveau de conscience, de perception et de comportement.
  2. Se tromper sur la Torah et HaShem de Elohim ainsi que sur la résurrection et l'onction car messie en hébreu, ou christ en grec, ou arya en sanskrit, désigne celui qui est oint parmi les oints choisis ou appelés pour servir ou aider l'espèce humaine en étudiant et appliquant la Torah pour la survie et la joie optimale.
  3. Puisqu'ils sont déjà en couple construisant le shalom bayit à la suite du shidouk afin d'obtenir cette résurrection pour confirmer l'onction du mariage.
  4. Les cieux ou le ciel sont les états de conscience mentale et c'est dans l'absolu le mental collectif des humains i.e. le grand invisible fleuve ou "Nil" des oeuvres humaines.
  5. Les morts ne sont que poussières inertes d'atomes et n'existent indéniablement pas plus après la mort qu'avant la conception, sinon dans la mémoire des vivants et les oeuvres i.e. les idées et les connaissances vraies et fausses comme bonnes et mauvaises, qu'ils conservent à travers les générations.

12.05 : Loukan 22.29

13.05@04:29|+(-06:00)

22.28 Vous1 désormais vous êtes de ceux qui ont persévéré avec l'aide de moi2 dans les épreuves (adversités, expériences) qui sont miennes3.

22.29 Et moi je fais alliance (engagement) pour vous parce que il a fait alliance pour moi, le père (Moshéh) de mon royaume4 (règne, pouvoir, autorité).

22.30 Pour que vous mangiez et que vous buviez5 avec la table6 de moi dans le domaine de moi et que vous vous installiez7 avec des sièges8, prenant parti pour (distinguant, choisissant) les douze tribus d'Israël.

  1. Les apóstoloi sont les messagers ou ambassadeurs du Christ i.e. du phénomène messianique : ils parlent de l'onction, assistent à son processus, et en témoignent génération après génération : ce sont les serviteurs de la Torah, les prêtres de la science sacrée, peu importe les capacités et les richesses.
  2. C'est l'enseignement générique nommée Iēsoûs au sujet de l'onction ou messie ou christ qui parle : il s'agit donc de l'alliance avec HaShem Torah.
  3. Les expériences et les épreuves de l'avancement dans l'étude et la compréhension du monde et la pratique des mitsvot sont uniquement celles de la science sacrée, il n'est pas du tout question des méchancetés humaines causées volontairement par les criminels contre leurs victimes (cf. Quran 2.256 et 2.286).
  4. La terre immatérielle nommée Israël, le monde global recouvrant toute la planète où nous vivons sont les cieux organisés selon la doctrine de la Torah afin d'assurer la survie optimale de l'espèce et de chacun, où règne la justice et la compassion, où la santé et les biens légitimes sont protégés sans mentir, sans duper, sans blesser, sans voler, sans tuer... même les méchants.
  5. Il faut lire métaphoriquement : se nourrir de connaissance et s'imbiber de compassion et d'amour.
  6. Le mot désigne plus précisément une table à quatre pieds utilisée pour les repas mais il faut ici considérer qu'il est question de la table de la loi de YHVH qui est les lois du vivant i.e. de l'ADN à 4 bases azotées qui génère le corps et fait fonctionner le mental, l'âme, l'esprit, etc. peu importe la nomenclature et la dichotomie.
  7. Pour s'y marier en shalom bayit joyeux, en paix, justes, honnêtes et bienveillants.
  8. Des sièges sont comme des soutiens : ce sont les grandes vérités absolues pour chacun, parfois communes et parfois relatives vis-à-vis des autres, comme dit en Habacuc 2.4 "Une personne juste vivra grâce à ses propres vérités" issues de l'étude et de son coeur et de son oeil bon ou mauvais, ce que les rabbins nomment facette du diamant des visions sur le centre unique qu'est la Torah.

14.05 : Matthaios 23.26

15.05@06:26|+(-07:00)

23.25 Quel malheur1 à cause de vous, rédacteurs2 et enseignants3 hypocrites! Parce que vous nettoyez5 l'extérieur de la coupe et son récipient, à l'intérieur6 néanmoins ils sont satisfaits de [leur] rapine cupide et dépourvus de mesure7.

  1. Le mensonge est le fondement de la souffrance des victimes : blessures, maladies, confusions, ruines, conflits, etc. dont se nourrissent les méchants qui collusionnent jusqu'aux guerres, entrainant même des familles puis toute la société dans la perdition jusqu'à l'extinction de l'espèce si personne n'y faisait rien.
  2. Le mot γραμματεις est habituellement traduit par scribes, mais il désigne plus exactement les écrivains de l'état et les secrétaires des organisations, c'est-à-dire ceux qui rédigent les lois du pays et les documents administratifs dans tous les domaines du public et du privé depuis les ponts et chaussées jusqu'aux tribunaux en passant par les écoles, les hôpitaux, les temples, les entreprises, les commerces, etc. que ce soient des fonctionnaires, des employés, des patrons, clercs, etc.
  3. Il a été choisi ici de ne pas reprendre le mot pharisien pour indiquer un sens plus générique et intemporel qui soit ni religieux ni politique ni historique.
  4. Ceux qui commettent des malversations et des crimes disant que c'est légal et justifié, comme ceux qui enseignent à nuire et à mentir disant que c'est bien et la vérité, ne sont que des hypocrites et des imposteurs qui affirment généralement que c'est la faute des victimes si les choses comme le monde tournent mal.
  5. Si pour nettoyer l'intérieur il a été utilisé le mot libérer au verset 23.26, ce mot est conservé ici pour nettoyer l'extérieur, c'est-à-dire se laver après l'acte de sortie ou une pollution et de manière générale rester "propre" de la tête aux pieds en tout temps et tout lieu dans la mesure du possible pour soi comme pour les autres.
  6. L'âme, l'esprit, le mental, la conscience.
  7. A cause des mauvais enseignants et des méchants dirigeants, leurs employés et leurs familles et amis se comportent comme des sociopathes manipulateurs et dictateurs qui haïssent leurs victimes parce qu'on leur en a donné le goût comme une drogue.

23.26 Enseignant stupide1 (égaré, aveugle, orgueilleux) ! Libère (nettoyer i.e. faire téshouvah) en premier lieu l'intérieur2 de la coupe3 et son récipient4, pour que cela devienne comme l'extérieur d'eux5, propre6.

  1. Le texte s'adresse à tout celui ou celle qui enseigne ou qui fait des choses mauvaises, en étant persuadé d'agir bien, et qui peut donc changer grâce à l'instruction et la compréhension, car voulant agir bien et faisant la différence avec le mal, ce que ne peuvent pas faire les psychopathes qui n'ont aucune compassion car dénué d'empathie même capable de mimer ce genre de chose, et qui sont donc incapables de faire la différence entre ce qui est bien et ce qui est mal, même s'ils comprennent que autrui peut en avoir la faculté, parce que tout est neutre de leur point de vue et seuls leurs intérêts prime sur tout.
  2. Ce mot désigne ce qui est dedans et invisible, ainsi que l'âme, c'est-à-dire ici le mental ou l'esprit, car tous ces mots et d'autres à ce sujet désignent la même chose selon divers points de vue et d'échelle fractale : la conscience humaine qui pense et raisonne.
  3. Ce mot désigne ce qui est en forme d'ustensile pour boire, tel que le graal dont il est question ici, c'est-à-dire le bassin et en l'occurrence les pulsions charnelles comme mentales qui peuvent être soit contrôlées et orientés vers le bien ou le mal, soit incontrôlées et désorientées vers l'animalité ou l'imbécilité, envers nous et envers autrui ainsi que la manière dont nous accordons le libre arbitre et la différence de mode de vie - ce sont en effet ces pulsions, et plus exactement la mise en oeuvre des impulsions qui nous procurent des émotions et la mémoire émotionnelle, tant l'action que la réaction.
  4. Ce mot désigne un plat pour servir la nourriture, et de manière générale une enveloppe, c'est-à-dire ici la forme corporelle organique visible au-delà et en dessous de la peau, qui parle et donne à manger la connaissance.
  5. Ce verset utilise une figure de style afin de donner un exemple particulier pour illustrer un principe ou une vérité plus large qui s'applique à tout le monde : la nécessité de travailler les midot ou traits de caractère acquis sur la personnalité innée, car personne n'est parfait et ne le sera, surtout ceux et celles qui agissent mal consciemment ou qui se prennent pour des anges ou une divinité voire un dieu jusqu'au faux dieu suprême, quand ce n'est pas démons et diables, ayant tous les droits et tous les pouvoirs envers et contre tout.
  6. C'est-à-dire bien lavé et bien habillé, afin d'avoir un bon comportement : ne pas convoiter, ne pas mentir, ne pas duper, ne pas trahir, ne pas voler, ne pas blesser, etc.

23.13 Quel malheur à cause de vous, rédacteurs et enseignants hypocrites, parce que vous obstruez l'entrée de le royaume des cieux face à l'humain, vous-mêmes alors ne pas vous entrez, ni celui entrant, vous l'abandonnez.

23.14 Quel malheur à cause de vous, rédacteurs et enseignants hypocrites, parce que vous ruinez1 la résidence de la privée de mari, alors prétextant longueur tout en priant, en raison de cette chose2 vous recevrez une plus grande sentence.

23.15 Quel malheur à cause de vous, rédacteurs et enseignants hypocrites, parce que vous faites traversez la mer et le désert pour produire un prosélyte3  et qu'il le devienne, vous faites de lui un fils du mal (Géhenne, enfer, ordures) deux fois plus que vous.

23.16 Quel malheur à cause de vous, dirigeants (guides, leaders) aveugles qui disant "peu importe celui qui il invoquera (prêter serment) pour le temple, rien cela est4, qui [disant] également "peu importe celui qui il invoquera pour l'or du temple5, il est redevable".

23.17 Stupides et aveugles ! Quoi en effet plus important il est ? l'or ou le temple l'ayant consacré ? L'or6 !

  1. Pour le profit de la torture mortelle.
  2. Pour le crime commis au nom de HaShem qui l'interdit : de nos jours concernant des laïc on dirait qu'ils disent agir au nom des lois en vigueur dans le pays, grâce aux mensonges, à la corruption, aux entraves et aux dénis.
  3. Le prosélytisme est interdit en Torah hébraïque : il faut parler de la doctrine de HaShem de Elohim sans imposer, il faut écrire et laisser lire ou pas, il faut enseigner et laisser venir ou pas, il faut aider et laisser les victimes accepter ou pas les soins comme le don de la Torah.
  4. Les réchaïm considèrent que servir les lois en vigueur, instruire les pauvres, aider les faibles et les victimes, protéger la vie humaine, etc. est sans intérêt, une perte de temps, et que ce n'est pas une bonne action.
  5. Les réchaïm considèrent également que utiliser l'impôt et demander des dons libres en plus de l'impôt, pour l'éducation, la santé, l'aide et la justice, c'est être redevable de quelque chose comme avec la métaphore de signer pacte avec le diable.
  6. Sans or, sans impôt, sans dons, sans monnaie, on ne peut pas organiser un peuple et une nation ni même le monde : pas d'administration, pas de ponts-et-chaussées, pas d'écoles, pas de recherche, pas de commissariats, pas d'hôpitaux, pas de commerces, etc. il est donc important de correctement gérer les finances pour de bonnes actions, sinon le temple tourne mal et le nombre de victimes s'accumulent jusqu'à la ruine à cause du déficit.

