Mise à jour de la conclusion de la Théorie de santé-aide-justice

Théorie de Santé-Aide-Justice

Nationaliser un domaine de la vie ne veut pas dire qu'il y a le monopole par un groupe élu, même à tour de rôle démocratique, parmi des groupes, en "guerre" pour avoir le monopole de l'État, et donc du Trésor Public qui en réalité est l'État lui-même au sens intemporel, puisque l'impôt est autant le fondement de la République que ses mûrs, ses pièces, ses jardins, ses routes, ses téléphones, ses écoles, ses bureaux, ses hôpitaux, ses commerces, ses lieux de sports, ses lieux loisirs, ses maisons publiques et privées, son internet collectif, etc. Et son but contractuel inhérent aux degrés des lois vise à construire et faire évoluer la civilisation humaine tout en protégeant au mieux chaque individu de manière non-opposable, car l'objection à sauver et soigner et protéger et éduquer une vie, et ses capacités et ses biens légitimes, n'est pas permise par la loi en vigueur, en aucun cas, sinon ça constitue un crime.

Sans impôt, pas d'État. Donc pas de nation. Donc baisse de la survie de l'espèce. Et qu'on vienne du singe ou pas n'a aucune importance, étant donné que l'espèce humaine est l'espèce des villes de béton ancien et moderne. Ainsi il devrait y avoir divers "clubs nationaux" d'idées et de technologies tel qu'exposé dans cette théorie de santé-aide-justice, en recherche comme en mise en application, compatibles avec le Préambule de la Constitution Française qui justifie l'existence de toute la loi en France par ce Préambule depuis la Constitution jusqu'aux codes, décrets et etc. Préambule qui place par-dessus toute ces lois, la Déclaration Universelle des Droits des Humains. Ces organisations médico-sociales et juridiques-judiciaires étant on va dire comme pour l'enseignement public : gérées par des fonctionnaires, objectifs et sans attaches dans quelque domaine commercial que ce soit ou intérêt hors du périmètre des activités de l'État, le mieux étant également qu'il en soit de même avant et après emploi auprès de l'État, sous peine de subir les risques des dérives qu'entraine le commerce des corps humains et de leurs destinées comparables à celle qu'on obtient en privatisant ces domaines de l'État ainsi que la religion et l'éducation.