Fin enquête médico-sociale et juridique-judiciaire depuis 2005

Le vendredi 17 février 2023 alors que ma demande de renouvellement de la prothèse auditive de 2004 traîne depuis un an qu'on me demande en boucle des documents, j'ai téléphoné à ce qui est nommé partie adverse de l'assurance responsable de la protection de ma santé et de mes biens au nom de l'État concernant ce qui est nommé sinistre de 1984. On m'a dit sur un ton sec : "il n'y a pas de dossier".

J'ai mis trois jours pour encaisser le choc et comprendre la signification de cette assertion. Ceci explique pourquoi je suis maltraité par les autorités médico-sociales et juridiques-judiciaires publiques et privées françaises, européennes et mondiales depuis 18 et même 39 ans que j'ai déposé en 2005 une plainte pénale contre les assurances et les docteurs impliqués, et que j'ai maintenue jusqu'à ce jour en me portant partie civile.

C'est pour cela que depuis 2006 tout le monde dit que je serais "déficient mental d'axe I dangereux pour la société, souffrant de délire de préjudice et revendication, hypocondriaque, paranoïaque, sans droits de soins locomoteurs et anti-infectieux, sans droit d'aide sociale, sans droit de procès pour présenter les témoins et les preuves" et que les tortures physiques et chimiques sont "un bon-droit bien-fondé souverain légal et justifié sans recours possible".

La logique de ces autorités que je n'avais pas compris, car illogique et illégale, suivie par toute l'administration, y compris notamment par les associations humanitaires et les médias, est en effet inscrite et signée dans les documents du procureur en 2007 et du médecin conseil de l'assurance maladie en 2008 : je n'ai jamais reçu un coup de poing violent qui selon les experts de 1994 a fait saigner et infecter mon oreille en 1984, et que donc je n'ai jamais eu une ostéomyélite aiguë en 1987 dont je n'ai jamais été soigné car il n'y avait rien à l'époque, celle-ci n'est pas devenue chronique, et on ne m'a jamais payé la greffe de tympanoplastie de 1993, ni la prothèse auditive en 2004 censée être remplacée tous les cinq ans. Il n'y a de même jamais eu plus de six voitures qui ont percuté mon véhicule de 1994 à 1998, et donc je n'ai pas toute la colonne vertébrale abîmée. Il n'y a également jamais eu de chiropracteur qui a fatalement tout déchiré en 2004 au lendemain de l'achat de la prothèse, et je ne suis pas alité depuis. La pile de quatre centimètres de radiographies, scanners et IRMs n'existe pas non plus. Même les dents arrachées ne l'ont pas été. Je ne suis pas sourd partiel et malentendant, j'imagine l'être, avaient osé dire les psychiatres et les juges en 2018.

Tout aurait été effacé et détruit vers 2006 par les assurances, puis la police m'a tabassé et envoyé en psychiatrie, et j'ai été fiché criminel fou à torturer à vie avec des poisons pour me faire taire et arrêter d'importuner les gens avec mes doléances constantes depuis 2005, car du point de vue des autorités, il n'y a pas de dossier d'assurance donc pas de victime, pas de preuves, pas de témoins, pas de crime, pas besoin d'enquête, pas besoin de procès.

La conséquence de cette corruption et de cet abus de pouvoir collectif explique pourquoi le dossier des preuves des faits médicaux et juridiques, que j'ai constitué depuis 2005 avec les documents que ces autorités et ces organismes m'ont fournie depuis 1984 et faisant aujourd'hui plus de 700 pages, est constamment nié et ignoré en bloc depuis le dépôt de plainte et ils ne sont pas considérés comme si c'étaient des tickets de caisse ou autres.

Les psychiatres qui commandent les juges estiment qu'avoir été libéré par deux fois et "avoir été en 2019 diagnostiqué immunodéprimé expliquant les infections chroniques" être "de la chance". Ainsi pour l'hôpital, pour la quasi-majorité des libéraux, pour les autorités et pour les tribunaux : "tout le reste est du délire de votre cerveau, un dysfonctionnement à prendre en charge car vous avez une maladie mentale incurable qui vous fait croire qu'un dossier de victime existe dans le monde réel".

C'est de cette manière que de petit garçon victime et innocent, né dans le sud de la France, et après avoir un peu travaillé dans le nord, on me fait calomnieusement passer pour criminel malade mental. Il n'y a en effet officiellement dans mon pays et au sein des Nations-Unies aucun recours possible contre un tel crime collectif et démocratique basé uniquement sur l'argument "il n'y a pas de sinistre, il n'y a jamais eu de coup de poing, vous n'êtes pas sourd, votre dos est normal, vous n'avez pas d'infection, il n'y a pas de préjudice corporel et financier, votre vie n'est pas en danger, vous délirez, vous êtes dangereux, il faut vous traiter et vous faire taire avec des substances très dangereuses".

Ce négationnisme et ce crime relèverait de la Cour Pénale Internationale, mais officiellement même jeté sur la place publique auprès de tout le monde depuis 10 ans grâce à Internet : "il n'y a pas de dossier".

Lettre adressée à la Compagnie Mutuelle d'Assurance et à l'ACPR le 19/02/2023