14.05 : Loukan 23.26

15.05@06:26|+(-07:00)

23.25 Il1 fit renvoyer2 malgré tout pour eux3, lui, pour cause de dissension4 à des fins de meurtre5, le jetant dans la prison qu'ils avaient demandé pour lui6, malgré tout [son effort d'arguments avec preuves] Iēsoûs il a été livré selon volonté de eux.

  1. Le mot Πιλᾶτος provient du latin pilatus qui signifie "celui qui est armé de javelots" et selon le contexte du temps historique attribué à la rédaction du Euaggelion, c'est un garde, soit de nos jours un policier ou un gendarme.
  2. Il a été choisi le sens licencier du verbe au lieu de relâcher ou libérer, dans l'hypothèse où ceux qui réclament la mort de jésus l'accusent d'être dangereux et que le texte le nommerait du surnom Barrabas, mot qui provient de בר-אבא et qui signifie "fils du maître ou du père" considéré ici comme un criminel par les hypocrites.
  3. Non pas pour la loi et la vérité, donc non pas pour la justice, mais pour des intérêts personnels, pour le bénéfice et le plaisir de quelque nature que ce soient des accusateurs qui ici craignent de perdre leur pouvoir.
  4. Ce mot grec a le sens de controverse, mutinerie, révolte, hérésie.
  5. Il est ainsi accusé de ce que sont et font ses accusateurs qui le calomnient : folie et meurtre.
  6. Non pas une prison standard, mais conçue par eux, comme virtuelle : de nos jours on appelle cela se retrouver à la rue, blessé et ruiné, sans plus rien ni personne, abandonné sans plus aucun droits, débouté de tout recours, pour y être torturé la vie écourtée ; à ne pas confondre avec le karet ni le but de la loi du pays ni même de la Torah et de la science sacrée dans toutes les langues.

Note : en d'autres termes, les méchants imposteurs qui usurpent la fonction de direction d'un groupe jusqu'à une nation, font ça depuis toujours, "se prendre pour dieu" et torturer pour le profit et le plaisir en envoyant des victimes, innocentes ou coupables peu leur importe, dans la "prison virtuelle" des manigances manipulatrices des sectes nuisibles dont les rouages, peu importe la technologie, sont opposés à la compassion et à la justice, grâce principalement aux mensonges, aux abus pouvoirs et aux corruptions, tandis que le témoignage des étudiants en HaShem de Elohim grâce aux bonnes lois du pays fait le contraire depuis toujours, libérer de l'ignorance et du mal, en améliorant et en prolongeant le temps de vie dans la joie du shalom bayit pour compenser les préjudices et engendrer une multitude enfants d'Israël au sein de la multitude éternelle du peuple de la Torah.

23.26 Et après avoir capturé lui (le personnage nommé jésus), ayant mis la main sur celui qui observe1 quelqu'un de Cyrène2, son érudit loin du pays (Palestine) qui a ajouté [à la Torah] lui-même (l'érudit) ses enseignements3 qui conduisent à suivre4 son Iēsoûs (son élève).

  1. Le mot grec Simon Σίμων vient de l'hébreu שמעון qui signifie "celui qui entend ou écoute" la parole de HaShem de Elohim en l'occurrence.
  2. Ville du nord de l'Afrique : peut-être le rabbin de jésus auprès de qui il aurait pu recevoir une formation différente durant ce qui est nommé "années perdues" ou "vie cachée" de 12 à 30 ans.
  3. Le mot grec σταυρός signifie "croix, poteau, pieu, renoncements, voeux" et peuvent métaphoriquement désigner des pratiques spirituelles issues d'enseignements, en l'occurrence jugées hérétiques et non orthodoxes dans le texte.
  4. Les autorités politiques et pas seulement religieuses ont ainsi peur que la population devienne partisane de cet enseignement jugé hérétique et que celui-ci se répande et mette en péril les pratiques de cette autorité, et en effet le verset suivant indique que les partisans de cet enseignement sont une multitude quoi que tout est encore plus mal traduit que la Torah elle-même calomniée par le sens commun, comme le Quran et les Sutras, et ce, au profit de la méchanceté et au préjudice de la compassion.

15.05 : Loukan 22.25

16.05@05:25|+(-07:00)

22.1 Allait avoir lieu maintenant la célébration des pains sans levain, celle nommée Pessa'h.

22.2 Alors ils ont recherché, le grand prêtre (président) et les rédacteurs, comment ils pourraient assassiner lui, ils craignent pour la nation.

22.24 Il apparut également alors une dispute {au sujet de celui qui va le livrer} parmi eux, lequel d'eux il suppose il est le plus hautain (méprisant).

22.25 Lui cependant il a dit à eux : ceux qui [sont] chefs des nations, ils décident selon eux, et ceux qui exercent la supervision de eux, bienfaiteurs (gardiens, protecteurs) ils sont appelés.

22.26 Vous cependant ne pas [être] comme cela {faire de la politique}, néanmoins le plus hautain parmi vous il a cessé d'être comme le nouveau-né {pur, sans préjugé, sans convoitise, sans méchanceté, sans haine} et les leaders comme les altruistes (messagers, serviteurs, dévoués).

16.05 : Matthaios 23.6

17.05@06:06|+(-07:00)

23.1 Ensuite le Iēsoûs parla aux gens et aux étudiants de lui1, disant :

23.2 Contre le Moshéh, son siège2, ils se sont assis dessus3, les rédacteurs et les enseignants.

23.3 Collectivement [ils font cela], c'est pourquoi jusqu'à ce qu'ils répondent [de leurs agissements], vous devez garder [confiance en Moshéh HaShem {étudier}] et agir conformément [aux lois du pays {et faire les mitsvot}], mais leurs actions, elles-mêmes, ne pas vous devez faire, ils disent [respecter la loi] et jamais ils font4.

23.4 Ils enchaînent [leurs victimes] en vérité, charge sévère et insupportable, et ils ajoutent sur les épaules des humains5, mais doigt à eux ne pas vouloir bouger par eux-mêmes.

23.5 Collectivement également leurs actions à eux ils font ça pour être vu par les humains [dont] ils laminent6 aussi les phylactères (téfilin) de eux, et [dont] ils dégradent les franges (tsitsit) des vêtements de eux.

23.6 Ils souhaitent à la fois la première place d'honneur durant les repas et les places au premier rang pendant les assemblées.

23.7 Et les acclamations [par la foule] sur les places publiques7, et [malgré leurs actes] ils se font [quand même] appeler par les humains, rabbi (enseignant de la Torah)8.

23.8 Vous, cependant, ne pas vous êtes appelés rabbi seulement parce que il existe pour vous le guide (enseignant, leader), le christos (messie, onction i.e. le don de la Torah), tous {eux et vous} néanmoins vous frères [spirituels] vous êtes9.

23.9 Et pour que un père [ayant des enfants], vous ne soyez pas appelés de vous sur la terre seulement parce que il existe le père de vous, celui dans les cieux10.

23.10 Ni appelés guides seulement parce que de vous il est le guide, le christos11.

23.11 Néanmoins le plus hautain de vous {ceux qui trahissent}, il sera pour vous mis en retrait12.

  1. Comme font les rabbins de nos jours qui font des conférences et des cours publics et en ligne, et qui donne également des cours aux élèves réguliers en yéshivot.
  2. Il s'agit de la doctrine de la Torah sur laquelle s'appuie Moshéh.
  3. Comme Qora'h qui change les lois de la Torah pour imposer les siennes en disant qu'elles sont obsolètes et incapables d'assurer la bienveillance, la protection, l'éducation, la santé, l'aide, la justice, la prospérité, la paix, la joie et la survie.
  4. Les réchaïm ne travaillent pas honnêtement et efficacement : il ne font pas ce qu'ils disent faire et ils font ce qu'ils disent ne pas faire, seules leurs victimes constatent leurs agissement.
  5. Ajoutant volontairement mais inutilement aux difficultés et aux épreuves intrinsèques de la vie de tous les jours et aux tapes de l'évolution personnelle de la naissance à la mort.
  6. Le verbe grec a le sens de "élargir, distendre, étirer, dilater" avec douleur de pression et tension selon le contexte du passage dont la traduction commune officielle comme l'ensemble du Euaggelion ainsi que la Torah, le Quran et les Sutras vise à calomnier ceux qui font l'effort de porter les téfilin et les tsitsit matériels pour montrer aux ignorants et ne jamais oublier ceux qui sont invisibles, car ce serait oublier la véritable nature humaine sacrée, ce serait la perte de l'espèce humaine au sein de l'obscurité
  7. Il ne s'agit pas que des gens puissent apprécier les acclamations pour du travail bien fait ou un spectacle réjouissant, mais il est question ici de personnes qui recherchent cela comme une drogue, généralement pour se sentir supérieur et dominateur, au masculin comme au féminin évidemment.
  8. Cela est applicable au-delà des faux chefs religieux en Torah, et même au-delà des chefs religieux en général, y compris les dirigeants laïcs d'entreprises et de pays, et même des groupes petits comme grands, ainsi que des familles et cercles d'amis.
  9. Frères de Torah car Moshéh est le père des pères, les soeur de Torah ayant le même mère des mères, peut-être la fille de pharaon sans qui la Torah n'aurait pas été donnée à Moshéh et sans qui il n'y aurait pas eu Pessa'h et le reste.
  10. Les cieux : le mental personnel et le mental collectif éternel qui conservent la mémoire de Moshéh et de la Torah orale maintenue vivante et modulée selon l'évolution humaine grâce à la Torah écrite génération après générations.
  11. Ceux qui rejettent la Torah rejettent notamment la compassion de l'onction : christos ou messie est le processus de l'onction qui est le don de la Torah elle-même, d'où la non-utilisation du mot rabbi envers ça puisqu'il qualifie un être humain, là il s'agit d'un précepte phénoménal abstrait pouvant être instancié en évènements, le Euaggelion étant un conte qabalistique pour expliquer la Torah et en particulier cette onction et l'association des adams avec les 'havah à la suite des shidoukim.
  12. Séparé temporairement du peuple d'Israël. Le mot διακονος désigne un "serviteur", ou un "messager" ou un "ministre" mais ici selon le contexte il a été utilisé son sens étymologique primordial indiqué par Wiktionary : δῐᾰ- "séparé de" et *ken- "commencement, mouvement" soit séparer du béréshit, c'est-à-dire le karet qui est le processus de mise à l'écart sans nuire en prodiguant assistance et instruction à une personne qui se comporte mal afin d'obtenir la téshouvah, mais une autre forme de karet est la traversée du désert pour entrer en Israël, ainsi qu'en cas de "lèpre" qui est toute infection à germes, le karet d'une personne innocente comme coupable dans le but de la torturer et de réduire ses jours de vie n'est pas la Torah et c'est illégal selon les lois du pays, qu'elle fasse téshouvah ou pas.

17.05 : Loukan 22.54

18.05@06:54|+(-08:00)

22.54 Ayant arrêté désormais lui, ils emmenèrent et ils conduisirent lui à la maison de le grand chef1. Celui-ci également, Pierre, il suivait à distance2.

22.55 [Il fut ordonné] "Qu'ils (jésus et pierre) soient immédiatement attachés ! Ainsi que confrontation3 dans le centre du palais ! Et faites-les s'assoir ensemble !". Il avait pris place le Pierre au milieu d'eux.

22.56 Elle vit alors lui, une jeune fille quelconque (impartiale), se trouvant assis dans la lumière, et regardant lui elle parla ainsi "celui-ci avec lui il était".

22.57 Cela cependant il nia lui, disant "femme, ne pas je connais lui".

  1. Comme dit précédemment, le conte mentionne un kohen gadol et des religieux d'une certaine région à une certaine époque, mais de nos jours ce serait un groupe de dirigeants qui auraient fait licencier et arrêter un travailleur considéré comme perturbateur, et qui s'oppose à leurs agissements dénoncés comme criminels, et qu'ils auraient fait arrêter par la police pour l'envoyer dans un système carcéral, une prison officielle ou officieuse, sur décret du procureur validée par le juge, afin de le torturer à mort par blessures corporelles et poisons chimiques, l'ayant accusé de ce que eux ils font. Il est ainsi facile par exemple de placer cette personne en hospitalisation psychiatrique sans consentement, habituellement sans recours possible malgré la mascarade des audiences de demande de relâchement où les preuves d'innocences sont niées autant que celles du crime en cours et que celles du bafouement des lois en vigueur.
  2. Pierre est aussi arrêté car étant le talmid muvhak de jésus, son premier des élèves et assistant : מובהק signifie "le plus brillant" et peut également désigner le premier des rabbins d'un étudiant via l'expression rav muvhak.
  3. Le mot grec généralement traduit par feu a aussi le sens d'épreuve, donc de confrontation, comme lors d'une identification : au verset 62 il sort de l'assemblée sans charges retenues contre lui et seul jésus fut conduit devant pilatus qui représente l'autorité judiciaire.

22.67 "Si toi tu es le christos, dit à nous1". Il a dit cependant lui "si à vous je disais, jamais, ne pas vous penseriez que c'est vrai".

22.68 "Si cependant également j'interroge [vous], jamais vous ne devrez répondre à moi2, néanmoins vous devrez acquitter3".

22.69 "A partir de ce moment {acquitté}, il vivra le fils de l'humain, résidant parmi ceux qui ont autorité de Elle (Torah), du pouvoir de le Théos (HaShem)".

22.70 Ils dirent ainsi collectivement "toi donc tu es le fils de le Théos". Cela également à eux, lui, il déclara "vous, vous dites que moi, je suis"3.

22.71 Eux alors ils dirent "que de plus nécessaire ? nous avons témoignage de eux (les accusateurs) comme nous avons entendu de la bouche de lui (le grand chef)"4.

  1. Les anciens ne demandent pas s'il est un oint parmi les oints, mais le oint, l'unique attendu par la pensée messianique universelle qui attends un réformateur du monde pour imposer une politique religieuse commune.
  2. En effet, si on interroge les anciens à ce sujet, pour établir et démontrer la vérité, ils n'ont pas le droit de répondre, c'est la mitsvah "ne pas dire" complémentaire du "ne pas lier", car si la Torah demande de parler des mécanismes, il ne faut pas mentionner les évènements privés afin de protéger le shalom bayit et le sod du couple.
  3. Et c'est un mensonge : calomnie d'une fausse accusation pour justifier un crime politique car ils ne veulent pas de lui parmi eux en raison de la considération hérétique de son enseignement qui provient d'un rabbin d'une autre région, dont ils ne veulent pas chez eux par peur de perdre leur pouvoir et que la nation en pâtisse, semble-t-il.
  4. Les anciens ne peuvent rien faire de plus : jésus a réussi à leur prouver qu'il était un fils d'Israël venu d'une autre région ayant des manières différentes d'ici, et qu'il ne se prenait pas pour le fils unique de dieu, mais ils ne peuvent pas directement et immédiatement influencer les accusations d'hérésie car ce sont les anciens i.e. des retraités.

18.05 : Quran 73.1 et 88.1

19.05@05:54|+(-08:00)
[←←↑↑↑←] ⇒ 73:88

73.1 Pour toi, le dévoué enveloppé1.

88.1 Laisse agir, elle est venue à toi, parole de l'enveloppante effrayante2.

  1. L'enveloppante sagesse des versets de la Torah, du Tanak, des Sutras, du Euaggelion, du Quran, etc. enveloppe celui qui est dévoué dans l'étude au calme sans distraction, car l'étude en solitaire est un complément nécessaire à la recherche en binôme et en groupe (cf. parashah Lekh Lekha "va pour toi").
  2. La parole dont relatent les vrais bons textes sacrés dans toutes les langues originelles enveloppe de connaissance, de compassion, de joie et de protection, telle une nuée de pluie salvatrice et vivifiante, ce qui effraye les méchants qui s'en prennent à lui car ils craignent la vérité et la mise en lumière de leurs méfaits.

Remarque : gauche, gauche, haut, haut, haut et gauche est le dessin d'un L style lettrine du moyen-âge et surtout de l'époque de la renaissance carolingienne, sa valeur romaine est 50 soit Noun en hébreu "pouvoir de vie", et ce terme provient de carolus qui dérive du proto-germanique karilaz signifiant "humain libre", non pas obligatoirement être libre vis-à-vis d'un système oppressif et esclavagiste, ou encore de la maladie et des traumatismes corporels, voire des deux, mais libre de l'ignorance et des mensonges au sujet de la vie humaine tant de l'espèce que de soi et des autres, c'est-à-dire que la véritable liberté est de savoir ce qu'il s'est passé pour de vrai et pourquoi et par qui, c'est ne plus être dans le monde de l'illusion Maya ou Mitsraïm ; ainsi l'expression "the vision never dies" signifie que l'étude de la Torah est aussi éternelle que la Doctrine Elle-même, tant que l'espèce humaine existe évidemment puisque la Torah est la Loi pour la survie optimale dans tous les domaines de la vie pour tout le monde et chacun.

73 ⇒ עג "vision de l'étude"
88 ⇒ פח "parole de la fidélité"
19 ⇒ יט "énergie de l'association"
19 x 2 = 38 ⇒ לח "évolution de la créature"
73 + 88 = 161 ⇒ קסא "il illuminera"

20.05 : Loukan 23.10

21.05@08:00|+(-09:+10)

23.8 Lui lorsque Hērṓidēs1 voyant le Iēsoûs, il s'est réjoui grandement, il était même voulant depuis longtemps voir lui parce que il avait entendu beaucoup au sujet de lui, et il espérait depuis un certain temps voir par lui-même lui se produisant2.

23.9 Il questionna alors lui avec mots beaucoup lui-même mais rien il a été répondu par lui3.

23.10 Ils étaient présents également le grand chef et les rédacteurs avec véhémence accusant lui.

23.11 "Tu as négligé malgré tout4 lui, le Hērṓidēs, en même temps que les armées de lui, et t'amusant en revêtant lui, vêtement brillant il a été envoyé lui à le Pilãtos".

23.12 Ils furent ainsi liés l'ensemble Pilãtos et le Hērṓidēs par elle, l'éternité entre l'un et l'autre, ils l'ont déjà été auparavant parce que dans hostilité ils sont entre eux5.

23.13 Pilãtos alors convoquant en assemblée le grand chef et les chefs et le peuple.

23.14 Il a dit à eux "vous avez amené à moi l'humain celui-ci comme détournant le peuple, mais voilà, moi en présence de vous questionnant, rien j'ai découvert dans l'humain, avec celui-ci, de crime que vous accusez contre lui".

23.15 "D'autre part non plus Hērṓidēs j'ai envoyé pour vous vers lui, mais voilà, rien méritant mort, il est pratiquant de lui6".

23.16 "Punissant alors lui, je le renvoie (licencier, expulser, bannir)".

23.17 Obligé, de plus, il devait renvoyer eux durant fête [numéro] une {Pessa'h}.

23.18 Ils crièrent [de joie] alors tous ensembles disant "retranche cette personne, renvoi également pour nous le barrabas7".

23.19 Quelqu'un il a été, en raison d'une dissension, une certaine ayant eu lieu dans la ville, et un meurtre, envoyé en prison8.

23.20 A nouveau alors le Pilãtos s'exprima "je veux [seulement] renvoyer le Iēsoûs".

23.21 Ceux-là alors ils se sont exclamés disant "crucifie10 ! crucifie ! lui !".

  1. Le mot "Hérode" veut dire "héroïque" ou "mémorable" ou "chant protecteur" : le jour de l'onction est en effet celui d'une naissance spirituelle et c'est un grand jour puisqu'il est le deuxième plus grand jour après la naissance physique et qu'il n'y en aura pas d'autre d'aussi important dans la vie de l'homme ainsi devenu "roi", mot grec qui veut en réalité dire "chef" au sens de "leader, guide, maître" qui selon le contexte de la narration est soumis à la Torah, c'est-à-dire un prêtre i.e. un lévite.
  2. Comme un artiste conférencier qui donne un spectaculaire cours de pensée.
  3. Il est posé comme hypothèse que ce passage du conte met en scène un étudiant qui désirerait questionner un instructeur s'il avait l'occasion de le rencontrer pour le questionner au sujet du jour mémorable et de son enseignement au sujet du christos.
  4. Malgré tout ce que HaShem a fait grâce aux mitsvot accomplies par les armées qui oeuvrent au don de la Torah et à la construction du temple.
  5. C'est l'éternelle hostilité Abel et Quaïn à cause de la convoitise jalouse et rancunière.
  6. De son enseignement, sa vision sur la Torah selon l'enseignement reçu de son Rav Muvhak.
  7. Ils veulent que le fils spirituel de son père instructeur jugé hérétique et dangereux soit "mis à la porte" et envoyé dans leur prison qui fait ce dont ils accusent Jésus de faire : trahir la loi pour assassiner les victimes, ainsi il n'est pas renvoyé de Mitsraïm pour HaShem à Pessa'h et entrer en Israël mais pour être enlevé du peuple et torturé à mort par les dirigeants.
  8. Malgré le doute d'un moment, l'hypothèse proposée pour la lecture de ce conte qabalistique qui met en scène des protagonistes d'une certaine époque dans un certain milieu donné, est que barrabas n'est autre que jésus accusé et mis en prison à la place d'un groupe de dirigeant coupables d'un conflit ayant causé un meurtre, et ils prennent jésus comme bouc-émissaire à faire disparaitre d'autant qu'ils craignent pour leur pouvoir à cause de son enseignement.
  9. Selon la concordance Strong G4717, crucifier veut métaphoriquement dire "détruire le pouvoir de la chair dans d'atroce douleurs" : le Pilãtos insiste une troisième fois pour seulement l'expulser, afin que jésus fasse Pessa'h dans les règles car il n'a rien fait de mal, mais comme ils insistent encore, face à tant de cris, il accorde ce qu'ils veulent, la destruction de la colonne vertébrale puisque les humains sont des vertébrés, pour détruire le cerveau puisque intelligents, dans le but de torturer à mort (cf. le drame des serpents du Mahabharata qui est un résumé de la Bhagavad-Gita).

21.05 : Loukan 22.52

22.05@07:52|+(-09:00)

22.47 Toujours alors que pendant il parlait, voilà une compagnie et celui appelé Ioúdās, un de les douze, il marchait devant eux et il approchait de le Iēsoûs, il embrassa lui.

22.48 Ça alors Iēsoûs il a dit à lui "Ioúdās ! [avec] une accolade {fourberie} à le fils de l'humain, tu trahis !".

22.49 Regardant alors ceux autour de lui (élèves), à cause de ce qui allait se passer, il (Ioúdās) dit à lui (Iēsoûs) "Monsieur, devrons-nous attaquer avec l'épée (1) ?".

22.50 Alors il (Ioúdas) a frappé l'un d'elles, pour la cause de eux (les chefs des gardes), celui qui est serviteur du chef des prêtres, et il a enlevé pour eux la faculté de perception (l'écoute), [pour] l'autorité dirigeante.

22.51 Il répondit néanmoins le Iēsoûs, il a dit "partez !" jusqu'à ce que de cette manière, alors ayant touché la perception de lui, il répara (guérir) lui (2).

22.52 Il a dit alors le Iēsoûs à ceux devenant trop nombreux contre lui, grand-chef et chefs de le temple et anciens "comme contre un criminel vous avez procédé, avec des épées et des morceaux de bois (3)".

22.53 Durant jour (période de lumière) pendant qu'étant moi avec vous dans le temple, ne pas vous avez lancé les mains contre moi (user de pouvoir), mais cela de vous {épées et bois}, il est le moment même de le pouvoir de l'obscurité.

  1. Du point de vue symbolique spirituel, l'épée est le verbe, la parole : attaquer avec des mots, c'est utiliser la technologie mentale pour nuire en calomniant, en mentant, en se moquant, en harcelant, en créant de la confusion, etc. c'est embrouiller et faire tourner en bourrique.
  2. Ainsi l'instructeur de l'élève touché par le lachon hara est soigné grâce au lachon hatov du rabbin qui élimine les mensonges et clarifie les choses en levant le voile de l'illusion fabriqué par les réchaim.
  3. Outre la métaphore du verbe de l'épée qui blesse (méchancetés et cirque chaotique) ou qui soigne (bienveillance et harmonie clarificatrice), en Grèce antique l'équivalent du papier de nos jours comme pour le courrier postal, les tracts, les affiches publicitaires et administratives, les poèmes, etc. étaient des planchettes de bois recouvertes de cire gravée, les livres étant en papyrus ou parchemin beaucoup plus cher.

22.05 : Praxeis Apostolon 7.58

23.05@07:58|+(00:00)

7.51 Au cou raide (1) et incirconcis (2) de le coeur et les perceptions, vous à chaque occasion, le souffle de le hagios (sacré i.e. de Elohim), vous êtes défavorable (s'opposer, lutter contre), comme les pères de vous, ainsi que vous (3).

7.52 Quel est l'interprète (poète, prophète) ne pas ils ont persécuté, que pères de vous ils ont détruit à mort (tuer) eux (4), ayant informé au préalable à propos de la venue de le juste (5), ça maintenant, traitres et meurtriers, vous êtes devenus.

7.53 Alors que vous avez reçu la Loi [de Moshéh] pour dispositions des messagers (6), et ne pas vous avez observé (protéger) [la Loi et les vies].

7.54 En entendant maintenant ces choses, ils étaient indignés en leurs fors intérieurs (coeurs de eux) et ils serraient les dents, contre lui.

7.55 En étant cependant imprégné de pneuma hagios, après avoir scruté vers les cieux (7), il perçu jugement de Théos, et Iēsoûs ayant pris place aux côtés de autorité de le Théos (8).

7.56 Alors il (Stéphanos) a dit "voilà, je discerne les cieux (pensées) divulgués, et le fils de l'humain y est présent (9), autorité ayant pris place aux côtés de le Théos (HaShem)".

7.57 En criant maintenant d'une voix forte, ils ont bouché perceptions (oreilles) de eux (10), et ils se sont précipités la tête la première à l'unanimité contre lui.

7.58 Et ayant chassé lui en dehors de la ville, ils jetèrent des pierres (lapider), et les témoins ils furent éloignés (renvoyer), les tuniques à eux à côté des pieds d'un jeune homme nommé Saulus (11).

7.59 Et ils jetèrent des pierres, le Stephanos invoquant (prier, étudier) et disant "maître Iēsoûs, que tu sois accepté, le pneuma de moi" (12).

7.60 Lors de la mise en place sur les genoux, il a hurlé d'une voix forte "maître ! ne pas tu autorises eux ! le [plus grand] crime spirituel ! ça !" (13), et cette chose dite, il mourut.

  1. Ce mot désigne le pensées du mental obtus, inflexible, intransigeant, intolérant et sectaire.
  2. Couvert d'un voile qui rend aveugle et insensible : la circoncision de la chair amène à la circoncision du coeur, et inversement, ce qui améliore les perceptions corporelles et les pensées source des actes.
  3. Ce verset s'adresse à la faction formé par des personnes évoluant au sein de plusieurs maisons et qui emploi la calomnie contre Stéphanos ou Étienne "celui qui est couronné" (cf. Actes 6.9-6.14).
  4. Eux, la secte hypocrite et menteuse, et pas HaShem qui interdit cela autant que la loi du pays, via une maladie ou un accident non provoqué par des humains.
  5. Il est en effet indiqué en Loukan 10.1 que l'instructeur Muvhak d'un étudiant Muvhak doit informer les communautés afin de l'aider à le former et le préparer pour être tsadik parmi les tsadikim.
  6. Envoyés dans des lieux en des temps adaptés ou inadaptés, pour y accomplir les mitsvot déléguées, de manières correctes ou incorrectes.
  7. En état d'inspiration et d'intuition, il a scruté les regards et comportements comme à une table de poker pour déterminer des pensées et états d'esprit des gens.
  8. Il a vu parmi le peuple certains signes montrant qu'ils ne méprisent pas l'enseignement du Euaggelion et l'acceptent comme guide en accord avec la Doctrine de la Torah ayant ainsi été compromise pour plus de réponses, comme cela s'est également produit au fil des inventions technologiques avec le Talmud, Rachi, le Ramban, le Tanya, et de nos jours avec l'explosion des cours en ligne pour tout le monde, etc. car c'est une mitsvah que de parler de Torah en tout lieu et tout temps par tous les moyens possibles.
  9. Les quatre versions du conte Euaggelion ont été ajoutés aux enseignements sur la Torah de HaShem afin de les compléter pour les générations futures, devenus autorité d'instruction supplémentaire sans rien ajouter ni enlever de la Doctrine, comme le font certains rabbins ou comités au fil des générations, tels que par exemple le Talmud, Rachi et le Rambam.
  10. Ici il est question de tout le monde, la faction qui accuse Stéphanos, et la majorité de tout le monde poussé au meurtre par les faux-témoins corrompus : ils sont tellement en colère qu'ils ne gèrent plus les signaux du monde extérieur au corps et au mental, ayant atteint le stade de l'hystérie.
  11. A ce moment, celui qui deviendra Paul après une expérience mystique entrainant une conversion, était probablement un préposé aux tuniques des assemblées non impliqué dans la Torah : le mot πούς désigne également un tabouret, ici les tuniques sont peut-être déposées sur des tabourets devant le préposé aux tuniques des témoins.
  12. Saulus espère ainsi que l'enseignement de Iēsoûs permette aux gens qui le rejettent, de l'accepter sans avoir peur, afin de sortir de Mitsraïm et traverser le désert pour entrer en Israël, le pays de la survie éternelle de la connaissance universelle, de la compassion et de la justice, et du shalom bayit.
  13. Ils sont coupables, ceux qui se disent légitimes à diriger et rendre justice mais qui sont des imposteurs, d'une part d'homicide physique et d'autre part envers pneuma hagios : ainsi le maître, n'importe lequel, qui interdit les choses interdites par la Torah, est meilleur maître que ceux qui transgressent la Torah qu'ils altèrent jusqu'aux lois du pays, disant que c'est justifié, que c'est un bon-droit bien-fondé souverain sans recours possible et que leur crime n'est pas punissable.

23.05 : Ioannis 5.22

Entracte

5.16 Alors en raison de cette chose (1), il a été poursuivit le Iēsoûs que juifs (2) alors ils recherchaient lui pour tuer, parce que ces choses il faisait au cours du shabat (3).

5.17 Celui-ci, alors, Iēsoûs, il a répondu à eux "ça, le père de moi (4) jusqu'à maintenant il pratique, moi aussi je pratique".

5.18 En raison de cette chose en conséquence encore plus il a été poursuivit lui que juifs pour tuer, parce que ne pas seulement brisé le shabat, mais également père de lui il disait [que] le Théos est équivalent à lui-même, faisant de lui Théos (5).

5.19 Il répondit alors le Iēsoûs et il a dit à eux "vraiment, vraiment, j'ai dit à vous ne pas capable le fils d'agir par lui-même, rien, si jamais quelqu'un observe le père agissant, ce que en effet peu importe cette personne fasse, ces choses alors le fils de la même manière il fait {mimétisme d'observation et d'éducation}.

5.20 Celui-ci parce que père il est rempli d'affection le fils (loi naturelle innée), et toute chose enseignée à lui que lui il fait, ainsi que plus grande de ces choses il enseignera à lui, fonctionne pour que vous (les pères) soyez émerveillés (6).

5.21 Tout comme à cause de le père il réveille les morts (7) et il fait vivre, alors aussi le fils, cela, il désire (8).

5.22 Et ne pas, à cause de le père, il sera jugé, rien sauf jugement de chacun il a été donné à le fils (9).

5.23 Bien que collectivement ils estiment le fils comme ils estiment le père, celui jamais il estime le fils, ne pas il est estimé le père qui transmet à lui (10).

5.24 Vraiment, vraiment, je dis à vous que ça, la parole de moi, en entendant et faisant confiance à celui qui m'a envoyé (11), ils sont vivants pour toujours, et pour jugement (séparation) ne pas il (12) est venu car il fait passer en dehors de la mort (le crime) vers la vie (le shalom bayit).

5.25 Vraiment, vraiment, je dis à vous que il vient le moment, et maintenant il est, pendant la mort ils entendrons la parole de le fils de Théos (i.e. de Moshéh), et ceux entendant ils vivront [parmi les vivants] (13).

5.26 Tout comme parce que le père il est vivant par lui-même, de cette manière [avec l'enseignement] il a donné [la Torah], alors le fils vivant, il obtient [la Torah] par lui-même {par l'étude}.

5.27 Et autorité il a été donné à lui (l'élève du maître) également jugement d'être fait parce que fils de humain il est (14).

5.28 Jamais vous ne vous émerveillez de cette chose que elle se produit un certain temps (15), cela est tout ce que dans la sépulture ils entendront, la parole de lui.

5.29 Et elles se propageront les choses qui sont bonnes, faites jusqu'à récupération (soin, résurrection) d'une vie, cela, d'un autre côté le méchant en agissant pour récupération, [est] séparation {illégale i.e. crime} (16)".

  1. Le pire crime pour eux est de soigner lors du Shabat : de nos jours, les rabbins disent que sauver, et donc soigner ou porter secours, un jour de shabat, c'est permis, et c'est même une obligation, la question étant de savoir si on peut reporter de faire cela et attendre la fin du shabat, mais dans tous les cas, l'esprit traditionnel du judaïsme orthodoxe est de ne jamais blesser et tuer de quelque manière que ce soit, car l'expression trompeuse "mettre à mort" concerne l'instruction et le karet avec compassion.
  2. Il n'est pas mentionné tous les juifs car il s'agit de la secte qui oeuvre dans l'ombre au sein de plusieurs groupes et qui collusionnent dans leurs intérêts et contre la loi et les victimes jusqu'à faire se soulever tout le monde contre Iēsoûs qui dévoile leurs méfaits (cf. Actes 7.51).
  3. Si ceux qui voulaient le tuer étaient passifs, ils devinrent actif.
  4. Il n'est ici pas question de Dieu et du Fils de Dieu, mensonge inventé par des réchaïm et propagé depuis, mais d'un exposé des lois mentales relative à l'éducation d'un père envers son fils, et à la justice concernant les actes du père et les actes du fils, et de manière plus générale les actes d'un instructeur et les actes de son élève, le père des pères étant Moshéh.
  5. Les rabbins enseignent deux choses : d'une part que Moshéh le père des pères est l'équivalent de HaShem, et d'autre part que le peuple d'Israël chargé d'accomplir les mitsvot est l'équivalent de Moshéh et donc de HaShem, mais il faut étudier la Torah un certain temps pour appréhender ce que cela signifie et que ceux qui poursuivent ne comprennent pas car refusant la Torah pour imposer leurs propres lois comme Qora'h.
  6. D'une manière générale, tout ce qu'un père fait, son fils apprend à le faire, qu'il aime ou pas d'en faire une habitude ou de la conserver voire de l'améliorer une fois adulte, et il le fait selon comment on lui enseigne de faire, et il est bien de s'en émerveiller, de la faculté de transmission et de réception elle-même.
  7. Faire de la médiumnité avec les morts comme font les parapsychologues et certains occultistes ou ésotéristes, pour faire croire qu'ils existent encore quelque part ailleurs qu'en tant que poussière d'atomes dans une sépulture par exemple.
  8. Ici il est ainsi affirmé que concernant la croyance dans la vie après la mort, on ne peut en premier lieu échapper à désirer y croire car c'est rassurant et cela réduit la peine de la perte, la dérive étant de duper les autres en utilisant l'escroquerie (cf. série Mentalist).
  9. Il ne faut pas préjuger que si un père agit bien ou mal alors son fils sera pareil et donc le punir aussi pour les fautes du père ou lui accorder un mérite qui n'est pas le sien, et ce, même entre frères, tel qu'il est indiqué dans la Torah, car chacun est unique.
  10. La majorité des pères montrent à leurs enfants la joie de les voir exister et progresser, mais celui qui ne le fait pas perd mécaniquement l'estime de son fils : la Torah s'adresse au pères qui doivent apprendre, mais il en est de même pour les mères et les filles, ainsi que d'un père avec sa fille et d'une mère envers son fils - en effet pour les choses que les mères savent instinctivement, les pères ont besoin de mots.
  11. Il faut traiter ses élèves comme ses propres enfants qui doivent faire confiance autant à leur instructeur qu'à celui qui l'a formé, et ainsi de suite jusqu'à Moshéh, le père des pères dans les cieux.
  12. Celui qui a envoyé Iēsoûs : Ioannis, son rabbin qui n'est pas venu pour séparer la Torah des juifs comme fait Qora'h.
  13. La mort est le monde de ceux qui travaillent à mortellement torturer pour le profit et le plaisir, les vivants est le monde de ceux qui aident pour de vrai et soignent pour de vrai.
  14. Maitres et étudiants n'ont pas pour rôle de séparer les méchants des gentils, ceux qui travaillent pour la mort de ceux qui travaillent pour faire vivre, ils ne viennent pas pour cela, mais ils ont l'autorité du pouvoir de mettre en évidence et de distinguer ce que font les enfants des humains, mâles comme femelle : le but n'est pas la séparation d'entre les actes mauvais et les actes bienveillants, mais de changer de monde et donc de perceptions, de pensées et d'actions.
  15. L'enseignement transmis d'un père à un fils qui s'améliore ainsi de fils en fils est temporaire, limité par le décès de chaque instructeur, mais cet enseignement est éternel car transmis de génération en génération, de pères en fils et d'instructeurs à étudiants : ce verset fait référence au "pèlerinage sur la tombe du rabbin" où l'on se souvient de sa parole.
  16. Ioannis est donc le rabbin de Iēsoûs, qu'une secte, refusant la Torah et trahissant les lois du pays pour le pouvoir et le profit, veut tuer, parce que dévoilant leurs méfaits et leurs crimes perpétrés au sein des maisons dirigeantes ainsi manipulées.

24.05 : Ioannis 7.16

25.05@07:16|+(00:00)

7.16 Il a répondu le Iēsoûs et il a dit "le mien, enseignement (doctrine), ne pas il est mien, mais de celui ayant envoyé1 moi.

7.17 Si quelqu'un il veut la volonté de lui (Moshéh Torah de HaShem de Elohim) pour être réalisée (via mitsvot), il comprendra au sujet de l'enseignement, soit provenant de le Théos il est, soit de moi puisque moi-même je parle2.

7.18 Celui de moi-même, en parlant de la splendeur d'Elle3 de manière particulière, il s'efforce cela également4, en recherchant la splendeur de Lui (Théos), en transmettant Lui qui vrai Il est, et méfait (injustice) en lui ne pas il est.

7.19 Ne pas Moshéh il a donné à vous la loi5, et rien provenant de vous il est acte de la loi, pourquoi moi vous cherchez à tuer ?".

7.20 Elle a répondu la foule et elle a dit "un esprit mauvais tu as, pourquoi toi tu es voulu tué ?".

7.21 Il répondit le Iēsoûs et il a dit à eux "une oeuvre j'ai produit, et tous, vous en êtes émerveillés6.

7.22 Cependant, cette chose, Moshéh il a donné à vous, la circoncision, ne pas ça de le Moshéh elle est, car de les pères, et pendant shabat vous circoncisez un humain.

7.23 Si circoncision il reçoit un humain pendant shabat afin que jamais elle soit brisée la loi de Moshéh, envers moi vous êtes en colère parce que intégralement un humain pur (soigné, réparé, libéré, saint) je le rend pendant shabat.

7.24 Jamais vous ne devez juger selon caractéristiques, sinon ce qui est impartial (juste, équitable) juge vous".

  1. Jean, un grand rabbin étant pour ainsi dire comme Moshéh, en envoyant Jésus dans une autre région rependre son enseignement oral de l'époque, c'est comme si Moshéh, le père des pères dans les cieux, avait envoyé Jésus, car il est écrit "Lekh Lekha" : "va pour toi" i.e. vivre sans nuire dans la joie du shalom bayit pour parler de Torah en accomplissant les mitsvot.
  2. Étudier l'enseignement d'un rabbin permet de déterminer s'il parle de vraie ou de fausse Torah i.e. s'il explique la Torah hébraïque de HaShem ou s'il raconte des sornettes ou pire.
  3. La doctrine de Moshéh i.e. la Torah : il a été choisit le sens "enseignement" pour le mot διδαχή qui est un féminin.
  4. Ce que les rabbins nomment être une facette différente, un point du vue unique parmi la multitude des visions sur le centre unique qui est la Torah.
  5. Les sectes qui se prétendent de la Torah de Hashem de Elohim, comme les laïcs qui se prétendent respectant la loi du pays, et qui mentent et qui transgressent toutes les lois en Son Nom et au nom de la nation, ne sont que des imposteurs qui ne connaissent ni la Torah ni la loi du pays : ils ne l'ont pas reçu, elle a été donnée mais refusée, comme si elle n'avait pas été donnée, alors "ils se disent juifs (hébreux) mais ne le sont pas".
  6. Il est posé comme hypothèse que ce conte écrit par un ou plusieurs rabbins, le Euaggelion, met en scène divers protagonistes de manière à la fois instructrice via les paraboles - le conte étant une parabole fractale et générique en lui-même - et d'autre part prophétique quant-à la réception de l'oeuvre par les gens : d'un côté il a émerveillé le public, mais d'un autre côté les autorités sont devenus furieuses car il dénonce de graves duperies et de graves crimes, prévoyant même qu'il sera volé et altéré à travers les générations grâce aux traductions et aux interprétations, jusqu'à ce qu'on révèle au monde entier le grand crime de la grande duperie sur la Torah et sur la loi du pays par la secte des sectes.

25.05 : Markon 7.10

26.05@07:56|+(00:+14)

7.8 "Abandonnant (rejeter, oublier) donc le précepte de le Théos, vous conservez la tradition de les humains1, lavages2 des pichets et des coupes et d'autres choses similaires comme ça souvent vous faites".

7.9 Également il a dit à eux "honnêtement, vous reniez (méprisez) le précepte de le Théos, bien que la tradition de vous, vous devriez garder3.

7.10 Moshéh donc il a dit "rend honneur à le père de toi et la mère de toi", en effet celui parlant mal (lachon hara) du père ou mère, extinction (du lachon hara) laisse-la s'accomplir4.

7.11 Vous néanmoins vous dites <si il devrait dire un humain (qui a mal parlé) à le père ou à la mère 'un korban5 qui il est un présent6, que si provenant de moi, tu (le parent) devrais en profiter'>.

7.12 Alors ne plus vous abandonnez (renvoyer) lui ni personne, il se trouve qu'il a bien agit (célébrer) au père ou à la mère.

7.13 Annulant (invalidant) la parole de Théos {porter secours à celui qui parle mal}, elle tradition de vous que vous avez recommandé {d'abandonner celui qui parle mal au lieu}, en effet, similaires comme ça souvent vous faites {changer les lois de la Torah, cf. 7.8}"7.

  1. Le texte distingue les humains et les juifs, les juifs ou hébreux étant ceux et celles qui suivent la doctrine de la Torah et ont le pouvoir des mitsvot, les humains étant ceux et celles qui ne sont pas encore devenus hébreux mais en ont le potentiel sans devoir suivre les mitsvot sinon les 10 grands commandements, sinon ce serait comme demander à un non pratiquant de soulever 100 kg en musculation, ou de jouer contre un expert en échecs.
  2. Il s'agit de la cachérisation des ustensiles, comme des mains, pour limiter la prolifération des germes et éviter le mélange de laitages et de viandes.
  3. C'est ce que les rabbins nomment suivre la Torah et en même tempes la loi du pays où nous vivons : il n'est donc pas reproché de s'occuper des ustensiles et du corps, mais de ne pas en plus suivre la Torah.
  4. La traduction proposée va dans le sens d'aider celui qui parle mal à arrêter de le faire et à réparer le dommage causé, quoi que opposée à l'interprétation officielle elle est linguistiquement correcte selon ChatGPT et cela correspond à l'enseignement des rabbins qui est de instruire et motiver ceux qui font mal les choses sans les abandonner, ce qui est nommé "travailler les midot et réprimander lorsque nécessaire" : il s'agit donc ici de "faire mourir le lachon hara" dans le sens de mettre un terme au parler mal, mais en aucun cas de tuer directement et de laisser mourir la personne en l'abandonnant puisque s'est interdit et punissable, et en l'occurrence la réprimande s'adresse aux enseignants qui font rompre le lien torahnique avec les ancêtres avec du lachon hara (mensonges, calomnies, dénigrements, etc.) pour que les juifs ne pratiquent plus les mitsvot.
  5. Korban : offrande spirituelle à Théos i.e. HaShem par un kohen descendant d'Aharon, un non kohen peut effectuer les divers types korbanot mais ne peut en retirer le résultat du fait de la spécificité du rôle de kohen suite à sa formation, au même titre que la différence entre un bodybuildeur compétiteur et un jouer d'échec mondial et celui qui ne le serait pas et qui perdrait son temps au regard de HaShem, le kohen étant l'intermédiaire entre le non-kohen juif ou même celui qui n'est pas juif, et HaShem.
  6. L'offrande ici est un cadeau au parent au nom de Théos pour valoir korban, cela peut être de la nourriture, des vêtements, une maison, un livre, ou n'importe quoi d'important et de non futile, et qui apporte de la joie au parent, tel que l'enseigne les rabbins.
  7. Si les règles d'hygiène sont pas remises en question, ici les mauvaises coutumes sont réprimandées, comme le fait d'abandonner les faibles et les victimes ainsi que ceux qui se comportent mal ou qui ne savent pas comment se comporter ou qui ont tellement de problèmes que leur appels à l'aide devient un problème : en effet, les rabbins orthodoxes enseignent que la Torah interdit d'abandonner qui que ce soit, même le fauteur, car il fait l'instruire, le motiver, l'aider, et ne jamais l'abandonner, ce qui est nommé le tikoun (réparation) par la téshouvah (cessation du mauvais comportement) grâce à l'éducation et l'amélioration des midot (traits de caractère) en faisant preuve de compassion et de bienveillance sans jamais haïr même le méchant.

26.05 : Apokalupsis 20.7

27.05@20:52|+(00:+15)

20.1 Ensuite je vis un messager1 descendre depuis les cieux2 possédant la clé de l'abyssos3, et une chaine grande dans la main à lui.

20.2 Et il a mis la main sur le drakon {chaine ADN}, le serpent, l'ancien (originel, primitif), qui il est diabolos4 et satanas5, et il a lié lui un millier d'années6.

20.3 Et il envoya lui dans l'abyssos, et il enferma lui, et il scella en plus lui afin que jamais il puisse tromper les gens (proches), maintenant jusqu'à ce que il soit terminé le millier d'années, alors après ces choses7, il faut, lui, détruire en peu de temps8.

  1. La révélation qui accompagne le conte spirituel expliquant la Torah en quatre chapitres accompagné des actes et de quelques lettres servant de commentaire, est une allégorie métaphorique similaire par exemple aux systèmes de l'heroic fantasy et de la musique rock et métal : angelos est le mot grec pour le mot hébreu malak "celui qui est messager commandant (émissaire ambassadeur)" i.e. celui qui délivre une information servant d'instruction, et de plus, מ-לאך peut se lire "lorsque envoyé pour servir [la Torah]", ainsi toute la mythologie au sujet des anges inventée par des écrivains et des groupes de pensées n'est que sornettes tel qu'il a été dit et tel que le dénonce la Torah, et ne relève que de la fiction servant au divertissement et à l'éducation des mécanismes comportementaux.
  2. Cette expression désigne l'action de sortir de transe méditative comme lorsqu'on dit "redescendre sur terre" en sortant d'une rêverie éveillée.
  3. L'abîme est ce qui est en bas et sans fond, insondable, illimité : c'est l'inconscient, et en posséder la clé est connaitre ses mécanismes.
  4. L'ensemble des divers sens du mot diabolos désignent ce qui est de comportement mauvais et néfaste.
  5. De même, les sens du mot satanas désignent ce qui est de comportement agressif et hostile.
  6. Grâce à l'étude de la Torah et à la méditation kabalistique, la section ancestrale des gènes responsables du comportement animal nuisible, la part intrinsèque du mal en HaShem comme il est écrit en , ont été désactivés pour la descendance sur un millénaire.
  7. Après que ces choses décrites dans la suite du texte aient eu lieu, l'évolution de la conscience devenue assez forte pour maitriser le drakon et de ne plus y être soumis : le drakon est le yetser hara, le mauvais penchant ont parlent les rabbins dans leurs cours et en expliquent les mécanismes.
  8. Une fois la quarantième génération de descendants atteinte, on peut se débarrasser de cette portion d'ADN par les moyens spirituels obtenus au cours du millier d'années, car devenue obsolète, de la même manière qu'on élimine le code programme d'une fonction après quelques versions du logiciel et la certitude qu'elle ne sera plus utile ni utilisée.

20.4 Ensuite je vis des trônes, et ils étaient assis sur eux et jugement il été donné à eux : et les psykhés (âmes ou esprits i.e. mouvement des pensées) de ceux ils ont été abattus (1) à cause de le témoignage de Iēsoûs et à cause de la parole de Théos (doctrine de la Torah), et toute personne qui n'a pas vénéré (adorer) l'animal sauvage [intérieur] ni l'image de soi (narcissisme), et ne pas ils ont reçu le signe sur le front de eux et sur la main de eux (2), et ils vécurent et ils gouvernèrent avec christos le millier d'années (3).

20.5 Cela cependant qui reste, la personne décédée, ne pas retrouver la vie (4) jusqu'à ce que il soit terminé le millier d'années, ça, la résurrection de le premier [de sa lignée, né convertit à la Torah].

20.6 Béni et dévoué celui ayant un destin avec la résurrection de le premier, par ces choses (5), la mort, la seconde (6), ne pas il a, autorité en effet elles seront [sur lui et les gens], [il est] prêtre de le Théos et de le christos, et ils (Théos et christos) gouverneront par l'intermédiaire de lui un millier d'années (7).

20.7 Ensuite quand il sera terminé le millier d'années, il sera détruit le satanas hors de la prison à lui (8).

  1. Le verbe πελεκίζω a le sens de "tronquer, trancher, couper avec une hache, décapiter" : il a été choisit le terme "abattre" comme lorsqu'on déchire ou brise la colonne vertébrale comme un arbre à coup de blessures.
  2. Le front est le symbole de l'intelligence : ainsi marquer au fer le cerveau est la pratique de conditionnement utilisée par les sectes malveillantes et esclavagistes qui manipulent les connaissances, les pensées, les actions et donc le libre arbitre, non pas dans l'intérêt des gens et des communautés jusqu'au monde, mais celui du groupe dirigeant ou même du grand chef.
  3. Vivre et gouverner ou régner désigne le fait d'influencer et contrôler sa propre vie et celle des autres, ici avec la doctrine de la Torah et donc les lois du pouvoir de l'onction compatissante.
  4. Il est question ici de la réactivation de l'unité de conscience génétique, ou personnalité, avec les mêmes gènes de structure, ou aspect corporel, les cieux et la terre ainsi transmis à travers la descendance, dans un premier dilués, avant de pouvoir être réactivés intégralement ou partiellement.
  5. Ces choses relatées dans le texte de la révélation au sujet de la Torah et de l'onction.
  6. La première mort d'un être vivant est la mort clinique, la seconde étant l'oubli par ceux qui n'ont pas laissé d'oeuvre littéraire, artistique ou autre, imprégnée de leur esprit dans le souvenir, ce qu'on appelle la vie éternelle.
  7. A travers la descendance, génération après génération.
  8. Pour être éliminés : la suite du texte décrit le processus d'élimination de la séquence génétique nommée drakon en commençant par la section nommée satanas, puis diabolos.

20.8 Alors il sera expulsé (1) pour induire en erreur les gens, ceux dans les quatre coins de le monde, le gog (pensée rejetant l'onction) et le magog (opposants à l'onction), pour rassembler eux vers bataille de qui est la multitude comme le sable des mers (3).

20.9 Et ils se sont levés contre la largeur de la terre [d'Israël], et ils ont assiégés l'armée de les dévoués [à HaShem] et la cité aimé (Yeroushalaïm, le cerveau compatissant), et il est descendu, feu provenant de le Théos depuis les cieux, et il a dépouillé eux (4).

20.10 Et le diabolos, celui trompant eux (5) il fut jeté dans le lac de le feu et souffre (6), où l'animal sauvage (diabolos) et l'imposteur (satanas) alors ils seront dégradés jour et nuit pour l'éternité de l'éternité (7).

  1. Enlevé de la section du chromosome pour aller dans le nucléoplasme libre d'être transcrit en ARN qui engendrent les comportements de la barbarie.
  2. La multitude est le peuple d'Israël, qui lutte contre les méchants, sans nuire, grâce aux mitsvot, à l'onction, au shalom bayit, et à la vérité, avec compassion et bienveillance dans le respect des bonnes lois du pays.
  3. Pour résumer : l'onction dépouille les méchants de l'obtention convoitée de posséder leur victime et d'en tirer profit, malgré les tortures temporaires, car au final la victime est libéré et les méchants privés de tout.
  4. En réalité, c'est le diabolos, via le satanas, qui égare le comportement : le satanas, la haine, provient du diabolos, la méchanceté : c'est-à-dire que la drakon, le bout de séquence d'ADN animal ancestral, contient le diabolos qui contient le satanas.
  5. En biologie cellulaire, lorsqu'un bout de séquence d'ADN est coupé et enlevé par des ARN et des enzymes, il est envoyé dans le nucléoplasme ou le cytoplasme, des nucléases se chargent de les décomposer : de manière imagée, ce sont des composés contenant des atomes de souffre et elles réduisent en cendre ces bouts d'ADN.
  6. Sans relâche, continuellement, pour toujours : il est alors impossible d'insérer la séquence génétique drakon sans qu'elle soit de nouveau expulsée et détruite, la cellule, l'ADN, gardant la mémoire du processus instauré au cours du millier d'années pour toute la descendance.

20.11 Ensuite je vis un trône brillant grand, et lui (le trône) résidant dans ce qui est loin (séparé) du visage (1), il s'est enfuit de la terre et des cieux, et place ne pas il est trouvé en eux (2).

20.12 Et je vis les inopérants (3), modestes et puissants, se révoltant (se dresser, se lever, se soulever) face à le Théos, et des rouleaux ils ont été ouverts, et un rouleau différent il a été ouvert qui il est de la vie, et ils ont été jugés (sélectionner, séparer) les inopérants selon ce qui avait été écrit dans le rouleau, selon les actions de eux (4).

20.13 Et Il (Théos) a livré à la mer ce qui est dans elle inopérants (5), et la mort et l'invisible (6) ils ont livré ce qui est dans eux inopérants, et ils ont été jugés chacun selon les actions de eux (7).

20.14 Ainsi ce qui est mort et ce qui est invisible, ils furent jetés dans le lac de le feu, cela il est la seconde mort (8).

20.15 Et si quelqu'un ne pas il est trouvé dans le grand rouleau de la vie ayant été écrit il a été envoyé dans le lac de le feu (9).

  1. Ce trône est l'os sphénoïde qui est en arrière des os du visage au centre du crâne soutenant le cerveau.
  2. Manière poétique de décrire que le soleil est le chef d'orchestre des cycles biologiques du corps et du mental, et que sa ronde du lever au coucher est inlassable et sans fin comme les cycles cellulaires, mais surtout, ce verset indique que celui qui ne s'occupe pas de son corps et le néglige, et ne nourrit pas son esprit avec l'étude des sciences et des arts, ne trouve pas de place dans le monde, ni travail, ni conjoint : la lumière ne trouve pas de place.
  3. Ceux qui perdent leur temps avec des futilités et l'oisiveté, à ne pas confondre avec le loisir et le repos nécessaires dans une certaine mesure pour éviter le stress et la fatigue.
  4. La révélation n'est pas un livre de prophéties temporelles, mais un allégorie des comportements humains et des mécanismes spirituels ayant lieu au cours de l'évolution depuis la naissance jusqu'au décès clinique, et il n'y a rien avant sinon la mémoire génétique et cellulaire fusionnée lors de la fécondation, et il n'y a plus rien après que les oeuvres laissées, descendance incluse.
  5. Les organites inactifs dans le cytoplasme.
  6. La mort est la protéolyse qui dégrade les protéines, l'invisible hadès est "ce qui ne se voit pas" soit l'envoie des résidus non réutilisables dans les vacuoles pour exocytose.
  7. Si les livres de biologie cellulaire modernes décrivent les mécanismes de premier niveau fondamentaux et structuraux, ils n'indiquent pour le moment rien sur la mécanique du comportement dont l'étude n'est qu'à ses balbutiements depuis les années 2000 et encore en 2020 la majorité des spécialistes refusent d'admettre les premiers résultats de recherche qui indiquent que l'ADN initialement nommé poubelle puis non-codant et désormais régulateur, avec l'épigénétique, et toute une armada d'organites, de protéines, de tubules, et autres, sont la conscience, le mental, l'âme, l'esprit, ou autre, les émotions étant liées aux hormones du système des fluides corporels et les pensées étant liées aux neurotransmetteurs du système nerveux et des structures cérébrales, et c'est tout cela qui est merveilleux, car tout cela existe malgré la cruauté de la beauté de l'univers, car nous pouvons choisir la bienveillance, même la majorité des psychopathes font ce choix pour leur propre survie, le problème étant non pas la vision à l'échelle globale, mais locale qui perturbe le fonctionnement général d'autant que les hiérarchies dirigeantes publiques comme privées sont souvent corrompues en premier lieu par la sélection de la graduation selon les critères de ceux qui sont en place.
  8. Au fil des générations, les gens oublient peu à peu l'existence des inopérants décédés sans laisser de souvenirs et d'oeuvres, qu'ils soient pauvres ou riches, employés ou employeurs, insignifiants ou renommés de leur vivant.
  9. Les personnes dont on ne parle pas, dont on ne se souvient pas, disparaissent de la mémoire génétique génération après génération au sein de la descendance, telle est la mécanique.

28.05 : Praxeis Apostolon 5.6

29.05@05:50|+(00:+16)

5.5 En entendant alors, Ananias, les paroles (1), celles-ci, tombant à terre il se lamenta et il causa une peur grande envers tout le monde ayant entendu ces choses (2).

5.6 En s'éloignant alors les jeunes (3) dépouillèrent lui (4) et ils emportèrent dehors lui et ils eurent de la peine (5).

  1. Les étudiants de Jésus ont décidé de vivre de possessions matérielles communes et de partager selon les besoins, ce n'est pas une obligation mais un choix de vie, et la Torah nomme cela un voeu, alors si rien n'est imposé aux autres, ceux qui font le voeu de faire de même pour vivre dans la communauté, comme toute communauté qui a sa culture et ses coutumes, doivent être honnêtes avec eux-mêmes : ici le texte parle d'un couple qui décide de rejoindre le groupe et vend sa maison et apporte la mise en commun après avoir gardé une partie, en toute connaissance de causes et effets, c'est malhonnête, d'où l'emploi du mot satanas qui est l'archétype du mensonge, la duperie, l'hostilité, etc.
  2. Le groupe ne peut pas faire confiance à ce couple qui ne respecte pas la parole donnée : ce sont des adultes, mariés, qui savent la Torah de Théos (YHVH), mais ce sont des menteurs et des voleurs.
  3. On fait respecter l'engagement du couple en leur prenant ce qu'ils avaient gardé en secret, puis on les chasse car ils n'ont pas leur place dans le groupe : ils n'ont pas fait une erreur, ils ne se sont pas trompés, ils ont transgressé un accord, on ne peut pas avoir confiance en eux puisqu'ils sont roublards.
  4. Ce mot veut aussi dire "nouveaux" : peut-être leurs enfants ou leurs amis avec qui ils sont venus rejoindre le groupe au nom de Théos et de l'onction acceptée et propagée en vertu de la Torah.
  5. D'avoir été trompés et d'avoir cru que c'était de bonnes personnes oeuvrant pour la Torah alors que ce sont des traitres dont on ne saura probablement pas ce qu'ils ont fait d'autre.

5.9 Lui alors Pétros il a dit à elle "pourquoi est-ce que il s'est mis d'accord avec toi pour corrompre le pneuma du maître (Ananias) ? regarde les pieds (1) de eux pleurant le mari de toi, vers la porte ensuite ils conduiront toi".

5.10 Elle tomba alors aussitôt à côté de les pieds de lui et elle se lamenta, en arrivant alors les jeunes ils trouvèrent elle évanouie et l'ayant conduite dehors, ils pleurèrent envers le mari de elle (2).

5.11 Alors elle causa une peur grande envers tout le monde de l'assemblée (3), ainsi qu'à tous ceux ayant entendu ces choses (4).

  1. En baissant les yeux de honte.
  2. Car il a laissé faire en toute connaissance de causes et effets : le shalom bayit est brisé, reproches et rancunes et pire font survenir.
  3. La congrégation prend encore plus peur, car non seulement le marié a trahi son voeu sacré, mais de connivence avec la mariée : qu'ont-ils pu faire d'autre en plus de se faire apprécier ?
  4. Tout le monde appris que l'expulsion était la récompense de la trahison et de la duplicité.

30.05 : Markon 4.39

31.05@04:22|+(00:+17)

4.36 Ensuite ayant quitté le rassemblement, ils (élèves) se rapprochèrent de lui (Iēsoûs) pendant qu'il était dans le bateau (1), et d'autres barques il y avait après lui.

4.37 Alors il commença à y avoir un mouvement tumultueux agité grand (2), cela ainsi des vagues, elles frappèrent vers le bateau de sorte que lui déjà se remplissait entièrement.

4.38 Et il était lui sur la poupe (3), sur le coussin (4), étant immobile (5), alors faisant reprendre conscience lui, ainsi ils ont dit à lui "professeur, ne pas tu t'inquiètes que nous sommes en danger ?".

4.39 Alors reprenant conscience il réprimanda l'agitation (6), et il a dit à la mer [de gens] (7) "restez tranquille, taisez-vous", ensuite elle cessa l'agitation et il y eu un calme grand (8).

4.40 Alors il a dit à eux "pourquoi désagréables vous êtes de cette manière, comment ne pas vous avez confiance [en vous] ?".

4.41 Alors ils (élèves) furent alarmés d'une peur grande, et ils dirent vers les uns et les autres "comment donc lui il est comme cela ? même le tumulte et l'agitation (hystérie collective) ils obéissent (écouter) à lui !".

  1. La conférence sur la Torah expliquée en paraboles, la méthode de Jésus tenue de son rabbin d'une autre région et qui déroute les autorités locales qui rejettent l'onction et se disent juifs, et qui émerveille le peuple jusqu'à leur faire peur de perdre leur pouvoir et que cela trouble l'ordre, a eu lieu sur un bateau de pêche, probablement ses étudiants devant l'auditoire sur la rive en plus des barques qui suivent le bateau comme on suivrait un groupe d'artistes de représentation en représentation au cours d'une tournée.
  2. L'auditoire cherche probablement à rencontrer Jésus pour lui parler, comme des fans d'un artiste qui se précipitent vers lui lorsqu'il a fini son show : ils essayent de monter sur le bateau avant le largage des amarres, dans un mouvement désordonné, étant agités et se bousculant.
  3. L'arrière du bateau à quai est vers la rive : d'une part le bateau pourra partir rapidement, et d'autre part c'est le meilleur endroit pour donner un cours de manière confortable à ceux qui sont sur la rive et dans les barques autour.
  4. Donner un cours à un public assis sur un coussin est une pratique courante des guides spirituels qui allie confort et simplicité et peu chère sans avoir à transporter une chaise.
  5. En état méditatif.
  6. Il ne réprimanda pas les gens eux-mêmes, mais le comportement, comme l'enseigne de faire les rabbins orthodoxes modernes.
  7. La métaphore d'une foule agités est notamment utilisée en Isaïe 17.12-13.
  8. Les gens bien que s'étant emportés d'enthousiasme, se reprennent car acceptant l'autorité de Jésus et ayant compris la réprimande.

30.05 : Loukan 4.39

31.05@04:22|+(00:+17)

4.38 En sortant à présent hors de l'assemblée (1), il entra dans la maison de Simon, la belle-belle en effet de le Simon elle était étant souffrante d'une fièvre forte, et ils avaient demandé lui pour elle (2).

4.39 Alors se tenant au-dessus d'elle, il réprimanda la fièvre (3) et elle ne gêna plus elle (4), instantanément ainsi se levant (5) elle servit eux (6).

4.40 Se couchant désormais le soleil, tous ceux qui ils avaient été étant nécessiteux (faibles, impuissants) qui ayant des infirmités (maladies) diverses, il mena eux vers lui (7), cela maintenant seulement chacun d'eux les mains posées sur la blessure, il soignait eux (8).

4.41 Il est partit ainsi alors daimonia (9) de beaucoup (10), pleurants (11) et disants "en conséquences toi tu es le christos, le fils de Théos", alors réprimandant ne pas il a autorisé eux de prononcer ces mots parce que ils ont su le christos lui il existe (12).

  1. La synagogue où Iēsoûs à fait une conférence.
  2. Simon et sa belle-mère avaient demandé à ce que Jésus leur rendre visite, comme on fait dans la vie de tous les jours, pour apporter notre présence et notre soutien : ce verset ne contient pas le mot prière... sinon dans le sens de "prier quelqu'un" de rendre visite à un malade, le verbe a en effet le sens de "requérir".
  3. Comme un docteur qui désapprouve lorsque la fièvre est trop forte et qu'il faut la faire baisser pour éviter les risques de complication.
  4. Jésus est docteur, comme la majorité des rabbins assermentés, même non diplômés de la faculté de médecine, docteur d'une autre médecine incluant des éléments de médecine officielle de la génération et notamment l'usage de plantes, comme de nos jours on dirait de prendre de l'aspirine ou du paracétamol, mais au temps de la rédaction du texte la connaissance des plantes.
  5. S'il reste l'infection, la fièvre est contrôlée.
  6. Elle était assez en forme pour donner à manger et à boire à Jésus et Simon pour les remercier de l'intervention comme ferait n'importe qui si son état s'était amélioré au point de pouvoir se lever.
  7. La parole donna de l'espoir, et les conduisit vers Jésus pour qu'il exerce son métier de médecin connaissant une médecine avancée et efficace que les autorités locales refusaient de pratiquer pour le profit du pouvoir.
  8. Il résorbait les entorses avec la médecine mécanique et appliquait si besoin des médicaments pour désinfecter et réparer les tissus, et il soignait aussi toute sorte de maladie avec la médecine sacrée qui inclue la médecine vulgaire : il faisait cela le soir après avoir enseigné la journée, comme ferait de nos jours un rabbin qui s'occupe d'une yéshivah la journée, et d'un cabinet médical le soir ainsi qu'à shabat en l’occurrence.
  9. A cette époque on pensait que les maladies étaient causées par un esprit mauvais, un démon : ce mot signifiant "incrusté" désigne ici la cause de la maladie et non l'effet lui-même.
  10. De la majorité, mais pas de tout le monde, un docteur n'est que docteur, même pratiquant la Torah, pas un dieu : la mythologie des miracles de Jésus n'est que sornettes et fadaises d'une duperie de masse parmi les autres sur le Tanak, le Quran et les Sutras pour dénigrer la Torah.
  11. Le soin d'une maladie cause deux types de pleurs : ceux de la douleur de l'intervention, et ceux de la joie de la libération et de la fin de la souffrance.
  12. Suite à la réprimande, ils ont su que non seulement Jésus n'est pas LE fils d'un dieu, mais également que le christos n'est pas unique, puisque les prêtres d'Israël sont les oints de la génération parmi les oints des générations, oeuvrant à la survie de l'espèce depuis toujours pour toujours grâce à la Torah, bien que chaque être humain est unique ayant une combinaison génétique unique comme un GUID.

30.05 : Ioannis 4.39

31.05@04:22|+(00:+17)

4.39 Hors de cependant la ville que beaucoup ils ont fait confiance à lui, les samaritains (1), en raison de la parole de la femme ayant été témoin que "il a dit à moi tout comme j'ai fait (2)".

4.40 Ainsi alors ils sont venus vers lui, les samaritains, ils ont demandé à lui de rester avec eux, alors il resta en ce lieu deux jours.

4.41 Et beaucoup plus ils ont fait confiance en raison de la parole de lui.

4.42 Cela en outre à cette femme ils ont dit cependant "plus jamais à cause de la tienne de parole nous faisons confiance à elle (parole), parce que nous avons compris, et nous avons vu que ça, il est vraiment le libérateur de le kosmos (monde personnel et universel), le christos" (3).

  1. Les Samaritains n'acceptent que la Torah, aucun autre texte du Tanak ni les commentaires des sadducéens et des pharisiens : ils ont leur propre lignée d'exégètes et leur propre rite relatif aux fêtes, cette communauté étant antérieure au massorétisme, il n'y a pas de rabbins dont certains les accusent de paganisme en raison de leur art symbolique visant à expliquer l'idolâtrie et le crime (convoitise, mensonge, duperie, trahison, blessure, vol, meurtre, etc.), ce qui n'est que le verso du recto de la pièce Jacob-Ishmaël (l'action visible et l'invisible des mitsvot).
  2. Jésus a parlé à la femme, et elle a agit en conséquence, il a donc joué le rôle de conseiller et elle de guide : il a demandé à boire et elle a donné à boire, il a demandé à ce que son mari soit appelé et elle a appelé son futur mari selon le sceau de Salomon ou étoile de David (cf. noces de cana ou mariage R+C).
  3. Les Samaritains ne font pas confiance à ce que dit la femme à cause de ce qu'elle a dit, mais parce que c'est l'onction qui a démontré la justesse : ils ont vérifié le témoignage et il a été prouvé valide au regard de la Torah, l'enseignement de Jésus sur l'onction et le reste, qu'ils savent être ce que c'est et ne pas la rejeter, d'où les trucs avec l'eau du puits.

31.05 : Ioannis 4.51

01.06@04:33|+(00:+18)

4.46 Il est allé en conséquence le Iēsoûs de nouveau à la Kana (1) de la Galilaia (2) où il a métamorphosé l'eau en effervescence (3), et il y avait un certain officier royal (4) dont le fils il était souffrant à Kapharnaoum (5).

4.47 Celui-ci ayant entendu que Iēsoûs il venait de la Ioudaia (6) à la Galilaia, il partit vers lui, et il pria lui, pour que il puisse venir, et qu'il puisse soigner lui, son fils, il était en train de mourir.

4.48 Il a dit en conséquence le Iēsoûs à lui "si jamais des signes prévisionnels et des exploits, vous devriez voir, ne pas, jamais, vous devriez faire confiance (7)".

4.49 Il disait à lui, l'officier royal "maître, viens, avant qu'il meure le petit de moi".

4.50 Il a dit, lui, le Iēsoûs "va rejoindre le fils de toi, il est vivant", alors il a fait confiance, l'humain, à la parole que il a dit à lui Iēsoûs, et il est partit (8).

4.51 Maintenant ainsi, lui partant, les serviteurs (agents, employés, ouvriers) de lui, ils retrouvèrent lui et ils annoncèrent en disant que le petit il est vivant.

4.52 Il se renseigna en conséquence auprès d'eux l'heure pendant laquelle mieux il a été, et ils ont dit à lui "hier à heure septième (9), elle a quitté lui, la fièvre".

4.53 Il a su alors le père que pendant cette heure-là que il a dit à lui le Iēsoûs, que le fils de lui il est vivant et ils ont eu confiance eux, et la maison de lui toute entière (10).

4.54 Cette chose encore, second exploit, il a fait le Iēsoûs venant de la Ioudaia à la Galilaia (11).

  1. Le mot Κανα veut dire "lieu des roseaux" et les roseaux sont des grands joncs, et les papyrus sont des joncs du Nil : Cana est le lieu où on fabrique du papier pour écrire des connaissances dans des livres, et un mariage à Kana est ainsi l'union d'un couple selon la science sacrée, ici de Joseph devenu Jésus père d'avec Marie devenue mère, au sein d'une communauté chargée de diffuser le savoir.
  2. Le mot Γαλιλαία provient de l'hébreu גליל qui signifie "un cylindre", la Galilée étant הגליל "le cylindre" : le mariage à Kana est ainsi l'union sacrée d'un homme avec une femme au sein d'une communauté de la Torah selon les lois de la Doctrine de HaShem ou Théos en grec, soit un shidouk suivit de la formation pour le shalom bayit des fiancés en vue du rapprochement des corps pour le mariage et l'engendrement (cf. Mishléi 31 qui résume tout le Béréshit Israël).
  3. Le vin dans la Torah est le symbole de l'effervescence comme lorsqu'une musique extraordinaire éveille notre vibration intérieure en faisant entrer en raisonnance le corps : ici l'eau du puits est transformée en exaltation mutuelle, et le vin lui-même aide à enclencher et augmenter cette effervescence.
  4. Un serviteur de la science sacrée.
  5. Le mot Καπερναούμ provient de כפר-נחום "il a renoncé, repos de lui" : suite à l'instruction en Torah au cours de la traversée du désert, une fois le témoignage du crime subit en Mitsraïm achevé, il faut renoncer à obtenir justice auprès des criminels qui l'orchestrent, afin de pouvoir entrer en Israël pour s'y marier, compensation mutuelle, et se reposer le temps de réparer ce qui est réparable, pour vivre, travailler et fonder un foyer avec des enfants et/ou des élèves.
  6. Région de "ceux qui rendent hommage" à HaShem Torah en développant les qualités spirituelles de vérité et de justice auprès du monde.
  7. A ce qui cause la souffrance, pour être utile et nécessaire, pour servir le bien, pour être une "cause juste" de la part de la nature ou des méchants : il ne faut pas croire que du mal peut engendrer du bien, tel que l'enseignent les bons rabbins, car ce sont les pervers et les mauvais philosophes qui enseignent et qui discutent du bien dans le mal et du mal dans le bien (nous parlons ici des actions humaines et des maladies réellement accidentelles).
  8. L'officier royal qui avait demandé à Jésus de venir car son petit était mourant, Jésus lui a répondu que c'était à l'officier d'aller rejoindre son fils, car il était encore en vie, et donc sauvé.
  9. C'est en général le matin au lever du soleil.
  10. Confiance en la Torah et l'onction.
  11. Il a soigné la belle-mère et le petit du père est vivant, la fièvre ayant disparue grâce à la Torah, après Kana.

01.06 : Zekaria 9.9 (Matthaios 21.5)

02.06@05:21||21:05

9.9 Réjouis-toi beaucoup, fille de Tsyion. Jubile de triomphe, fille de Yeroushalaïm. Maintenant conseiller (roi) à toi il entrera [en Israël]. Va [pour le couple] tsadik (celui qui est juste). Nous aurons secouru lui, de affliction [oppression], lorsque équipe [des justes], parce que stupidité [des méchants], et parce que ville du fils des forts [peuple d'Israël].

  • Tsyion est le coeur surélevé de Yeroushalaïm qui est le cerveau spirituel de ce coeur compatissant qui pose les repères pour guider le mental qui conseille. La fille de sion est la continuation de la fille de pharaon, celui qui traverse les 10 étapes de la libération pour échapper à l'emprise de l'ignorance et des manigances : l'une tend la main à Moshéh pour le sauver des eaux, et l'autre le guide dans le désert pour entrer en Israël, la terre promise lors du shidouk. On retrouve cette métaphore d'Adam et 'Havah jusqu'à Joseph et Marie, en passant notamment par Abraham et David, où chaque période correspond à un état évolutif de la conscience au sein d'une vie ainsi qu'à travers les générations.
  • Si 'Havah, la partisane de Adam créée et formée pour lui ainsi formé et créé pour elle, est le coeur qui guide le couple (comment faire), lui en est le cerveau qui le conseille (quoi faire) grâce à l'étude de la Torah (cf. Mishléi 31).
  • Ville du fils : il a été choisi pour son esprit bienveillant et son âme empathique, ainsi donc que pour son innocence en tant que victime du crime.
  • Il a été décidé de ne pas considérer l'interprétation commune relative à des ânes, mais de décoder selon le sens fondamental des mots et ce qui a déjà été dévoilé dans cet ouvrage en vertu des rabbins de la génération pour comme promis apporter plus de réponses sur la Torah.

02.06 : Shémot 15.25

03.06@21:55|‪‪♡|25:15

15.25 Il (Moshéh) aura imploré vers HaShem. Elle (Torah) aura enseigné HaShem. Un arbre il (Moshéh) aura plongé dans les flux. Ils seront devenus sucrés les flux. Il (HaShem) a transformé. Autorité de Lui (HaShem). Décret (ouvrage) selon jugement (procédure). Parce que autorité, Elle (Torah) a prouvé.

  • La Torah enseigne les lois de HaShem sur le corps humain et son esprit-mental-âme.
  • Les flux étaient trop amers (Marah) : grâce à un certain arbre, ils sont rendus doux et sucrés pour les femmes de Miryam qui ne peuvent pas boire (voir également la vidéo "peut-on changer le goût du sperme").
  • Prouver la vérité, la validité et la bienveillance de la Doctrine de la Torah de HaShem de Elohim, pour le Shalom Bayit construit depuis la sortie de Mitsraïm jusqu'à l'entrée en Israël via l'étude dans le désert, et pour la vie prolongée et engendrée dans la joie du couple.

Mishléi 11.10

Ricochet du 13 Sivan

Mishlei (Proverbes) 11.10 : Parce que actes de bonté des justes, tu te réjouiras (être heureux), rencontre de elle, et avec disparition (perte, échec) des méchants, triomphe (allégresse, joie).

Le mot קריה est généralement traduit par "ville, citée", mais il est proposé de le lire ici קרי-ה "opposition de elle [contre le crime]" ou "impact de elle [pour stopper le crime]" ou "rencontre de elle [shidouk pour shalom bayit qui sauve des méchants]", d'une part à cause de la logique intrinsèque du mariage hébreu, et d'autre part il est utilisé au verset suivant קרת "ville, citée" au sens d'ensemble de bâtiments alors que קריה a le sens de revêtement comme une couverture qui enveloppe.

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